La PSYCHOBIOLOGIE

 

 

 Quand « le psychique fait alors un saut dans l’organique » (Freud)

 

« Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles. »

(Extrait du discours inaugural pour la remise du triple prix Nobel de médecine et de physiologie 1977

 par le Pr Rolf Luft de l'Institut Médico-Chirurgical Karolinska)
 

« Nous sommes notre meilleur anti-cancer » ,

car « il existe un lien très sérieux entre les émotions que nous vivons et l’apparition d’un cancer » .

« Le stress serait un élément à la fois déclencheur mais aussi aggravant d’un cancer. »

(Dr David Khayat, cancérologue, septembre 2018

il a été notamment le conseiller de Jacques Chirac sur le cancer, ensuite le fondateur

et le directeur de l'Institut national du cancer dans les années 2000. En 2013,il crée la Fondation AVEC.)

« Il ne faudrait pourtant pas oublier que

ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade.
Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces

qu'il marche, pense, respire, dort

et encore le désir refoulé se manifeste par la maladie. »
(Le célèbre psychologue Carl Jung)
 

« Il est folie de vouloir guérir le corps sans l'intervention de l'esprit. »  (Platon)

 

 

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« La santé c’est être capable de tomber malade et de s’en relever. »
Georges Canguilhem, philosophe et médecin français

 

 

Observation qui part de la croyance encore dogmatique qu'il y a des maladies

qui sont psychosomatiques et d'autres qui ne le seraient donc pas !

Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine. WEISS et ENGLISH auteurs de ‘Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale’ et cités par Marc-Alain Descamps (1992). Corps et psyché, (Ed. Desclée De Brouwer, p. 16).

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière

les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

En revanche, ce à quoi nous faisons plutôt référence sur ce site, ce sont les outils utilisés en filigrane dans les séances de psychothérapie   et qui sont en phase notamment avec les incontestables apports d'Einstein, les confirmations données par de la Physique Quantique et celles de la psychobiologie moderne  dans ce qu'ils mettent en lumière les rapports du psychisme sur le corps et inversement, d'une manière bien plus sensée et bien plus complète que n'a su le susciter la Biologie-Totale et qui a plutôt démontré une piètre capacité à "former" des thérapeutes dignes de ce nom  (fréquentes carences criantes et dangereuses vu notamment  des comportements iatrogènes –  ou maux provoqués par l'attitude de l'accompagnant et des enfreintes relatives à l'éthique et à la déontologie).

 

 

Contenu de cette page avec des liens directs vers les sujets :

Dernières mises à jour :¨

Toutes dernières mises à jour : ¨¨

Le triple prix Nobel de médecine et de physiologie 1977

 Psychobiologie et thérapie

Séparer le corps du psychisme ?

 « mal à dire » = maladies seulement ?

Psychosomatique ou somatopsychique

Preuves scientifiques de la prépondérance du psychisme sur la matière.

Quand un poussin influence un robot

¨"Le vrai médecin est le médecin intérieur" Dr Schweitzer

"Demain, la médecine sera quantique . . . et révolutionnera notre quotidien !"
Comprendre les vraies origines de la maladie, d'abord une question de bon sens.

Pour éviter tout malentendu par rapport à ce qui constitue notre pratique professionnelle.

Ce que les plus innovants en ont justement dit et démontré.

L'importance capitale de la qualité du "terrain"

Comment se somatisent les facteurs psychiques

A situation conflictuelle apparemment identique,  pourquoi se développe plutôt telle maladie nettement moins "grave"?

"Et si la maladie n'était pas un hasard..." dit un médecin preuves à l'appui

Comment le cerveau dirige-t-il tout le processus.

L'importance de se faire accompagner lorsqu'on n'y arrive pas.

Une fiche pratique pour se guérir plus rapidement.

L'importance souvent négligée des facteurs transgénérationnels.

"Restaurer l’unité corps / âme / esprit"

 Placebo : un allié pour guérir ?

¨ Nocebo, un allié santé injustement diabolisé...
 Les programmes archaïques de survie.

¨ Des outils pour s'auto-libérer, prophylactiques, présents  sur ce site.

Quelles les thérapies efficaces ?

En quoi la fatigue peut aussi constituer un programme de survie.

La peau est aussi un éloquent interface du « mal à dire ».

Que cache un excès ou un manque de poids mal vécu ?

Ce qui se cache en fait derrière l'écran de fumée de tabac.

L’alcoolisme, cette terrible souffrance, est aussi un « mal à dire ».

Que faire avec les "mémoires énergétiques" ?

¨¨ "Avoir des antécédents de détresse psychologique peut déclencher un long Covid" (étude scientifique)

¨¨ "Être seul et malheureux accélère le vieillissement, selon une étude"

 

 Voir aussi les pages SANTE A LA UNE

et la page spéciale "Anticancer" commentant le dernier livre de DSS

 

                                                       

 

 

 

 

 

Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages,

mais à avoir de nouveaux yeux. Marcel Proust

 

Au risque de surprendre certains, le côté hasardeux de la survenance des  maladies n'existe pas et que tout ce qui affecte le corps est toujours, selon l'observation empirique,  un programme psychobiologique de survie ou d'adaptation au milieu :

- soit l'adaptation de l'espèce au milieu extérieur, ce qui engendre la transformation forment des espèces (par exemple devenir un singe pour s'adapter à la vie en forêt ou développer des nageoires pour s'adapter au déplacement dans l'eau, etc.),

- soit l'adaptation de l'individu au milieu intérieur (le corps) pour s'adapter à une situation conflictuelle particulière, par exemple, dans le cas où l'on ne peut pas digérer quelque chose, fabriquer davantage d'estomac pour le digérer (cancer) etc.

Exemple de la brebis qui est séparée de ses petits et qui contracte dans certains cas un cancer aux mamelles.

 

C'est la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH [°] : " Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine ". Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste [°°]. (Marc-Alain Descamps, Corps et psyché, 1992, p16).

° Ouvrage de référence : Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale.

°° Dogme omniprésent en science médicale et qui veut attribuer la cause de maux même psychiques à des dysfonctionnements organiques ou fonctionnels, sans aller investiguer l’histoire et le vécu du sujet. Exemple : la manière dont la dépression est trop souvent traitée en médecine.


En revanche, les approches psychothérapeutiques permettent déjà depuis longtemps au patient d’activer cette interdépendance psychisme-corps, ce qui lui permet dans un premier temps de comprendre en respectant ses systèmes de croyances ce qui est à la base de ses maux et dans un second temps, de pouvoir agir pour en désactiver les effets.

 

La psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit." (Dr Antoine Porot, co-auteur du ‘Manuel alphabétique de psychiatrie - 1952).

La psychothérapie ne se limite donc pas aux troubles mentaux. Dans le cas de troubles somatiques, donc physiques, la psychothérapie peut intervenir efficacement : même si les relations entre l'immunité et le psychisme sont scientifiquement avérées, elle n’a aucune prétention scientifique a priori.

Qu'observe-t-on généralement dans ce que livrent les patients par rapport à la manière dont leurs diverses somatisations sont apparues ? Le cerveau intégrant le symbolique comme s'il s'agissait de la réalité physiologique des choses, toute situation conflictuelle non résolue et même psychologique est interprétée et traduite somatiquement par lui : comme si = c'est.

Mis à part les effets dus à l'exposition à de puissants toxiques (radiations, poisons...) aux effets imparables, le cancer ou quelque affection que ce soit n'est alors pas une « maladie » ou une « pathologie » comme le conçoit la science dans sa frange (viscéralement et dogmatiquement) matérialiste et rationaliste, mais une adaptation à une situation conflictuelle donnée, qui est fonction de la manière dont le conflit est « ressenti » et donc de façon particulière à la personne (tributaire de son histoire et de son vécu). Ici encore gardons nous des pièges de la pèche aux "décodages"..., qui sont des dérives thérapeutiques flagrantes quand ce sont des prétendus thérapeutes qui s'y livrent.

 

Il faut donc rechercher le moment exact où l'affection est apparue et chercher la situation conflictuelle (surstress) que l'on a eue à ce moment-là et préciser la manière dont on l'a ressentie et notamment que représente pour la personne l'interface que constitue l'organe ou la fonction atteints à ce moment-là. Y arriver seul est une grande difficulté car, par peur de souffrir encore, l'inconscient refoule les informations qui permettraient d'identifier les causes des maux. En revanche, les partenaires de ce site exercent via le recours à une anamnèse (terme qui signifie prise de conscience) lors de leur accompagnement psychothérapeutique.

 

L'observation psychobiologique moderne permet de mette au jour les rapports entre le psychisme et le corps et parmi leurs effets, les mal-être, malaises et maladies... C'est ainsi que chaque maladie ("mal a dire") est le transposé d’une situation conflictuelle non résolue, comme tentative temporaire de résolution et, surtout, dans le but de faire baisser le surstress interprété comme un danger de mort imminente par le cerveau reptilien (tronc cérébral), du fait de la perte de vigilance qu'un tel stress ou peur particulière entraînerait s'il n'était pas alors aiguillé dans un organe ou une fonction cible : la somatisation est alors l’expression d’un programme automatique de survie comme l’est, par exemple,  le furtif et involontaire geste qui fait s’écarter la main du feu, le corps d'un danger perçu comme imminent .... salome

"Les maladies sont des langages symboliques avec lesquels nous tentons d'exprimer à un entourage significatif nos sentiments réels, nos conflits, nos séparations...quand ils sont censurés ou interdits par des peurs". (Jacques Salomé "Si je m'écoutais vraiment je m'entendrais"- 1990)

Rencontre avec la maladie
par Jacques Salomé

"Tomber malade, entrer en maladie
ne peut être le fait du hasard,
ni celui d'un effet du destin,
encore moins le résultat d'un concours
de circonstances fâcheux…

C'est un langage qui parle en nous de nous.
Et peut être surtout de l'indicible,
quand le silence des mots réveille
la violence des maux.

Ce peut être le réveil d'une blessure de l'enfance,
la réactivation d'une situation inachevée
que l'on n'a pas écoutée en son temps !

Ce peut être l'hémorragie affective
d'une séparation imposée,
la violence d'une rupture non souhaitée,
la perte d'un être chair et cher !

Ce peut être encore l'expression d'une fidélité,
la mise en œuvre d'une mission de réparation
à l'égard d'ascendants.

Ou plus simplement parfois,
la manifestation d'un conflit intra personnel
dont le seuil de tolérance est atteint.

Être malade est une invitation bouleversante
de notre corps à mieux nous entendre.

Une sollicitation à mieux écouter la relation
parfois disqualifiante que nous avons avec lui.

Une invitation à se respecter vis à vis d'autrui,
et surtout face aux personnes aimées.

Une incitation à ne plus se laisser définir,
un signal pour oser entendre
et nommer l'innommable,
pour crier l'insupportable,
pour émerger enfin du silence,
pour accepter de changer de vie.
"

 

"Avez-vous remarqué la corrélation entre la disparition de vos maux physiques d’antan et l’apparition de troubles émotionnels (dépression, apathie) ou mentaux (troubles de la mémoire, etc.) ?" Dr Edouard Broussalian


"J'ai toujours pensé que le seul problème de la médecine scientifique, c'est qu'elle n'est pas suffisamment scientifique.
La médecine moderne ne deviendra vraiment scientifique que lorsque les médecins et leurs patients auront appris à tirer parti des forces du corps et de l'esprit qui agissent via le pouvoir de guérison de la nature."

Pr René Dubos, célèbre microbiologiste et inventeur du premier antibiotique, cité par Sarah Bosely dans The Guardian  du 3 mai 2000.
 

"Quelles que soient sa cause et sa manifestation chaque maladie implique tant le corps que l'esprit, et ces deux aspects sont à ce point interconnectés qu'il est impossible de les séparer l'un de l'autre."  (Autre citation de René Dubos, extrait du livre Anticancer de Davis Servan-Schreiber).

 

"Tout symptôme est l’expression d’un conflit inconscient et la manifestation extérieure du retour du refoulé [...] Entre psyché et soma, il y a une frontière que mes successeurs devront explorer et dont ils devront découvrir les lois de fonctionnement." Sigmund FREUD

"Il ne faut pas confondre la maladie avec la lésion qui n’en est que la révélation matérielle ou le résultat éventuel." In Corpus Hippocraticum. de HIPPOCRATE, qui considéré comme le père de la médecine moderne.


 

Les enfants sont parfois les symptômes de leurs parents, suivant cette pertinente constatation de Françoise Dolto, c'est comme si les enfants somatisaient les problèmes familiaux (détails)
 

 

 

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Le triple prix Nobel de physiologie et de médecine 1977

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus de détails en cliquant ICI ou sur l'image (texte du Dr Jean-Michel Crabbé)

 

Extrait du discours de présentation par le Pr Rolf Luft de l'Institut Médico-Chirurgical Karolinska

(université médicale, basée à Stockholm en Suède qui est l'un des centres de recherche médicale

et de groupements universitaires les plus importants et les plus réputés du monde.

Il décerne tous les ans le prix Nobel de physiologie ou médecine.)
(Source : site consacré aux Prix Nobel )

 

"Roger Guillemin et Andrew Schally ont contribué également de manière importante à ce domaine de recherche, explorant les protéines liées aux hormones. On peut dire à juste titre qu'ils ont découvert une partie importante du lien entre le corps et l'esprit.

Pendant des décennies, on a parlé de l'homo sapiens indivisible, en certifiant que notre corps et notre esprit ne peuvent être séparés puisqu'ils forment une entité. Les phénomènes émotionnels et psychiques influencent réellement nos fonctions corporelles. Permettez-moi de vous donner un exemple. Lorsque les soldats américains ont été envoyés sur la scène de guerre en Europe, des milliers de leurs compagnes qui étaient restées au pays, ont vu leurs menstruations s'arrêter. Elles étaient en parfaite santé, mais le stress émotionnel avait une influence sur certaines de leurs fonctions corporelles, aboutissant à l'arrêt de ces fonctions.

Au travers de quels mécanismes, la psyché influence-t-elle donc le corps ?

Les phénomènes psychiques ainsi que l'impact qu'ils ont sur tout le corps amènent des impulsions électriques au cerveau. C'est le langage du système nerveux, le cerveau parle "électriquement". Le cerveau informe certains de ses centres de ce qui se passe, et ces centres relaient le message. Ces centres qui retransfèrent l'information aux organes du corps qui produisent les hormones, sont situés dans le cerveau moyen, une zone qui se trouve à la base du cerveau. A leur tour, les vaisseaux sanguins fins mettent en contact le cerveau moyen avec l'hypophyse, une glande pituitaire importante qui produit des hormones. Cet enchaînement fournit le chemin de la transmission des informations provenant des régions avoisinantes du cerveau, au cerveau moyen, à l'hypophyse et donc à toutes ces fonctions corporelles influencées et contrôlées par les hormones. [...]

Les découvertes de Guillemin et de Schally ont débouché sur une révolution dans leur propre domaine de recherche. Cela a permis d'isoler encore d'autres protéines liées aux hormones du cerveau moyen, ce merveilleux organe de contrôle et de guidance qui aujourd'hui - plus que jamais - se révèle être une partie du lien qui unit le corps (soma) et l'âme (esprit)." © Traduction de Marie-Florence Labrique

 

"Il fallait bien un prix Nobel pour prouver que la médecine se trompe, renverser le dogme qui sépare la vie psychique et la vie organique, montrer les bases scientifiques d'une médecine globale, 'corps et psyché inséparables'.

Pendant plus d'un siècle, la médecine occidentale a prétendu que l'activité électrique cérébrale n'avait pas d'effet sur les fonctions biologiques.

Il est prouvé que les neurones sécrètent aussi des centaines de "neuromédiateurs", capables de piloter toutes les fonctions physiologiques périphériques : le prix Nobel 1977 a inauguré une nouvelle discipline, l'endocrinologie du cerveau. Les relations entre corps et psyché n'appartiennent plus au domaine de l'occultisme mais à celui de la science, et une nouvelle "psycho-biologie" est à découvrir [ndlr de Baudouin Labrique, partenaire de ce site : en fait cette science existe déjà : la psychobiologie ou neurosciences cognitives et il suffit donc de lui accoler par exemple le mot 'moderne'].

En se limitant à l'aspect biologique des maladies, la médecine occidentale prive les malades d'autres façons d'envisager la maladie et même de guérir."  (Dr Jean-Michel Crabbé, en commentaire de cette attribution d'un triple prix Nobel)

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Psychobiologie de la guérison

(Ernest Lawrence Rossi, Ed. Le souffle d'or)

 

Le chirurgien des armées, Ambroise Paré au XVIème siècle

et qui avait inventé la technique de ligature des artères (ce qui sauve pas mal de monde) avait observé :

Les soldats blessés vainqueurs guérissent plus vite que les vaincus.

 

La psychobiologie repose sur une idée de base essentielle : c'est l'information qui constitue à la fois le concept-clef et le lien entre toutes les sciences, y compris les sciences humaines et l'art thérapeutique. L’information est une énergie cohérente. L'information est le couple (joule ; bit).
La psychologie, la biologie et la physique ont désormais un nouveau dénominateur commun : l'information, couple (joule ; bit).
Pour comprendre vraiment comment cela est possible, il faut garder à l'esprit le fait que "toutes les formes d'organisation sur les plans psychologique, physique et biologique, sont en fait des expressions de l'information. C'est-à-dire, de l’évolution du couple (joule ; bit)" suivant le principe de l’équilibre homéodynamique du développement personnel de l’humain en programmation neuro linguistique (PNL).
A ne pas confondre avec l'homéostasie (du grec homeo « semblable » et stasis « arrêt »)
[ ° ] qui est la capacité que peut avoir un système quelconque à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes qui lui sont extérieures. Selon Claude Bernard, « l’homéostasie est l’équilibre dynamique qui nous maintient en vie. »
La notion est apparue en biologie, relativement à l'équilibre chimique des organismes vivants, mais s'est révélée utile à la définition de toutes formes d'organismes en sociologie, en politique et plus généralement dans les sciences des systèmes. Il était abondamment utilisé par William Ross Ashby, l'un des pères de la cybernétique.
(Tom Stonier)

 

° Homéostasie du corps : Au delà de la vision étroite des perturbations "psychosomatiques" auxquelles on se référait alors, il ouvre la voie de la neuro-psycho-immunologie, une des approches les plus prometteuse du comportement humain en relation avec les mécanismes moléculaires et cellulaires.

L'inhibition de l'action peut être le facteur déclenchant de désordres neuro-psycho-immulogiques. La preuve est faite aujourd'hui des interrelations entre macrophages, hormones peptidiques et régulateurs du fonctionnement cérébral. Les trois réseaux qui assurent l'homéostasie du corps (système nerveux, immunitaire [°]  et hormonal) convergent et s'interpénètrent. ."

Joël de Rosnay (Directeur de la Prospective et de l'Evaluation Cité des sciences et de l'Industrie – Paris )

[° Att ! Le système immunitaire est un concept fondé sur un dogme]

 

[Ndlr : En cas d'agression, de stress mal vécu, donc de conflit, voici ce que dit encore  le Pr Henri Laborit ] : toute l'homéostasie (°) du milieu intérieur va se trouver perturbée en quelques instants. Et la conservation de notre "vie libre et indépendante" ne sera plus la conséquence de "la conservation de la constance des conditions de vie dans le milieu intérieur" mais de sa perte. Grâce à cet abandon momentané, la fuite — en soustrayant l'organisme au danger survenu dans l'environnement — ou la lutte — en le faisant disparaître en agissant sur lui — permettront le retour à des conditions de vie normale dans l'environnement. Ce n'est qu'alors seulement que le retour à l'homéostasie du milieu intérieur redeviendra possible. Nous avons donc été conduits à distinguer une homéostasie restreinte au milieu intérieur et, en passant au niveau d'organisation supérieur, une homéostasie généralisée de l'organisme dans l'environnement. Il y a bien là changement de programme pour atteindre un but identique : la survie. C'est un phénomène analogue qui, pour les sociétés humaines, fait passer d'une économie de paix à une économie de guerre.  

(°) Homéostasie : capacité à conserver l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extérieures.

 

 

Le médecin devrait connaître le visible de l'homme autant que le visible...

Il y a  une grande différence entre le pouvoir qui fait disparaître la cause invisible d'une maladie

et celui qui en fait disparaître les effets externes. (Paracelse, 1493-1541).


 

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Les neurosciences cognitives (ou psychobiologie) désignent le domaine de recherche dans lequel sont étudiés les mécanismes neurobiologiques qui sous-tendent la cognition (perception, motricité, langage, mémoire, raisonnement, émotions...) C'est une branche des sciences cognitives qui fait appel pour une large part aux neurosciences, à la neuropsychologie, à la psychologie cognitive, à l'imagerie cérébrale ainsi qu'à la modélisation. (La psychobiologie est une branche enseignée à l'Université)

ntique

Au répertoire musculaire des émotions correspond un clavier de modifications humorales et neurovégétatives..

Jean-Didier Vincent - Biologie des passions.
 

La psychobiologie moderne dont il est fait état ici est parfaitement en phase avec les découvertes (toujours incontestées) de la Physique Quantique et celles d''Einstein, et les conséquences qu'elles entrainent sur la compréhension de l'interactivité psychisme-corps (ou immatière-matière) ; de ce fait, cette psychobiologie, telle qu'elle s'est développée récemment, est résolument de nature quantique (°) ; la matière n’existe pas en tant que telle ; la matière se transforme en onde et vice versa (principe de dualité onde-corpuscule) ; tous les éléments subatomiques et donc comme les entités à volumes multiples qui ne sont donc que la réunion différenciée d’atomes, tout ce qui forme donc l'univers dans l'infiniment petit comme dans l’infiniment grand, sont tous interconnectés et en constante interaction dans une grande "danse", comme la nomment eux-mêmes les physiciens quantiques ...

(°) C'est à dire tout ce qui est relatif à la manière dont ils interagissent et donc via l'émission de champs informationnels (ce qui ne signifie bien sûr pas, que la psychobiologie fait partie de la physique quantique.)

En Chine ancienne on disait déjà très justement et qui résume la physique quantique avant la lettre : cueillir une rose c'est déranger une étoile....

Pour ne citer que lui, le Pr Cannenpasse-Riffard fait aussi observer  (in Biologie, Médecine et Physique Quantique Ed.. Marco PIETTEUR – 1997,.qui est une remarquable synthèse) que : les particules subatomiques qui n'ont pas d'existence propre par elles-mêmes, sont en réalité des manifestations de champs immatériels interagissant. [...[ Les atomes se composent de particules et ces particules ne sont faites d'aucune substance matérielle.

 

On ne peut cueillir une fleur sans déranger une étoile,  dit le proverbe chinois qui en atteste et ancestralement.

Dans l'univers, chaque atome est relié à tous les autres atomes,
à travers la substance (esprit) de l'anti-matière.
Toute connaissance est potentiellement accessible à chaque atome de l'univers
.
Jean-Emile Charon, physicien et philosophe.
Il faut noter que cette connaissance n'est reçue, intégrée et ne génère éventuellement
une sorte de dialogue, un échange entre les atomes

qu'en fonction du libre arbitre de chaque élément ou particule doté de psychomatière.

Diverses expériences scientifiques montrent que la matière fait montre d'un certain libre-arbitre et donc met en jeu un réel psychisme
 

In fine, peu importe l'axe des recherches qu'elle a entrepris ou qu'elle continue d'investiguer, la Physique Quantique confirme en le redémontrant que "c'est le psychisme qui est le maître du jeu sur la matière" (voir comment l'étaye, de son côté, le Pr Jacqueline Bousquet) : la quasi totalité des maladies doivent immanquablement trouver dès lors leur origine (réelle) dans le psychisme (l'esprit).

En concordance "obligée" avec la Physique Quantique, la psychobiologie moderne, de nature donc quantique, a largement démontré, que, cette fois, par le biais de la seule étude de cas concrets en psychothérapie (concordants, d'ailleurs, tous), les maladies ne sont que l'expression d'un programme spécifique de survie et, donc, quoi de plus "naturel". C'est ainsi que nombre d'autoguérisons, même de maladies réputées incurables, surviennent très souvent et à l'insu des sujets eux-mêmes (voici mon exemple personnel). Son expérience concrète de thérapeute avait déjà fait constater à Jung que "La maladie est l'effort que la nature fait pour me guérir" et à mettre en lien avec de ce sage proverbe persan, "Les maladies qui ne sont en réalité que des guérisons" ; une telle position réinterprétée replace le patient, non plus comme une "victime" impuissante, mais comme un acteur recouvrant sa capacité à conduire son propre destin !
 

N.B. Confronté (notamment sur des forums) à des partisans viscéraux de la frange matérialiste et rationaliste de la science conventionnelle et souvent s'donnent alors à des propos sinon injurieux du moins virulents, j'ai beaucoup de peine à leur faire admettre la nécessité de comprendre et d'appliquer ce que les avancées de la Physique Quantique impliquent dans la connaissance du rôle du psychisme et donc de ce qui est à l'origine de tous les maux et maladies. Je tente ici de faire oeuvre de vulgariser de telles découvertes en établissant des passerelles entre les disciplines, comme tout ce qu'on pourra trouver d'autre sur ce site mais ce n'est pas une tâche aisée car elle suscite souvent les réactions des tenants de l'ancienne garde scientifique et qui s'accrochent désespérément à leur dogmes comme des alpinistes, en mauvaise posture, sur leurs rocs !

 

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Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions
que l’on a reçues et reconstruire de nouveau dès le fondement,
tout le système de ses connaissances.  René Descartes
Petit message (paradoxal quant on sait à quoi a conduit le cartésianisme)

destiné à ceux qui s'accrochent encore trop aux dogmes scientifiques

de la pensée matérialiste, rationaliste et dominante.

 

Ce qu'enseigne la psychobiologie est un outil utilisé en séances.

 

 

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© Baudouin Labrique

 

 

"L'esprit et le corps représentent deux aspects d'un seul et même système d'information : la vie" (Rossi)

 

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Psychobiologie et psychothérapie

La maladie du corps est la guérison de l'âme. (Proverbe basque)
 

L'on ne peut guérir la partie sans soigner le tout.
L'on ne doit pas soigner le corps séparé de l'âme,
et pour que l'esprit et le corps retrouvent la Santé,
il faut commencer par soigner l'âme.
Car c'est une erreur fondamentale des médecins actuels
de, dès l'abord, séparer l'âme et le corps.
[...]

c'est la plus grande erreur dans le traitement de la maladie, que l'esprit et le corps soient tenus séparés,

puisqu'ils ne peuvent être séparés [...]  cependant, c'est ignoré par les médecins grecs [...]

Ils devraient prendre soin du tout, car là où le tout est malade, une partie ne peut jamais être en santé. -

Peut-être as-tu déjà entendu dire à de bons médecins, quand on vient les trouver pour un mal d'yeux,

qu'il leur est impossible d'entreprendre une cure exclusivement pour les yeux

 et qu'il faut soigner la tête en même temps si l'on veut remettre les yeux en bon état et que de même,

 imaginer que l'on puisse soigner la tête seule, indépendamment de tout le corps, est une pure folie..

Platon - 427-347av. J.- C - "Les Charmides" -

(Rien de neuf  sous le soleil, donc !)
 

La psychobiologie fait partie des neurosciences cognitives, lesquelles désignent le domaine de recherche dans lequel sont étudiés les mécanismes neurobiologiques qui sous-tendent la cognition (perception, motricité, langage, mémoire, raisonnement, émotions...). C'est une branche des sciences cognitives qui fait appel pour une large part aux neurosciences. Elle s'est enrichie concrètement grâce notamment aux découvertes du Dr Hans Selye et du Pr Henri Laborit et ses principes ont été confirmés par la Physique Quantique qui est le forme la plus achevée de la Science Physique ; la psychobiologie n'est qu'un des outils psychothérapeutiques faisant partie des approches analytiques ; le vécu souffrant de chacun peut se transposer en somatisation qu'il est approprié d'identifier par l'analyse psychobiologique. Cette approche est bien sûr intégrée dans le cadre des séances que nous vous proposons.

Des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un rapport chronologique entre l’évolution de leur maladie et les événements retentissant sur leur vie affective. La situation qui précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé ou à une problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. (A. Becache – Psychologie Pathologique, Abrégés Masson, 10ème édition, 2008, p. 237).

La pratique psychosomatique chez l’adulte renvoie presque toujours, en partie, aux difficultés de divers ordres des sujets dans leur enfance et surtout dans leur première enfance. P Marty (in "La psychosomatique de l’adulte" p. 12 - Presses Universitaires de France, Série "Que sais-je").
 

AVERTISSEMENT : nous observons (notamment) des liens psychobiologiques ne cautionne en rien les prétendues découvertes du Dr Hamer ni la manière intégriste et hautement critiquable,  d'une part, il s'est comporté vis à vis du corps médical et de la légalité ; pas davantage, notre manière de pratiquer la psychobiologie ne doit se confondre avec ce qui est pratiqué en Biologie-Totale ou y pourrait y être assimilable. Deux chapitres du livre "Quand les thérapeutes dérapent" sont consacrés notamment aux dérives de la Biologie Totale et de la médecine du Dr Hamer.

De plus, tous les apports de la psychobiologie ne doivent être utilisées qu'en strict respect de la légalité ("Art de Guérir") et en respect total d'une déontologie spécifique à notre accompagnement psychothérapeutique. Nous référant à ce qui est indiqué sur ce site à plusieurs endroits, nous ne nous occupons pas de médecine. Nous ne faisons que de l'accompagnement psychologique. C'est la règle à laquelle nous devons nous tenir. Nous n'interférons pas avec la médecine et ses traitements et ne donnons aucun conseil dans ce domaine. Nous ne nous occupons des conflits psychologiques des gens que pour contribuer à améliorer leur état psychologique leur mieux-être général. Nous nous occupons notamment des conflits liés aux mal a dire. Nous ne traitons pas de "maladies" et si, d'aventure, les "maladies" disparaissent avec le conflit, comme cela arrive si souvent, nous en remercions le ciel. C'est là notre règle.

Nous ne pratiquons donc en aucun cas ce qui pourrait s'assimiler à de l'exercice illégal de l'art médical et qui, selon la Loi est l'accomplissement habituel par une personne ne réunissant pas l'ensemble des conditions requises [...] de tout acte ayant pour objet ou présenté comme ayant pour objet, à l'égard d'un être humain, soit l'examen de l'état de santé, soit le dépistage de maladies et déficiences, soit l'établissement du diagnostic, l'instauration ou l'exécution du traitement d'un état pathologique, physique ou psychique, réel ou supposé, soit la vaccination. (A. R. n° 78 mis en lien avec la Loi du 31 mars 1967, Belgique).

Ce qui suit n’est donné qu’à titre d’information personnelle des lecteurs dans un but de transparence. Vu les utilisations dénigrantes, diffamantes, insultantes que certains en ont fait sur des forums Internet et ailleurs, nous sommes donc obligés de les mettre vigoureusement en garde par cet avis : il est donc interdit, sous peine de poursuites judicaires  d'utiliser des éléments se trouvant ici comme ailleurs sur ce site dans de tels buts répréhensibles (seuls les tribunaux de Charleroi seront alors compétents).

 

Ce que cache mon langage, mon corps le dit.

Mon corps est un enfant entêté, mon langage est un adulte très civilisé.
Roland Barthes.
 

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symbolique

separation

La séparation entre l'esprit et le corps est sans doute

un des concepts les plus difficiles à détruire, car fondé sur une apparente évidence.

Pr Henri Laborit.

L’idée que nous sommes séparé en corps, esprit et autre entité supérieure [ndlr :indépendantes]

est un concept typique de nos cultures et religions judéo-chrétiennes.
Erwin Schrödinger (un des pères de la mécanique quantique dans "Science and Humanism" - 1952)

 

 

"L'esprit dans la matière"
Vahé Zartarian
 

 

Mieux que n'importe quel médecin au monde, la Nature sait ce qui nous convient. Georges Courteline

 

La maladie renvoie à ce jeu de mot que Lacan aurait apprécié : le "« mal à dire »"  ; il est à prendre au sens d'un mal physique et/ou psychique qui est donc là pour nous dire quelque chose qui n'a pas été (suffisamment) exprimé émotionnellement ; le grand psychologue Carl Jung disait déjà très justement "La maladie est l'effort que la nature fait pour me guérir". Il disait encore : "Il est probable que le psychique et le corporel ne sont pas deux processus se déroulant côte à côte, mais qu’ils sont liés par des interactions [...]" et les caractéristiques de la somatisation offrent toujours un rapport symbolique de ce qui est en amont (dans le psychisme) ; voir cet exemple donné par le Pr Henri Laborit :

"Le manichéisme [°] qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques. Il serait sans doute préférable dans certains cas, pour traiter un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental."

° une pensée ou une action sans nuances, voire simpliste, où le bien et le mal sont clairement définis et séparés.
 

La plupart des malaises, des mal-êtres se traduisent rapidement en symptômes ("saints hommes") et sont donc là comme guides, pour nous inviter à découvrir les vraies raisons de leurs apparitions et donc la racine réelle et profonde des maux. Comme le dit très pertinemment ce proverbe chinois, "lorsque l’on tombe, ce n’est pas le pied qui a tort." et pourtant, la science médicale conventionnelle est encore bien rivée à son dogme organiciste qui persiste endémiquement à faire croire que la source du mal est dans le symptôme lui-même et à préconiser alors des thérapeutiques qui ne vont agir qu'en aval au détriment de la racine réelle des maux (et qui est donc psychique). Tout autant il serait erratique et vain de se limiter à la mise au jour des racines familiales, cette fois des maladies (plus de détails sur l'outil qu'est et doit rester la psychogénéalogie). Cependant, les enfants sont parfois les symptômes de leurs parents, suivant cette pertinente constatation de Françoise Dolto, comme si les enfants somatisaient les problèmes familiaux (détails).

En revanche, il ne faut pas limiter le concept qui suit de psychosomatique ou de somatopsychique (décrits ci-après) en relation exclusive avec une "maladie" au sens premier du terme : un simple mal-être, inconfort souffrant ou une fatigue mal vécue suffisent pour en faire partie.

 

La psychobiologie moderne est une approche scientifique récente faisant partie des neurosciences qui vise à étudier les rapports entre le psychisme et la biologie, mais elle englobe aussi ce qui se passe donc dans les deux directions (psychosomatique ET somatopsychique) : tout ce qui constitue l'environnement (le "terrain") de la personne (histoire personnelle, famille, contexte matériel, enveloppe corporelle, mode de vie, hygiène de vie, énergétique ...) va "colorer" les rapports subtils entre matière (corps) et immatière (psychisme au sens large) et dans les deux sens (va-et-vient). C'est d'ailleurs en respect et en écho avec un des principes du fonctionnement de l'Univers, de la Vie en équilibre et en interrelations entre tous les systèmes présents et avec  divers mouvements internes : le flux et le reflux, le jeu des polarités, de des alternances ... Ne pas en tenir compte en thérapie conduirait à handicaper d'autant le processus et la qualité de la guérison. Il y a autant d'Univers que de personnes et même d'atomes et le thérapeute digne de ce nom a le devoir de ne prendre en compte que les réalités relatives à chaque personne accompagnée, sans rien projeter sur elle !

 

La psychobiologie vient donc aussi renforcer les positions historiques de la médecine psychosomatique (voir plus bas). La "syntaxe" particulière qui y est attachée veut que  l'"objet" a donc la faculté à son tour de devenir un "sujet" et le "sujet" initial de devenir en quelque sort un "objet" mais qui risque à son tour de réagir en redevenant "sujet " de tout un processus somatique ! "Psychobiologique" peut alors correspondre à "psychosomatique" si on parle uniquement des traductions physiologiques ; mais la psychobiologie ne se résume pas à la psychosomatique, qu'elle inclut elle le fait pour d'autres perspectives, par exemple, englobant aussi les influences chimiques exercées sur le psychisme, alors que la psychosomatique ne concerne (à l'inverse) que les interactions du psychisme sur le somatique, dans un subtil jeu symbolique.

On pourra dire alors qu'ne maladie aura donc une origine psychobiologique tout en étant une traduction psychosomatique.

Une psychothérapie appropriée devra dès lors que de tenir compte non seulement de (tout) ce qui est en amont, mais aussi des réactions potentielles de (tout) ce qui est en aval, sans privilégier à priori un aspect sur un autre, ce que malheureusement opère encore trop des approches comme la Biologie Totale (ce qui ne fait que la  marginaliser davantage).

 

La psychosomatique est une approche historiquement plus ancienne (seconde moitié du XIXe siècle) que la psychobiologie : terme qualificatif au départ, on attribue sa paternité au psychiatre allemand Heinroth (1773-1843) ; au départ empirique, elle vise à montrer les rapports et les interactions entre le psychisme et le corps ("soma" en grec).
Mais il faut donc aussi considérer qu'il y a une interaction du somatique sur le psychisme et qui est une prise en compte faite plus récemment : la somatopsychique en quelque sorte ; par exemple, la manière dont la douleur physique sera vécue au niveau psychique.
 

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MAIS N'OUBLIONS DONC PAS D'INVERSER AUSSI TOUTES LES FLECHES !

En effet, l’organe au sens très large peut enclencher (en cas d'atteinte, accidents,

traumatismes physiques, interventions chirurgicales ...)

une programmation directe du cerveau et aussi vers psychisme = aspect somatopsychique.

Psychosomatisme ET  donc aussi Somatopsychisme !

Le tout dépendant  de l'organisation et de la richesse propres

de l'environnement ("terrain") total de la personne présent, passé et à venir

et en créant de multiples (et incontournables) interactions et contre-réactions...

 

Bien entendu, cela marche aussi pour tout ce que nous ressentons de positif,

de bénéfique dans notre corps ou dans notre esprit.

 

 

Le train qui va dans un sens est susceptible

plus tard de rouler dans l'autre sens

voir se dédoubler et circuler des deux côtes

et se croiser !

Psychosomatisme ET Somatopsychisme !

 

 

"Le psychique et le somatique opèrent du point de vue de l’énergie biopsychique,

comme deux systèmes qui sont unitaires aussi bien que conditionnés l’un par l’autre.".

Wilhelm Reich (in "La fonction de l’orgasme", L’Arche- 1972)

"Avec les découvertes en physique quantique, il n'est plus possible d'envisager une relation horizontale cause-effet

mais plutôt un modèle énergétique dynamique qui nous permet de mieux comprendre

la relation entre le couple psychosomatique et somato-psychique. " Léon RENARD

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre "Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

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Le Pr. Jacqueline BOUSQUET

(docteur ès Sciences, Biologie, Biophysique, chercheur honoraire au C.N.R.S.,

chargée d'enseignement à la Faculté Privée des sciences Humaines de Paris,  Conférencière, Ecrivain)

"Notre science a besoin d’une biologie de l’immatériel"


"SCIENCE ET CONSCIENCE"

 

 Emile PINEL (mathématicien) :

" Nous sommes le résultat de nos pensées passées non adaptées au présent"

Preuves scientifiques de la prépondérante interaction du psychisme sur la matière :

(extrait de son article)

"Energie et Psychisme"

 

[...] La physique nous enseigne que “ le photon, particule porteuse des ondes électromagnétiques est à lui-même son antiparticule ”. Onde et particule sont 2 aspects contradictoires et complémentaires de la réalité (principe quantique) . Il en est de même pour le métabolisme, constitué de deux phases opposées : le catabolisme (destruction) et l’anabolisme (synthèse). Il a été démontré que photons et anti-photons seraient des neutrinos porteurs de l’information immatérielle et constituant un psychisme porteur d’un savoir.

Il y a donc une conscience dans chaque chose existante. Cette conscience est la même que la nôtre, puisque nous sommes dans un univers holographique (interférence entre la source et sa réflexion) et que cette conscience - comme la température - ne varie pas de nature mais de degrés sur l’échelle infinie de la manifestation. C’est ainsi que l’autre : minéral, végétal , animal ou humain est un alter ego !.

 

Lire cet autre texte du Pr Jacqueline Bousquet  : "Introduction de la conscience dans la matière — de la physique quantique à la biologie "

 

Les travaux de Jean Emile Charon, physicien et philosophe, sur la psychomatière, ont établi que l'intérieur du trou noir est constitué de neutrinos et de photons (qui, en réalité, ne peuvent en sortir faute de rencontrer de la matière). Ceci est exactement la façon dont la science décrit le contenu des électrons (un gaz de photons et de neutrinos) qui pulsent (changement de forme) 1023 fois par seconde. Par cette respiration, ils font communiquer l'intérieur et l'extérieur. De ce fait, ils incarnent la lumière, qui passe de nouménale à phénoménale. Laquelle, vectrice des ondes électromagnétiques - tissus de l'univers - est porteuse d'informations. Elle est à la base du magnétisme qui se manifestera par une forme, elle-même délimitée par un champ électrique correspondant au " savoir ou connaissance". C'est ainsi que changer de connaissance équivaut à renaître ou " naître avec", écrit encore le Pr. Jacqueline BOUSQUET (source disparue du Net)

 

 Dans l'univers, chaque atome est relié à tous les autres atomes,

à travers la substance (esprit) de l'anti-matière.
Toute connaissance est potentiellement accessible à chaque atome de l'univers
 

Jean-Emile Charon, physicien et philosophe

 

Lire aussi de Jean Emile Charon, physicien et philosophe : "Le psychisme électronique" :"C’est le gaz de lumière qu’enferme l‘électron qui va être le support de toutes les interactions psychiques de cette particule." Extrait page 145 :de son livre "Le monde éternel des éons" : " l'électron est de la psychomatière, et non de la matière, puisqu'il a cette particularité de n'avoir pas comme la matière ordinaire, uniquement des propriétés physiques, mais encore des propriétés psychiques".

 

Le Pr J. BOUSQUET écrit encore : "Notre science a besoin d'une biologie de l'immatériel" ;"L'application des données de la physique quantique, la reconnaissance de la psychomatière (J. Charon, physicien et philosophe) doivent nous permettre d'aborder la biologie en véritable science du vivant. Depuis de nombreuses années, la recherche dite scientifique est principalement orientée sur l'étude de la pathologie et de la mort." Disait déjà Bernard Shaw : " Les gens intelligents s'adaptent à la nature, les imbéciles cherchent à adapter la nature… C'est pourquoi ce que l'on appelle le progrès est l'œuvre des imbéciles "  et ce dont on pourrait alors qualifier de toutes ces recherches scientifiques dans la mesure où elles sont rivées arbitrairement et exclusivement sur la matière.  [...]

 

De nombreuses expériences menées par des chercheurs, y compris dans des universités tout à fait officielles, mettent en évidence le fait que la matrice qui génère le monde perceptible n'est pas elle-même perceptible, mais elle consisterait en une sorte de champ magnétique libre, non mis en forme comme la matière, mais capable de le contrôler. Par exemple, on peut dématérialiser dans l'eau, par l'intermédiaire d'électrodes, des particules de métal qui se rematérialisent deux mois après ! Pendant ce temps, l'eau dans laquelle elles se sont dématérialisées a acquis des propriétés temporaires. Il y a ainsi interconnexion entre la pensée et la matière. On peut alors dire que " L'univers ressemble plus à une grande pensée qu'à une grande machine.  Comme le dit encore Jacqueline BOUSQUET.
 

"L'espoir de l'avenir, il est dans la nature et dans les hommes qui restent fidèles à la nature.

Félix-Antoine Savard.

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quotidien

"Demain, la médecine sera quantique . . . et révolutionnera notre quotidien !"
par Dr. Jean-Louis GARILLON N.D. D.I.U. en Santé Publique, certifié en Médecine Quantique

 

[...] un "quantum" (au pluriel : des "quanta") est un "grain", une dose élémentaire d'énergie émise par l'atome et, selon la définition du physicien anglais Stephen HAWKING, le quantum est "l'unité indivisible selon laquelle des ondes peuvent être soit émises soit absorbées".
Quantique signifie la double nature des électrons : à la fois corpusculaire et ondulatoire… Cela semble paradoxal, mais c'est une réalité atomique démontrée par de BROGLIE en 1923 et acquise dans la réalité des applications …quantiques !'
[...]

Par conséquent, la médecine quantique est une démarche qui n'est pas fondée sur l'action de substances chimiques intervenant dans le corps, mais sur des réactions d'ondes ou de champs électromagnétiques appliqués à l'organisme vivant, afin de le ramener à son point d'équilibre, encore appelé "état stable". Ces réactions doivent prendre en compte la totalité de la nature biologique du sujet et en particulier sa prédétermination génétique, autrement dit son bagage héréditaire. De même, "la médecine quantique reconnaît l'interdépendance fondamentale entre l'esprit et le corps à tous les stades de la vie. Elle prend également en considération la dimension spirituelle de la personne comme une donnée incontournable.", selon R. CANNENPASSE- RIFFARD ("Biologie, Médecine et Physique Quantique" - Edit. Marco PIETTEUR – 1997).

J'aouterais qu'enfin, il aura fallu attendre ce que la Physique Quantique à confirmé par rapport aux interactions psychisme-corps (matière-immatière) pour qu'on se souvienne de sa réalité et qu'on prenne alors plus au sérieux les approches psychothérapeutiques dans ce qu'elles apportent sur le plan des guérisons (physiques comme psychiques). Rappel, il ne faudrait pas faire croire ou croire que c'est grâce à la physique quantique qu'on a pu mettre pour la première fois en avant de tels liens !

 

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Quand un poussin influence un robot

ou preuve s'il en fallait encore, du rôle directeur du psychisme sur la matière.
 

J'ai la grande joie de vous faire partager cette séquence vidéo que j'ai extraite d'une émission télévisée originellement diffusée sur Canal + (janvier 2004) et dont j'ai eu connaissance via sa rediffusion dernièrement sur la RTBF (magazine sciences - juin 2009). J'ai pu donc la capter à temps sur Dailymotion car, entre-temps, dérangeant sans doute trop de monde, elle y est disparue ! Profitez donc de la voir sur notre site tant qu'elle s'y trouvera...
Voici une autre séquence vidéo qui le montre encore.

Voici un petit résumé de l'émission : la dernière séquence de l'émission a été menée par le docteur René Peoc'h, docteur en Médecine, en Biologie animale et en Anthropologie, et auteur d'une thèse qui vérifie la théorie dite de "l'empreinte", élaborée par le célèbre Prix Nobel Konrad Lorenz, biologiste et zoologiste autrichien.  Cette expérience met en scène des poussins qui ont réussi à influencer, dès leur naissance, un petit robot, car il était sensé représenter leur mère. On sait en effet, qu'au sortir de sa coquille, le poussin prendra comme sa mère l'objet animé le plus rapproché de lui (comme l'a démontre Konrad Lorenz).

Ce robot se déplace de manière aléatoire, géré par un système électronique (alimenté par pile) et qui décide de son déplacement dans un sens ou dans l'autre. Il s'avère qu'après avoir été longuement "imprégné" par le robot, le poussin enfermé dans une cage transparente semble avoir une action psychique d'ordre affectif qui agit à distance sur les déplacements du robot. D'autant plus que si on compare le tracé des mouvements du robot, les poussins non imprégnés n'attirent pas le robot, contrairement aux autres.

Cette expérience est intéressante car de très nombreux essais ont été effectués et statistiquement, les résultats sont nettement positifs. Le docteur René Peoc'h déplore le désintérêt des scientifiques français pour la psycho-physique. Il pense que la physique fondamentale n'a pas encore dit son dernier mot et que des champs invisibles de même type que ceux infléchissant les mouvements du robot ne sont pas à exclure. J'aurai aimé personnellement pouvoir faire expérience qui met en jeu l'émission de champs magnétiques humains pour tenter aussi de faire influence le robot.

Vous pouvez prendre connaissance in extenso du texte de la thèse que ce médecin a introduite en 1986 pour l'obtention de son doctorat en médecine et qui reprend le détail de cette expérience.

Voir aussi les expériences de type effet Backster qui montrent scientifiquement les interactions psychiques entre autres dans le règne végétal

Voir également ce qu'il convient d'appeler  la communication de cerveau à cerveau et qui montre que la communication (télépathique) existe et même entre de règnes différents.

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"Pour comprendre ton corps d'aujourd'hui regarde tes pensées d'hier.

Pour connaître ton corps de demain regarde tes pensées d'aujourd'hui."

(proverbe indien)

 

Avant d'avancer quelque théorie, quelque explication scientifique que ce soit,

faisons de nouveau appel à notre "bon sens" commun :

observez ce qui se dit dans le langage courant et vous comprendrez déjà

d'où viennent tout simplement les maladies :

"J'en suis malade",
"C'est à en tomber malade",
"N'en faites pas une maladie ",
"Je peux pas digérer ce qui m'arrive",
"Je l'ai sur l'estomac"
"Je l'ai dans le nez"
"Ca fait froid dans le dos"
"J'en ai les mains qui tremblent"
"Il me gonfle"
"J'en ai le tournis !"
"Il me donne de l'urticaire"
"Cette situation m'ulcère",
"Je ne peux plus le sentir",
"Je l'ai pris en grippe",
"J'en ai plein le dos",
"Il veut ma peau",
etc.

 

 

La théorie psychosomatique, en France, a été élaborée en 1958 par un groupe de psychanalystes psychosomaticiens appartenant à la Société Psychanalytique de Paris, rassemblés sous le nom de l’Ecole de Paris […]. L’originalité de ces travaux repose sur une découverte fondamentale : le processus de somatisation apparaît lorsque le sujet n’est pas capable de traiter mentalement les contradictions qui pèsent sur lui..
Yves RANTY (1994), "Les Somatisations", p. 48, Ed L’Harmattan, Paris.

 

Après avoir examiné plus de 20.000 patients au cours de sa carrière, le docteur Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une approche différente du symptôme de ses patients : pour lui, la plupart des maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée et le simple fait de comprendre ce mécanisme nous permettrait déjà de les éviter. L’expression populaire « s’en rendre malade » trouve dans ce livre sa plus belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les empêcher d’agir sur notre corps." (Sa riche expérience agrémentée de faits précis est relatée dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard. (Source et extraits du livre)

 

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Humour : diaporama "Poème de saison"

L'ouverture de ce diaporama nécessite PowerPoint ;

si votre ordinateur n'en est pas équipé,

vous pouvez télécharger ici la version gratuite.

 

Pour éviter tout malentendu par rapport à ce qui constitue notre pratique professionnelle,

prenez bien connaissance de notre code de déontologie.

 

 

"Il serait bon que la science étudiant le fonctionnement de l'esprit

devienne véritablement celle du XXIème siècle.
Elle doit à cette fin intégrer les découvertes de la physique quantique

et l'existence de réalités non physiques

à la compréhension de la santé et des maladies mentales"

(Revue NEXUS N° 22, p. 25)

 

Toute idée conçue dans l’âme est un ordre auquel obéit l’organisme : ainsi, la représentation de l’esprit produit dans le corps ou une vive chaleur ou le froid ; elle peut engendrer ou guérir la maladie. disait déjà Saint Thomas d’Aquin !


Ensuite, de nombreux penseurs et chercheurs comme Voltaire qui disait : L'art de la médecine consiste à amuser le patient alors que la nature guérit la maladie., Gendron (1701) (“Le cancer se développe suite à une infortune qui occasionne beaucoup de soucis”), Groddeck 1866-1934) qui pose les bases de la psychosomatique en particulier dans les deux livres : “Conférences psychanalytiques” (1917) et “Le livre du ça” (1923) ( Il ne faudrait pourtant pas oublier que ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade. Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces qu'il marche, pense, respire, dort et encore 
le désir refoulé se manifeste par la maladie), Jung (déjà cité) etc. ont pris le relais en soulignant, en démontrant les liens interactifs entre le psychisme et le corps, pour ne pas parler des autres découvertes scientifiques du Pr Henri Laborit qui les confirment etc.

 

 

Ce que cache mon langage, mon corps le dit. Mon corps est un enfant entêté, mon langage est un adulte très civilisé..." Roland Barthes.
 

Mais bien avant Laborit et Hamer, en 1930, le Docteur et chercheur Hans Selye a démontré que le stress  était un ""syndrome général d'adaptation'"(SGA) et qu'il pouvait conduire à se somatiser en maladies. Le stress traduit dans la biologie est en étroit rapport et proportionnalité avec la qualité du "terrain" au sens très large : tout ce qui fait la configuration interne et l'environnement externe à la personne.

Dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard", le Dr THOMAS-LAMOTTE écrit : "Le docteur Dragan Buljevac s'est hasardé sur ce chemin de traverse avec une étude sur les malades atteints de scléroses en plaques. Pour essayer de repérer un éventuel lien de cause à effet entre symptôme et psychisme, lui et ses collaborateurs se sont intéressés aux événements psychoaffectifs vécus par leurs patients dans les mois précédant les poussées de la maladie. Ils leur ont confié un carnet dans lequel les malades devaient noter chaque jour tous les événements psychoaffectifs ressentis comme importants. L'analyse des carnets a montré qu'un traumatisme psychique était retrouvé chez 75% des patients entre 7 et 12 mois précédant les signes d'une poussée de sclérose. Malheureusement, cette étude n'a pas été publiée de façon détaillée dans les journaux scientifiques. Elle a seulement fait l'objet d'un poster affiché lors d'un congrès de neurologie avant de tomber dans l'oubli. Dans cet exemple pourtant, la piste psychosomatique était très sérieuse ! "

Les facteurs psychiques (générant des conflits à résoudre obligatoirement) sont donc indissociables de l'émergence de toute somatisation sauf dans des cas très limités : les seules exceptions étant le contact puissant avec des agents extérieurs (feu, radioactivité, produits chimiques à très fortes doses...), qui opèrent alors une contrainte mécanique aux effets physiques imparables ; le volume de la somatisation (sur une échelle qui va d'une simple irritation cutanée ou nasale, par exemple, à un gravissime cancer) dépend de trois composantes :

1° de l'intensité du choc,

2° de la durée du choc (une fraction de seconde comme pouvant induire des conséquences durant des décennies ou s'étaler durant des années voire plus et la maladie apparaît alors comme la goutte qui fait déborder le vase ; cf. le concept de jarre psychosomatique du Dr Salomon Sellam),

1° et 2° constituent ce qu'on appelle la masse du conflit qui peut donc apparaître d'une fraction de seconde à plusieurs dizaines d'années.

3°du terrain qui reçoit le choc (et donc notamment tributaire de la qualité de l'alimentation, des niveaux constants qualitatifs et quantitatifs des stress biologique et psychique, des incidences environnementales dont les pollutions électromagnétiques ...).. A propos de terrain, l'incontesté Pr Henri Laborit disait déjà :

"(...) la pathologie réactionnelle aiguë à une lésion, elle-même brutale et soudaine, dépend aussi de ce qu'il est convenu d'appeler le "terrain" et qui nous paraît être l'état de la dynamique métabolique tissulaire au moment où elle s'installe. Cette dynamique elle-même dépend de toute l'histoire antérieure du sujet, c'est-à-dire de ses rapports historiques avec ses environnements.» (...)."

 

Plus de détails sur "Nais-sens", "Valises familiales"

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medecin

Le vrai médecin est le médecin intérieur. La plupart des médecins [et certains thérapeutes]

ignorent cette science qui, pourtant, fonctionne si bien.

Dr Albert SCHWEITZER

 

Lors d'un séjour en Afrique, le journaliste Norman Cousins rencontra le Dr Schweitzer à son dispensaire de Lambaréné (Gabon) :

« Lorsque je demandai au Dr Schweitzer comment il expliquait que l'on puisse espérer guérir grâce au traitement dispensé par un sorcier [ayant constaté que Schweitzer travaillait en collaboration avec un sorcier], il me dit que je lui demandais de divulguer un secret bien gardé par les médecins depuis Hippocrate. "Mais je vais tout de même vous le dire", poursuit-il, le visage toujours illuminé par un demi-sourire. "Le secret du sorcier est dû à la même raison que notre succès à tous. Tout malade porte son propre médecin à l'intérieur de lui-même. Il vient chez nous parce qu'il ignore cette vérité. Ce que nous pouvons faire de mieux, c'est donner une chance au médecin qui réside à l'intérieur de chacun". Le placebo est le médecin qui réside en nous ».

(La volonté de Guérir, Ed. du Seuil, en livre de poche n° A43,Col. Ponts Actuels, 1981 p. 62)

 

Exemples personnels : je les fournis, non pas pour me mettre en avant mais pour expliquer,

- d'une part ce qui m'a conduit tout naturellement à exercer ce  métier, la psychothérapie (principalement de celui de susciter chez les patients l'activation plénière du "médecin intérieur" ou mieux encore du "thérapeute intérieur"),

- d'autre part, ajouter de la crédibilité aux outils qui émergent naturellement en séance, puisque je les ai expérimentés très tôt avec succès et qu'au contact des patients, ils se sont affinés et diversifiés, grâce aux solutions personnelles qu'ils ont mises en oeuvre ! Mon autoguérison la plus récente est l'autoréparation totale de mon tympan (percement disparu - détails).

innovants

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Le célèbre psychologue suisse  Carl Jung écrivait :

"La maladie est l'effort que la nature fait pour me guérir"

 

Le Pr Henri Laborit, fort de ses expériences scientifiques, dit aussi fort justement : "(...) pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr :cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent. (...)."

 

"Thomas et Duszynski, ont voulu tester ces hypothèses, en suivant plusieurs années un groupe d’étudiants américains. Parmi ces derniers, ceux qui ont développé un cancer se caractérisaient aussi par une certaine « inexpressivité » des sentiments. De son côté LeShan a étudié cinq cents patients cancéreux pendant douze ans ; il a découvert que trois quarts d’entre eux avaient eu des expériences émotionnelles traumatiques durant l’enfance. (..)  On sait par ailleurs que la dépression est quatre fois plus fréquente chez les patients souffrant de cancer. La dépression elle-même a été citée comme facteur de prédisposition au cancer (...) "  (Source  : "Psychogenèse"   au sujet des rapports entre facteurs psychologiques et cancer - source disparue du Net)

 

 

"La maladie du corps est la guérison de l'âme."

(Proverbe basque)

 

Dessin de Léonard de Vinci


Les relations entre structures nerveuses et lymphocytes, de même que les relations entre comportement animal et réponses immunes ne sont plus à démontrer, comme en témoignent les constatations suivantes faites à l’hôpital du Mont-Sinaï à New York : au moment du décès de leurs épouses atteintes d’un cancer du sein, les maris présentaient une réduction brusque et significative de leurs défenses lymphocytaires. Les modifications, observées au moment du deuil, avaient ensuite tendance à disparaître au cours des mois, suggérant un rapport entre l’état émotionnel induit par la mort du conjoint et les modifications des paramètres biologiques. Cette observation a été largement confirmée par la suite. Il existe ainsi un rapport entre situation de stress et réponse immunitaire (si on reprend ici ce concept dépassé et crée par la science médiale dans sa partie matérialiste et rationaliste), tant chez l’animal que chez l'homme.
 

"Pourquoi un pharmacien qui ne voit que des malades tout au long de sa journée, toute la semaine et même toute l'année, ne tombe-t-il jamais malade ? Pourquoi, après avoir vu 20 personnes grippées en une seule journée, soit 100 en une semaine, un généraliste ne l'attrape-t-il pas non plus ? Pourquoi cette personne qui n'a jamais fumé a-t-elle un cancer des poumons, alors que ce fumeur invétéré qui grille sa cigarette depuis 50 ans n'a rien ? Pourquoi les femmes divorcées sont-elles la majorité des cancers du sein ? Pourquoi tous les hommes ne font-ils pas un cancer de la prostate ?" se pose comme questions le Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte dans son livre ("Et si la maladie n'était pas un hasard...")  et il y donne des réponses qui sont en phase avec les avancées de scientifiques innovants (notamment cités), quand il écrit :

"En écoutant les histoires vécues dans les familles ou au travail, il ne semble faire aucun doute qu'un choc psychique précède souvent une maladie grave. Ainsi, il est très fréquent d'observer des dépressions réactionnelles ( à distinguer d'une réaction de deuil ) après des traumatismes psychoaffectifs graves : décès ou simplement séparation d'un proche, rupture amoureuse, échec professionnel, maladie grave d'un enfant ou d'un parent.
Il existe également un grand nombre de maladies somatiques qui semblent dépendre directement des facteurs psychiques : ulcère de l'estomac, poussées de tension artérielle, maladies de peau comme l'eczéma ou le psoriasis, crises d'asthme... Certains symptômes peuvent apparaître immédiatement après un traumatisme psychique en quelques minutes, heures ou en quelques jours. D'autres maladies ne seront diagnostiquées qu'après plusieurs semaines ou mois, notamment lorsqu'il s'agit de cancers qui se développent lentement dans la profondeur du corps. Nous allons donner un certains nombre d'exemples où la maladie semble bien se déclencher après un traumatisme psychique important
."

 

Prix Nobel de médecine 2008 pour sa codécouverte du VIH (SIDA), le Pr Jean-Luc Montagnier en est « arrivé à la notion de "champ oxydant"» (1) concernant l''origine des cancers.. Dans « l’addition des phénomènes créateurs de stress oxydant », il inclut des « facteurs psychologiques » et précise que « le système immunitaire lui-même est affaibli par les problèmes de stress psychologique » (2).
 (1) Luc Montagnier, Les Combats de la vie, Ed. Jean-Claude Lattès, Paris, 2008, pp. 190-191.
(2) Interview du Pr Montagnier, propos recueillis par Céline Andrillon pour la revue Bio-énergie n°27 (source disparue du Net).
 

En résumé, on pourrait dire que c'est le cerveau, centrale de commande, qui, sur ordre du psychisme, face à une problématique qu'on arrive pas à résoudre, déclenche une variété infinie de somatisations (maladies, malaises, mal-être, surpoids,  entraînant diverses assuétudes etc...) mais localisés (organe ou fonction) suivant et conformément à la nature des ressentis et dont l'intensité sera tributaire de la qualité de terrain propres à chacun. Le " « mal à dire »" est alors la solution (spécifique et symbolique) temporaire pour résoudre un conflit  qui n'arrive pas à se résoudre rapidement ; ce conflit génère un surstress représentant pour le cerveau un réel danger de mort (perte de vigilance par rapport au danger environnemental) et dont la maladie constitue donc une parfaite solution de survie en déplaçant le stress dans un organe ou une fonction cible, en se donnant ainsi plus de temps pour résoudre la situation conflictuelle qui le nourrit.

 

"Le changement commence par le changement personnel. Tant qu’on aura pas appris aux hommes comment fonctionne leur cerveau,

 et que jusqu’ici ça a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chances que les choses changent."
          Pr Henri Laborit.           

 

La maladie elle-même apparait comme une tentative de solution symbolique à une situation conflictuelle ; pour le cerveau, "comme si = c'est". Le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et le virtuel (symbolique etc.). Ce que nous montrent les animaux est très riche d'enseignement ; exemple vécu de mon chat blanc qui vomit son repas, lorsqu'il constate, contre toute attente, que ses croquettes sont distribuées à un autre chat qui n'est pas encore intégré et admis dans son environnement. Pour en prendre conscience chez soi, voyez ce qui se passe lorsque vous regardez un film : toute votre physiologie (battements rapides de coeur, pleurs etc.) exprime des états semblables à ceux qui existent en situation réelle, lors d'un vécu analogue à ce que représentent les événements transposés en film. (en savoir plus sur la technique de la lettre & de l'acte symbolique utilisée en psychothérapie pour se libérer d'un conflit).

 

"Il serait agréable de penser que la source de nos souffrances réside chez les autres ou, mieux encore, dans la société.

En fait, l’origine des conflits est en chacun de nous."

Pr. Maurice Tubiana, cancérologue, dirigeant le centre anticancéreux de Villejuif.
 

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La maladie se manifeste en deux phases :

      Lorsque celui qui en souffre a réussi consciemment ou inconsciemment à résoudre la situation conflictuelle qui s 'est donc somatisé dans un organe précis,

        la phase conflictuelle du « mal à dire » (maladie etc.) disparaît  et vient éventuellement une phase de réparation (vagotonie)  qui peut se traduire

        par une autre maladie (seconde phase) où peuvent intervenir à juste titre, virus, bactéries, mycobactéries etc.

        Ceux-ci se comportent soit, comme « éboueurs » des cellules en excès devenues inutiles,

        soit, comme « ouvriers » chargés de reconstruire les organes détruits, endommagés etc.  durant la première phase (dite conflictuelle).

        (voir aussi  "Ce que finit par entraîner la peur de...").

 

Une fiche pratique pour guérir plus rapidement.

Un nombre important de livres et de sites sont consacrés à ce sujet.

 

Il convient aussi de considérer les incidences des facteurs transgénérationnels et qui expliquent que les maladies prétendues génétiques ne sont en fait que des conséquences de conflits familiaux non résolus dont certains peuvent remonter à la quatrième génération ; cependant de tels conflits familiaux ne pourront s'activer que si le vécu du descendant-cible ne le permet (événement personnel en résonnance obligée). (cf. Psychogénéalogie).

 

 

"Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre

les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes,

parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables.

Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance,

et rares sont les personnes qui veulent la confronter. " Alice Miller

D'où l'importance de se faire accompagner lorsqu'on arrive pas à y voir clair ou à déclencher le processus conduisant à la guérison.
 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

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(°°°) Dès la première page de son livre « Inhibition de l'action » (Masson, Paris, 1980), le Professeur Henri Laborit (1914-1995) évoque le PBD (programme biologique de survie) : « Quand l'action [Ndlr :pour résoudre un conflit] est  impossible, l'inhibition de l'action permet encore la survie puisqu'elle évite parfois la destruction, le nivellement entropique avec l'environnement. C'est en ce sens que la « maladie » [Ndlr :les guillemets sont de Laborit] sous toutes ses formes peut être considérée comme un moindre mal, comme un sursis donné à l'organisme avant de disparaître.» (...) « Le manichéisme qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques. Il serait sans doute préférable dans certains cas, pour traiter un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental." (...) "Nous sommes les autres, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres - nos parents, les membres de notre famille, nos éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie."

 

 

Laborit se montre pessimiste à l'égard des "grands progrès" de la médecine moderne qu'il ne considère que comme une médecine d'urgence. "Certes, dit-il, si je contractais une pneumonie, je serais heureux de recevoir de la pénicilline. Mais pourquoi ai- je contracté une pneumonie? Parce que j'étais en inhibition de l'action, consciente ou inconsciente. Or, même en convoquant mon entourage familial, professionnel, etc., tous ceux qui remplissent ma niche environnementale, en scrutant l'établissement défectueux de mes relations interpersonnelles, de classes, de groupe, etc., on ne pourra jamais connaître le contenu de ce que les phénoménologistes appelleraient mon " vécu " que je suis moi-même incapable de pénétrer. Or nous négocions notre instant présent avec tout notre acquis antérieur, depuis notre naissance et peut-être avant. Avec ce que l'environnement, familial en particulier, a fait de notre cerveau immature à la naissance, pendant cette période de l'" empreinte " où nous ne savons pas encore qui nous sommes dans un milieu différent de nous, cette période où nous mémorisons sans savoir que c'est nous qui mémorisons. Nous négocions notre instant présent avec tout notre apprentissage, nos automatismes, tout ce monde inconscient qui vit en nous et constitue ce qu'il est convenu d'appeler une personnalité humaine. C'est cet ensemble invisible, inconnu, qui décide de mon inhibition ou de mon action à un moment donné de mon histoire et qui va donc présider à ma santé ou à ma maladie. Mais alors qui est malade et par rapport à quelles normes ? Est-ce l'individu à son niveau d'organisation psychobiologique, ou l'environnement social qui l'englobe ?"
Lire encore cette extrait d'interview accordée par le Pr Henri Laborit à Radio Canada.

 

(°°°°°) Dr Hans Selye :  "(...) L'idée du concept de stress et du syndrome général d'adaptation (S.G.A.) m'est venue en 1925, alors que j'étudiais la médecine à l'Université de Prague. (...) Je ne pouvais comprendre pourquoi, dès l'aube de l'histoire de la médecine, des médecins ont concentré tous leurs efforts sur la reconnaissance de la maladies particulières et la découverte de remèdes spécifiques sans prêter aucune attention à quelque chose de beaucoup plus évident: "le syndrome du simple fait d'être malade". Je savais qu'un syndrome est "un groupe de signes et de symptômes qui se présentent ensemble et caractérisent une maladie". Eh bien! les patients que je venais de voir avaient un syndrome, mais il semblait que ce fût un syndrome caractérisant la maladie en tant que telle et non une maladie particulière. Serait-il possible d'analyser ce "syndrome général de la maladie" et peut-être même trouver des remèdes capables d'agir contre le facteur non spécifique dans la maladie? Ce ne fut, cependant, que dix années plus tard que je parvins à exprimer tout cela dans le langage précis de la description scientifique fondée sur l'expérimentation. (...) Dans son ensemble, le syndrome de stress, ou syndrome général d'adaptation (S.G.A.) évolue selon trois stades successifs : 1) La "réaction d'alarme" pendant laquelle les forces de défense sont mobilisées; 2) Le "stade de résistance" qui reflète la complète adaptation à l'agent "stressant"; 3) Le "stade d'épuisement" qui suit inexorablement pourvu que l'agent stressant soit assez puissant et agisse assez longtemps, le pouvoir d'adaptation d'un être vivant étant toujours limité" (Hans Selye) Dr Hans Selye, "Du rêve à la découverte", Éditions de La Presse, 1973, p. 66-68.
 

 

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Les maladies organiques ont un support psychique. Les microbes existent, bien sûr, je les ai vus.

Mais, de plus en plus, on se pose cette question fondamentale : ces microbes sont-ils la cause de la maladie

ou leur virulence et leur pullulement en sont-ils la conséquence ? "

FRANCOISE DOLTO & GERARD SEVERIN (extrait de "La foi au risque de la psychanalyse", source disparue du Net).


"Le corps n'est que le reflet de l'âme". (Fox Emmet )
 


 

" La science doit s'accommoder à la nature.

La nature ne peut s'accommoder à la science."
Ferdinand Brunot.
 

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Tout autant n'adhérons pas aux comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

 

 

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"Restaurer l’unité corps / âme / esprit"

Marc J. Pantalacci

 

"Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l'esprit." Platon
 

"Aujourd’hui il appartient à la médecine d’intégrer cette dimension holistique qui prend en compte la totalité de l’approche du Vivant, dans sa réalité double : biologique et vibratoire. L’homéopathie, l’acupuncture, la géobiologie, la médecine ayurvédique, ou plus encore, récemment, les liens étroits avec la mécanique quantique et les champs morphiques et informationnels, viennent enrichir notre conception de l’homme et de son fonctionnement dans un système unitaire, où le Tout contient chaque partie, et chaque partie le Tout.
Ces médecines globales nous rapprochent plus que jamais de cette union corps / âme / esprit, seule garante de notre bien-être, physique, psychique et spirituel. La médecine du troisième millénaire sera celle qui restaure l’unité corps / âme / esprit.


Pour permettre la guérison, il faut atteindre le lieu de la conscience pure - la fréquence vibratoire - qui n’est jamais touché par la maladie, car la maladie n’est qu’un phénomène purement somatique. Rappelons que la maladie n’est pas une agression d’un agent extérieur qu’il convient de combattre, mais l’expression d’un conflit intérieur, un défaut dans le réseau de vibrations dont nous sommes constitués.

La médecine de conscience a pour but de rétablir l’émission correcte des vibrations, par un accès direct au cœur de Vivant.
Il y a des milliers d’années, la science et la philosophie orientales ont eu l’intuition de ce que la "Science élargie" est en train de redécouvrir.
C’est de la conjugaison de ces deux médecines que naîtra la médecine du futur, celle de l’homme médiateur du Ciel et de la Terre.
Car nous sommes entrés dans le "Temps des mutants".

Et il y a nécessité de changer de paradigme, d’être conscient de la manifestation, en refusant le "consommer-mourir" pour la voie de la conscience, de la liberté et de la responsabilité.
"
 

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placebo

Placebo : un allié pour guérir ?

la "médaille"...

 

 

 

Décrié par certains mais qui ont la plupart du temps en commun de solides dogmes matérialistes et scientifiques, efficacement intégré par d'autres dans leurs soins, l'effet placebo est de plus en plus reconnu comme facteur incontournable dans l'efficacité des approches de santé au sens large du terme.

Tenter de faire le tri entre le vrai et le faux...

 

"Notre placebo du chef"

 

 

Ce qu'est le placebo.
« Un placebo est une mesure thérapeutique d'efficacité intrinsèque nulle ou faible, sans rapport logique avec la maladie, mais agissant, si le sujet pense recevoir un traitement actif, par un mécanisme psychologique ou psycho-physiologique. Dit autrement : « ça marche juste parce que j'y crois », ou l'autosuggestion appliquée à la médecine. Le médicament placebo ne contient a priori aucun composé chimique ayant une activité démontrée. Notons par ailleurs que le placebo ne se présente pas uniquement sous la forme d'un médicament : il peut s'agir d'une opération chirurgicale inadéquate, d'un traitement physiothérapeutique mal conduit ou inutile, et de toute autre intervention thérapeutique dont l'indication est mal posée, ou la réalisation incorrecte.
L'effet placebo (du latin : « je plairai » est défini comme l'écart positif constaté entre le résultat thérapeutique observé lors de l'administration d'un médicament et l'effet thérapeutique prévisible en fonction des données strictes de la pharmacologie. Tout geste thérapeutique, valide ou non, comporte d'ailleurs une part plus ou moins grande d'effet placebo
». (Wikipedia)

pain

Même quand les patients apprennent que ce qu'on leur a administré était du placébo, les effets bénéfiques perdurent :

« Des chercheurs ont provoqué une douleur sur le bras de volontaires qu’ils ont soulagée avec un soi-disant "médicament". Quand les patients ont su, au bout de quatre jours, qu’il s’agissait d’un placebo sans principes actifs, l’effet analgésique a persisté malgré tout…»

« Dans un article paru dans The Journal of Pain, les scientifiques décrivent l’expérience qu’ils ont menée sur 40 volontaires. Les chercheurs leur ont expliqué qu’ils participaient à une étude comparant les effets d’une crème contenant un composant analgésique (en réalité c’était un placebo) et d’une crème sans ingrédient analgésique (contrôle). Les deux crèmes étaient identiques, la seule différence était l’ajout d’un colorant bleu dans la crème placebo. Pour leur faire croire qu’il s’agissait d’un vrai médicament, les chercheurs ont fait lire aux participants la composition du « médicament » ; ils leur ont aussi donné des informations sur les précautions à prendre et les effets secondaires possibles. L’emballage du faux médicament ressemblait à celui d’un vrai médicament. Lors de l’expérience, les scientifiques ont provoqué une douleur par la chaleur sur l’avant-bras des participants, sans brûler la peau. Cette douleur devait être soulagée par la crème fournie. Chez 20 participants, l’expérience a été renouvelée sur quatre sessions, sur quatre jours différents au cours desquels les participants ne savaient pas qu’ils utilisaient un placebo. Les chercheurs ont comparé les effets de ce conditionnement long de quatre jours à un conditionnement court d'un jour. Ensuite, lors de la phase de test, les scientifiques ont révélé aux volontaires qu’en réalité ils prenaient un placebo ».

 

 

« L’explication, pour Tor Wager, un des auteurs de l’étude, est que le conditionnement permet au cerveau d’apprendre de répondre au traitement, puis :  "Une fois que l’apprentissage a eu lieu, votre cerveau répond toujours au placebo même si vous n’y croyez plus". Le principal auteur, Scott Schafer, ajoute que "les placebos induisent la libération de substances qui soulagent la douleur dans le cerveau, mais nous ne savons pas encore si cet effet placebo dépendant des attentes utilise le même système ou des systèmes différents" ». (Source)

 

(Retour au début du présent article Placebo, un allié pour guérir).
 

Dans le milieu médical, on se moque malgré tout encore du placebo, certes de moins en moins, mais les combats d'arrière-garde existent...

 

« Les soldats blessés vainqueurs guérissent plus vite que les vaincus »

avait observé le chirurgien des armées, Ambroise Paré au XVIème siècle.
 

Bien que de tout temps, on a observé que l’état psychique d’une personne interférait directement sur son état de santé physique, comme sur la manière et la rapidité avec laquelle elle se guérit et qui dépend de son vécu, de ses croyances et de ce qu'on appelle communément de son "moral".... conformément à  ce que notamment Ambroise Paré avait observé. Certains matérialistes et rationalistes se moquent par exemple de l’homéopathie parce qu'a leurs yeux, elle ne serait pas plus efficace qu'un médicament placebo, témoignant ainsi de leur ignorance de sa portée prodigieusement influente ; pour appuyer leurs dires, ils ne se basent que sur des études qui corroborent leurs dénigrements, alors qu'il existe (évidemment) d'autres études qui attribuent un score plus favorable à l'homéopathie par rapport à ce qu'atteignent les traitements placebo. Comme on le constatera dans cet article, la validité de telles études est d'ailleurs sujette à caution..Victimes de leur prisme déformant, les plus scientistes d'entre eux vont jusqu'à soutenir que la seule preuve qui vaille pour déterminer l'efficacité d'un traitement, c'est celle donnée par l'expérimentation scientifique !

 

Pour expliquer pareille errance, voici l’avis très autorisé et malheureusement toujours d’actualité du Dr John ECCLES (1903-1997), prix Nobel de physiologie et de médecine en 1963  pour la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de l’influx nerveux (synapse) et qui s'est aussi fortement intéressé aux rapports entre psychisme et physiologie :

"Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par exemple, affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique sans essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre - sous prétexte que ce n'est pas "scientifique" - est un dogme, pis, une superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de toutes sortes... Le plus navrant, c'est que le public est persuadé que la science a réponse à tout.." (Revue française Psychologies n° 100, juillet-août 1992, pp. 54-55)


De plus, on a démontré de nombreuses fois qu'un médicament allopathique n'était pas nécessairement plus actif qu'un placebo : tout dépend de la croyance de son efficacité chez la personne qui le reçoit ; d'ailleurs, les laboratoires pharmaceutiques s'adonnent à étudier et à composer d'une manière pointue différents paramètres de type psychologique pour en booster les effets, démontrant par là qu'ils croient à la puissance à l'effet placebo : couleur de la pilule, forme, couleur de l'emballage, nom du médicament (exemple pour le Viagra, c'est la couleur bleue qui a été choisie en référence au Niagara dont il s'inspire, pour évoquer une puissante image de force, comme le suggèrent les colossales chutes d'eau !).

D'autre part, l'efficacité de certains médicaments allopathiques mise en comparaison avec des médicaments placebo ne serait due qu'au fait que le sujet qui les prend ressentant des effets secondaires lors de la prise d'un médicament allopathique, ce qui ne se produit pas lorsqu'il a recours au médicament placebo : habitué au fait qu'un médicament a des effets secondaires, il développe alors la croyance que la perception d'effets secondaires est le signe sine qua non d'une quelconque efficacité !  Ces derniers éléments sont repris du livre du Dr Patrick LEMOINELe mystère du placebo (Éd. Odile Jacob, Paris, 1996) :

 

 

 

L'illusion en médecine porte le joli nom de placebo. Elle soigne, guérit même parfois. Elle fait disparaître l'eczéma ou dormir le nourrisson insomniaque. Elle apaise l'anxiété ou soulage la douleur. Comment, sans action chimique, un tel pouvoir est-il possible ? Et pourquoi donc les médecins exploitent-ils si peu, ou avec tant de mauvaise conscience, ce phénomène ? [°] Où l'on découvre d'étranges pratiques, souvent tenues secrètes par la corporation médicale, et l'alliance inattendue de la médecine et de la magie. (Extrait de la présentation du livre.).

° Sans doute parce que détenteurs patentés de l'art de guérir, reconnaître que le médecin intérieur (voir plus bas) fait sans doute bien mieux que tous les traitements conventionnels, leur ferait perdre, et pas seulement un peu, de leur position d'autorité et de pouvoir (effet blouse blanche).! 

 

Voici l'une des nombreuses sources qui témoignent de l'imposture de certains médicaments allopathiques (extrait de Quand les thérapeutes dérapent):

Les antidépresseurs de la dernière génération ne montrent pas de différence par rapport aux placebos. Voici le verdict "sans appel" de deux scientifiques réputés (Irving Kirsch de l’université de Hull au Royaume-Uni, et Blair Johnston de l’université du Connecticut aux USA), qui ont passé en revue la totalité des essais cliniques des six antidépresseurs de nouvelle génération les plus prescrits : « Ces médicaments […] ne sont pas plus efficaces qu'un placebo ! Autrement dit, un médicament ne contenant pas de principe actif… » (Source)

 

« La suggestion mentale est connue depuis plusieurs siècles en médecine. Déjà, au XIII° siècle, le moine savant Roger Bacon décrit parfaitement comment la guérison s’améliore si le malade s’approprie la médecine qui lui est prescrite, pour que son âme s’en réjouisse et trouve en elle la force de la guérison. Deux siècles plus tard, Paracelse va même plus loin et considère que le malade finit par devenir ce qu’il imagine. Il mettait en garde contre la peur [cf. ce texte qui vous permettra de comprendre les effets psychobiologiques négatifs de la peur] qui, en période d’épidémies, peut renforcer la propagation et la gravité du mal. L’image mentale que nous nous représentons de nous-même ne contribue-t-elle pas à notre devenir ? "Imaginez-vous dans un corps sain et votre intuition vous portera à des choix naturels qui renforceront votre santé. Demeurez dans la tristesse et vous finirez par avoir mal au coeur », disait-il. [d'où l'importance de pouvoir se faire accompagner psychothérapeutiquement lorsque la tristesse, la dépression perdurent...] (Docteur Paul Dupont in Pratiques de Santé n°84 novembre 2008).
 

Lors de son audition devant une séance d'une commission d'enquête du Sénat français du 19 décembre 2012, le Pr Ivan KRAKOWSKI (°) précise à propos de l'effet placebo  qu' « il peut être extrêmement puissant. En cancérologie, il est tout à fait fréquent dans les études thérapeutiques d’observer un effet placebo de plus de 60% même contre des thérapeutiques tout à fait établies ». Par ailleurs, il y avait aussi fait observer avec un solide bon sens que « L'absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence d’efficacité »..

(°) Directeur du service interdisciplinaire de soins de supports en oncologie au Centre Alexis Vautrin (CLCC de Nancy).

 

De mon côté, je peux vous témoigner que professionnellement j’ai accompagné (sur le seul plan psychologique) de nombreuses personnes qui, parce qu'elles étaient convaincues de l'influence sine qua non de la composante psychologique dans la survenance des maux et donc ce qui est sous-jacent à l'effet placebo ont pu effectivement SE guérir de leur cancer (par exemple), en étant arrivées à s'affranchir d’un diagnostic médical pourtant peu optimiste et sujette alors à un effet nocebo (certes, ne jetons pas l'enfant avec l'eau du bain, tout en bénéficiant de ce que la médecine conventionnelle pouvait leur apporter d'utile en l'occurrence).
 

« Enfin, comment faire la part de l’effet placebo, inhérent à toute pratique médicale, parallèle ou orthodoxe, ce secret mélange omniprésent dans la relation médecin-malade entre empathie, conviction du thérapeute et attentes du patient ? (Voir Sciences et Avenir n° 705, novembre 2005.) Pour tenter de le contourner, dans le cas de l’acupuncture, les expérimentateurs n’hésitent pas à implanter de vraies fausses aiguilles (lire p. 45)… Autre difficulté : les pressions exercées par les laboratoires pharmaceutiques, régulièrement accusés par les défenseurs des médecines alternatives de préserver l’approche traditionnelle du "tout-médicament" ». ("L’hôpital s’ouvre aux « autres » médecines ", Science et Avenir de février 2007).

 

La part effective de l’effet placebo dans la pratique médicale conventionnelle ou non conventionnelle est donc sans aucun doute décisive : l’attitude du soignant, son soutien, son charisme... interviennent incontestablement dans un tel effet. De nombreuses études cliniques ont clairement montré qu’un traitement quelqu’il soit n’est efficace que proportionnellement au crédit que lui apporte le soigné mais qui dépend donc aussi de l'état d'esprit, de l'attitude du soignant. Entre autres preuves, en Allemagne dans plusieurs universités, on organise un VRAI examen d’entrée (mais pas comme ici un examen des seules connaissances théoriques) : chaque candidat est évalué suite à une sorte de séance devant un patient (fictif) ; s’il n’a pas les qualités humaines et de relation d’aide authentique requises, il n’est pas sélectionné ! Aucun problème alors de surnombre de médecins et en plus, ils sont tous de meilleure qualité !

 

interieur

« Le vrai médecin est le médecin intérieur. La plupart des médecins [et certains thérapeutes] ignorent cette science qui, pourtant, fonctionne si bien »,

 soulignait pertinemment le Dr Albert SCHWEITZER (1875-1965), médecin, théologien protestant et musicologue français
 

En fait, « le placebo est le médecin qui réside en nous ».

(Norman COUSINS, La volonté de guérir, Ed du Seuil, 1980, p. 62.)

Il ne faudrait pourtant pas oublier que ce n'est pas le médecin qui vient à bout de la maladie, mais le malade.

Le malade se guérit lui-même, comme c'est par ses propres forces qu'il marche, pense, respire, dort et encore le désir refoulé se manifeste par la maladie), Jung
 

C’est ainsi qu’abusivement, un traitement strictement médical (et analogiquement tout autre type de traitement au sens large) est parfois taxé d’efficace par le fait de sa seule intervention ; pourtant, divers témoignages confortés par mon observation professionnelle me montrent souvent que, parmi de telles personnes qui se sont donc ainsi guéries, ils s’en trouvent peut-être :

1° qui ont pu résoudre (consciemment ou pas) ce qui avait généré psychologiquement le malaise, la maladie… (mais sans préjuger qu’un tel symptôme ne réapparaisse ensuite étant donné, en l’espèce, que la/les situations conflictuelles qui sont à l'origine de la somatisation n’auraient donc pas été solutionnées en profondeur, ce qui arrive souvent, car les médecins ne sont généralement pas formés à assurer un accompagnement psychothérapeutique adapté et qui permettrait d’annuler les effets de telles situations) ,

2° qui ont été en contact avec des événements qui ont apporté (consciemment ou pas) une solution temporaire ou définitive à ce qui a généré leurs maux sur le plan psychologique, (même remarque que dans le point précédent) ;

3° qui ont bénéficié de l’effet placebo tributaire du charisme de celui qui a préconisé le médicament ou le traitement (même remarque que sous  le point 1°) ;

4° qui ont reçu d'autres effets bénéfiques (non conscientisés) comme par exemple, le fait d’avoir été hospitalisé et profiter ainsi de ce que la vie aura apporté de ce fait ou concomitamment, comme solutions temporaires ou définitives aux situations conflictuelles (qui s’étaient donc somatisées en maladies); mais en l’occurrence, le symptôme disparu pourra réapparaître plus tard à la faveur d’une situation conflictuelle (récidive), propice à redéclencher la somatisation au cas où ce qui est donc sous-jacent n’aurait pas été résolu en profondeur.
 

Il devient en effet de plus en plus difficile de douter le l'influence prédominante du psychisme sur le corps, ainsi qui a été incontestablement et superbement démontré par l'attribution ce triple prix Nobel de physiologie et de médecine en 1977. En revanche, il faut donc attirer l’attention sur le fait que le seul effet placebo ne pourra pas venir à bout des causes réelles des maux et qui le cas échéant, non résolues pourraient donc se manifester de nouveau par des somatisations par exemple.

Enfin, dans les approches psychosomatiques non conventionnelles des maladies, il y a malheureusement des dérives manifestes et que nous combattons fermement (cf. "Médecine" du Dr Hamer et et "Biologie totale" du Dr Sabbah).

 

 

 

« Un mot peut être le stimulant puissant des plus complexes manifestations fonctionnelles »

Konstantin Bykov .physiologiste

 

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glamour

"Le glamour et la brillance de la présentation [du médicament] amélioraient indirectement les attentes des cobayes".

 

"Le fait que cette évolution soit si localisée laisse penser aux chercheurs que la publicité directe de médicaments aux consommateurs a peut-être un effet sur leurs attentes. Les USA sont en effet le seul pays au monde - avec la Nouvelle-Zélande - à autoriser la réclame pour des médicaments uniquement délivrés sur ordonnance. Les laboratoires dépensent ainsi des sommes colossales dans la publicité, tout particulièrement depuis un assouplissement des règles intervenu en 1997. Soit à peu près au moment où l'effet du placebo a commencé à se renforcer, selon l'étude canadienne.

Les chercheurs estiment que, confrontée à la publicité qui vante les miracles que peuvent accomplir les médicaments, la population a commencé à avoir des attentes plus fortes, à croire davantage à leur efficacité. Le mécanisme psychologique ou physiologique qui joue dans l'effet placebo s'en serait ainsi trouvé renforcé.

La pub ne serait néanmoins pas la seule responsable. Les données de l'étude suggéreraient par ailleurs que plus l'essai clinique s'inscrit dans la durée, et plus il est vaste, plus l'effet placebo augmente. Comme si, raconte Nature, 'le glamour et la brillance de la présentation amélioraient indirectement les attentes des cobayes'.
" (Source BFMTV).
 

Rien d'étonnant à cela, car c'est l'une des nombreuses expressions de l'effet placebo ; comme dit plus haut dans cet article Placebo : un allié pour guérir ?, on a démontré de nombreuses fois qu'un médicament allopathique n'était pas nécessairement plus actif qu'un placebo : tout dépend de la croyance de son efficacité chez la personne qui le reçoit ; d'ailleurs, les laboratoires pharmaceutiques s'adonnent à étudier et à composer d'une manière pointue différents paramètres de type psychologique pour en booster les effets, démontrant par là qu'ils croient à la puissance de l'effet placebo : couleur de la pilule, forme, couleur de l'emballage, nom du médicament (exemple pour le Viagra, c'est la couleur bleue qui a été choisie en référence au Niagara dont il s'inspire, pour évoquer une puissante image de force, comme le suggèrent les colossales chutes d'eau !).

Retour au début de l'article  Placebo : un allié pour guérir ?

 

 

 

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nocebo

 

Nocebo, un allié santé injustement diabolisé...

....  et le "revers de la médaille",

mais pourtant tellement porteur d'enseignements libérateurs !

 

 

Résumé : est qualifié de nocebo la présence d'un effet somatique ou psychique indésirable au seul contact d'un déclencheur (toxique...) qui n'est physiquement pas présent et qui est/serait donc le fruit de l'imagination (exprimant en filigrane une forme de croyance limitante) de la personne touchée. Cependant les personnes qui le dénoncent sans autre procès, diabolisent trop souvent, inutilement et contreproductivement un tel effet, affublées la plupart du temps de solides oeillères dogmatiques de type matérialiste et scientifique en ce qu'elles ne prennent sinon pas, du moins pas assez en compte les autres incidences (psychologiques, immatérielles...), lesquelles constituent pourtant une réalité à bien prendre en compte et donc digne d'une prise en charge thérapeutique pour désactiver ce qui la nourrit. De telles postures dogmatiques les empêchent humblement de percevoir que, derrière les attitudes empreintes de nocebo, se profilent pourtant des caractéristiques psychiques particulières à la personne, porteuses de précieux enseignements sur le plan (psycho)thérapeutique : vu sa qualité de principe gouverneur en amont, c'est le psychisme qui provoque in fine les maladies, au même titre, mais inversement, que l'effet placebo (dont l'importance cruciale est trop souvent négligée de la part du corps médical) : en faire des alliés thérapeutiques permet d'arriver à guérir plus rapidement... On verra aussi que les soignants qui diabolisent l'effet nocebo chez leurs patients et souvent d'un manière méprisante, sont (sans le savoir) tout aussi sujets dans leur pratique à diverses emprises analogiques au nocebo et pire, aux effets dommageables pour ceux qu'ils sont pourtant en charge de soigner le mieux possible (contrairement à ce que le serment d'Hippocrate leur dicte d'ailleurs) !

Tenter ici aussi de faire le tri entre le vrai et le faux...
 

Ce qu'est le nocebo : « L'effet psychologique ou physiologique lié à la prise d'une substance inerte n'est pas toujours bénéfique, il peut être dommageable pour l'individu : c'est l'effet nocebo (du latin : « je nuirai »). Ont ainsi été observés des troubles apparus chez certains riverains d'une antenne-relais de téléphonie mobile, alors même que l'installation n'avait pas encore été mise en service. Lors d'une étude sur l'influence de la prière sur la guérison d'un malade, certains d'entre eux présentaient plus de risque de complications médicales s'ils étaient informés que des prières étaient dites en leur faveur. Une hypothèse est que le stress supplémentaire induirait un effet nocebo ou serait source de risques accrus de complications ». (Wikipedia)

 

Quelques exemples qui montreront que l'investigation psychologique est trop souvent négligée face à des situations mettant en jeu l'effet nocebo et qui font se déclencher des maladies, alors que la règle qui prévaut presque toujours dans l'approche médicale conventionnelle est de considérer que c'est le toxique etc. qui est le vrai responsable, fidèle ancrage à ne considérer (dogmatiquement) que le symptôme :

* contact sur la peau (réaction urticante) avec le POISON D'IVY ;

un cas de RHUME DES FOINS mais qui permet de comprendre les autres.;

* un cas de réaction aux poils de CHAT BLANC.(comme toutes les autres réactions négatives aux animaux) ;

* ce qui explique pourquoi certains HAMSTERS et donc pas d'autres attrapent des cancer des poumons ;

ce qui est arrivé à mon  père (et à bien d'autres) qui a fini par attraper le cancer des poumons par peur de l'attraper, comme c'est souvent le cas ;

* le cas du Pr Pettenkoffer qui, devant ses élèves médusés, avala tout un verre contenant des millions de "bacilles virgules" se tortillant et réputés en suffisante quantité pour "infecter" tout un régiment, mais il ne lui arriva pourtant rien, contredisant (comme de juste)  le dogme médical qui avance ex cathedra que les maladies infectieuses se transmettent par simple contact (créant ainsi des peurs irraisonnables et qui ont une fâcheuse et irrépressible tendance alors à attirer ce qui est redouté !)  A l'inverse de ce qui est arrivé à mon  père, ce professeur n'était effectivement pas sujet à la peur de tomber malade de la sorte...

En fait, le commun dénominateur de ces cas est la présence d'un code psychologique caché qui active une somatisation particulière, à la manière d'un interrupteur (avec une symbolique qui ne tient en fait en rien du hasard), ce qui fait toute la différence, comme on le verra encore au travers de l'exemple donné plus bas par le Pr Henri Laborit !

 

Dans tous ces exemples, on observera que la peur, le stress, la croyance morbide..., s'exprimant notamment au travers de résistances à la guérison, sont des facteurs empreints de nocebo qui à eux seuls pourront déclencher des maladies.

Malgré une attitude récurrente à sens unique propre au corps médical qui est d'incriminer au seul patient l'activation d'une kyrielle d'effets nocebo, il conviendrait que ses membres balayent énergétiquement devant leurs portes ; en effet, ils ont bien trop tendance à brandir le prétendu toxique etc. comme ayant provoqué à lui seul la maladie, alors qu'aucune étude n'a pu en établir (et pour cause) un vrai lien de cause à effet ; en pareil cas , les scientifiques prétendent y voir des facteurs de risque, ce qui induit fallacieusement qu'ils sont assimilables à des liens de cause à effet.

Un effet nocebo est alors (mais à leur insu et donc d'autant plus redoutable) présent et actif, non pas uniquement chez le patient, mais cette fois chez le soignant (!), ce qui a un effet réellement contagieux, phénomène renforcé par la position d'autorité dans laquelle le soignant se trouve ; c'est l'effet bouse blanche : le médecin, nanti légalement de l’Art de guérir, serait tenté d’abuser de son puissant rôle d’autorité, vu le pouvoir exagéré que lui attribue habituellement le « patient-dépendant-potentiel », mû par la colossale attente du "docteur, guérissez-moi !".

Pour preuve d'un tel falsificationisme : entre autres la mise en évidente lumière de statistiques montrant que ce sont chez les religieuses dans la règle (loi du silence) qu' on a pu détecter jusqu'a 9 fois plus de cancers du larynx que chez les femmes du monde, alors que les religieuses (à l'inverse des femmes du monde) n'avaient jamais été vraiment (vu leur rigoureuse hygiène de vie) en présence des toxiques réputés déclencher de tels cancers, selon un dogme médical encore bien ancré. (Cf. les recherches pointues du Dr Michel Moirot : détails).

En pareilles circonstances, de tels détenteurs de l'art de guérir hypothèquent lourdement les possibilités réelles de guérison de leurs patients,  car le responsable n'est pas le toxique etc. particulier fustigé avec lequel le sujet aura été mis en contact, mais d'une manière incontournable, ce qui agit bien en amont (psychisme) et qui aura provoqué les maladies, comme le faisait observer en d'autres mots et fort de ses lumineuses expérimentations, le renommé Pr Henri Laborit :

"Il paraît alors évident que pour faire une infection ou une affection néoplasique [ndlr :cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent." [...] "

Malheureusement, trop de médecins croient encore qu'il faut trouver dans l'élément matériel (exogène : le toxique, le sujet de l'addiction, le microbe, l'accident...) la cause première d'une somatisation, en dépit d'exemples probants tels que repris plus haut (mais qui sont pourtant très nombreux) et pourtant à portée aisée de connaissance . (Détails sur ce que risque d'entraîner la peur de...).

Quand les membres du corps médical persistent à se comporter de la sorte, ils enfreignent len fait eur déontologie : « Une telle situation devrait rendre tout médecin beaucoup plus prudent et respecter le précepte de d’abord ne nuire en rien. D’ailleurs, pour ne citer que lui, le Code (français) de déontologie médicale avertit clairement : L'article 39 – Charlatanisme – [...] le malade ne doit pas être trompé, et l'article 39 met en garde les praticiens contre l'utilisation imprudente de médications incertaines, de procédés illusoires et les affirmations abusives. Il n'est pas admissible qu'un médecin s'écarte dans ses propos d'une exactitude rigoureuse, lorsqu'il propose un traitement. […]. D'une manière plus générale, l'article 39 condamne "toute pratique de charlatanisme". Le charlatanisme, c'est l'exploitation de la crédulité publique ».. (Extrait de Quand les thérapeutes dérapent).

D'autre part, en présence d'effets nocebo chez les patients, de tels médecins aux oeillères matérialistes les rendent davantage  impuissants en les abandonnant à leur sort, quitte à se dédouaner en les gavant par exemple d'antidépresseurs dont l'efficacité est pourtant absente à moyen et long terme : c'est  faute de s'être attachés aux vraies causes et vis-à-vis desquelles la chimie (pharmacopée) se démontre donc ipso facto inefficace à moyen et long terme. En revanche, ils devraient déléguer (°) (ce qui est une obligation déontologique) et  conduire de tels malades à bénéficier d'une psychothérapie qui leur permettra de désactiver définitivement les codes qui  arqueboutent les effets nocebo avec lesquels  ils sont donc aux prises ; cependant, peu de médecins agissent de cette façon, préférant souvent et sans vergogne jouer aux apprentis-sorciers dans un domaine (l'accompagnement psychologique) qui n'est pas le leur et pour lesquels ils ne sont pas formés. (Détails).

° "Tout praticien d’une profession des soins de santé a la responsabilité de renvoyer son patient vers un autre prestataire de soins compétent en la matière [en l’occurrence un psychothérapeute] lorsque le problème de santé nécessitant une intervention excède son propre domaine de compétence." (Loi du 4 avril 2014, art. 11bis, Moniteur belge)

La prise en compte cette fois positive (porteuse) de l'effet nocebo offre ce que permet analogiquement et automatiquement l'effet placebo : une opportunité de taille pour arriver à ce que les patients deviennent plus libres, plus autonomes et recouvrent plus rapidement une meilleure santé. En effet, aider les patients à prendre conscience de ce qui active l'effet nocebo leur permettra de s'y confronter et de commencer à en identifier les ressorts, pour ensuite pouvoir en désactiver les effets, donnant ainsi de plus en plus de place au médecin intérieur (effet placebo) ; pour ce faire, quittant la toute puissance de leur confortable piédestal, tous les membres du corps médical devraient inviter sans tarder les patients à se faire accompagner sur le plan psychothérapeutique. S'engage alors et résolument le chemin d'une vraie prévention et en plus, à la clé, le dégagement de moyens financiers qui seront valorisés plus utilement dans la vraie recherche médicale porteuse.

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"A toi qui régis mon corps,

J'ai fait un pacte il y a peu avec mes proches, ma famille et mes amis : J'ai décidé de guérir et de vivre une nouvelle vie encore plus riche et emplie de bonheur et d'amour.

Tu as développé cette maladie dans mon corps, tu as cru bien faire et tu m'as permis de prendre conscience de la mort, de la vie, de l'amour et des milliers de choses qui comptent pour moi au sein de cet univers.
J'ai changé. Ce cancer m'a apporté plus de quiétude et m'a ouvert les yeux sur ma vie et mes émotions. Il m'a donné un nouveau souffle et je sais maintenant que je dois me concentrer sur ce qui est important : mon être.
Sans prendre soin de moi, je n'aurai plus rien à offrir.

J'ai entrepris un énorme travail, je me suis investi dans la compréhension de mon corps et de mon esprit.  Je croyais avoir trouvé la clé de ma guérison mais ce cancer a continué à progresser.  Je ne me décourage pas et je compte prendre les choses en mains afin de me mener vers cette guérison indispensable.

Je me suis engagé à gagner cette nouvelle vie et j'ai besoin de ton aide. 
Il faut que tu comprennes à ton tour que ce cancer m'a guéri des préoccupations du passé et qu'il est temps que tu en arrêtes le processus.
Donne-moi les signes utiles pour choisir la voie du rétablissement et assouvir mon besoin de vivre.

Demain, j'aurai 37 ans et je veux que ce jour détermine le tournant de ma vie.
Je te remercie pour la prise de conscience psychique offerte mais il est temps que tu me débarrasses de ce cancer qui n'est plus en terre fertile au sein de mon corps."

Témoignage d'un patient (octobre 2008)
 

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Ce qui expliquerait la survenance des maladies :

Mieux comprendre les deux phases de la maladie.

Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !

Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)

D'autres cas de "mal-à-dire" qui se forgent dans le ventre maternel.

Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer

Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

Ne vous agrippez pas à la grippe !

Voir section SANTE de ce site

 

 

Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

       "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

 On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

         sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux Ed. Balland)

 

Une note d'humour : les nouveaux médicaments génériques.

 

Cette page est généralement classée N°1 sur Google (recherche sur le mot "psychobiologie")

 

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre "Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

 

Aperçu des conférences qu'a données Baudouin Labrique

sur les thèmes en rapport avec la psychobiologie.

Ces thèmes sont aussi abordés en séances individuelles.

 

 

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PRINCIPAUX THEMES DU SITE RETROUVER SON NORD :

 

-   Santé  -  PSYCHOBIOLOGIE   Habitat   -  YOGA

 

Dépendances  -  Couple  -  Famille  -  GEOBIOLOGIE

 

-  Développement PERSONNEL  &  Psychothérapies

 

-   RETROUVER les animaux égarés ou leurs maîtres

 

Autarcie energetique  et consommation raisonnée

 

-  MOBILITE (VE)   COLLAPSOLOGIE

 

LES CLES DU mal-à-dire 

 

L'être humain est une merveilleuse machine qui vise toujours, quoi qu'il arrive, à mettre en action, instantanément, pour survivre, des programmes stockés depuis les temps les plus reculés : ce sont des programmes archaïques de survie et que constituent ce qu'on appelle "maladies". Face à un stress devenu insupportable car dangereux (cf. "Ce finit par entraîner la peur de...")et en vue de le rendre moins important, le cerveau va le détourner dans un organe ou une fonction : la maladie , d'où le 'mal-à-dire', car les mots, les expressions normales sont des moyens d'expression pour engage la résolution des situations conflictuelles sous-jacentes. Les maladies sont donc la solution parfaite du cerveau, au cas par cas. La nature nous offre à profusion des exemples produits par le trio psychisme-cerveau-corps : tout conflit non résolu se transforme en mal-à-dire (somatisation). Le cas de la brebis égarée, que connaissent tous les vétérinaires qui soignent les troupeaux, est éloquent. Il n'y a absolument rien d'anarchique dans cette réaction psychosomatique, même et surtout pas dans le cas des cancers : "Quand sers-tu donc ?". "qu'est-ce que le mal nous a dit ?"....

 

Ne craignez rien !

Nous avons sélectionné les meilleurs outils pour votre opération !

 

 

Mieux encore, le rôle des virus et des bactéries est essentiels dans la guérison : ils font en effet partie des phases réparatrices d'un beau nombre de maladies ; ce qui se passe lors de "épidémies" de grippe est éloquent. Quand le « mal à dire » survient au travers  "des maux et les mots pour le dire", c'est en fait une invitation pour comprendre tous les messages et s'autoguérir en toute liberté de nos situations conflictuelles non résolues, grâce au décodage précis et avec l'aide des outils thérapeutiques de la médecine conventionnelle, des autres médecines et thérapies, sans oublier l'adoption d'une alimentation plus appropriée. Pour en parfaire la correcte application concrète, un stage permettra de peaufiner et de mettre au jour le message de conflits spécifiques et d'apprendre à identifier plus rapidement et plus efficacement ce que les maladies veulent inlassablement nous dire. "La maladie cherche à me guérir" ; des formations existent dont celles que dispensent le Dr Claude Sabbah  (en "Biologie-Totale"), mais il convient d'en souligner les effets pervers de son enseignement et application incomplets ou erronés.

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

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(Voir notre avis).

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Mieux comprendre les deux phases de la maladie.

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

Des outils personnels vous sont présentés lors des séances pour mettre au jour ces programmes de survie et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

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Site santé intéressant pour identifier les symptômes des maladies avec un moteur de recherche très pratique :
   <http://www.vulgaris-medical.com/texts/frames.html>
.

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L'AUTO-LIBERATION DU mal-à-dire  

 

Une série d’outils personnels, pratiques et très performants existent (détaillées et explicités durant les conférences et ateliers) et sont aussi proposés en partie sur ce site. De plus, que ce soit pour l’alimentation ou l’environnement au sens large du terme, plusieurs clés sont utilisées pour réduire au maximum les symptômes souffrants et ensuite pour rendre la phase de guérison plus confortable encore. Ainsi, en les appliquant correctement, les personnes pourront se mettre sur le chemin de la guérison complète et définitive à moindres frais et beaucoup plus rapidement qu’en faisant l'impasse.

 

Enfin, dans le cadre des séances que nous vous proposons, une série d'outils autothérapeutiques (exemple) seront proposés ; dans la suite, en as de malaise, ma-être ou maladie, utilisés, il permettront de, sinon guérir par soi-même en minimisant les apports extérieurs, du moins fameusement "calmer le jeu" des symptômes souffrants.

 

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda

Mieux comprendre les deux phases de la maladie.

Des outils personnels vous sont donc présentés lors des séances pour mettre au jour ces programmes de survie et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

 

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LES THERAPIES DU mal-à-dire  

 

 

« Le manichéisme (°) qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques. Il serait sans doute préférable dans certains, pour traiter un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental.» (°) une pensée ou une action sans nuances, voire simpliste, où le bien et le mal sont clairement définis et séparés.

Extrait du livre "L'inhibition de l'action" du Professeur Henri Laborit.
 

Il existent différentes approches thérapeutiques contemporaines et spécifiques qui sont offertes par les médecines officielles et par d’autres thérapies ; l’accent doit être mis sur leur complémentarité et leur spécificité, sans jamais les mettre en concurrence. Le choix d’une ou de thérapies sera^personnel et aussi fonction du stade et du niveau de conscience où le patient se trouve par rapport à la résolution de sa maladie. Il pourra alors devenir davantage le vrai chef d’orchestre responsable de sa guérison, en optant, en parfaite connaissance de cause, pour telle ou telle thérapie. Il aura par ailleurs à sa disposition un choix plus grand de thérapies de confort ou d’accompagnement qui lui permettront de rendre plus supportable sa maladie, tout en raccourcissant le temps de la réparation définitive. Cependant, attention à la manière dont certains (trop nombreux) thérapeutes en "décodage biologique"  s'y prennent avec les patients en rapport à ce que devrait constituer une psychothérapie appropriée, notamment dans le cas de l'accompagnement thérapeutique du  « mal à dire ». Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.

 

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

Des outils personnels vous sont présentés lors des séances pour mettre au jour ces programmes de survie et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

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par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

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FATIGUE, QU'AS-TU A NOUS DIRE ? 

 

Déjà considérée comme le grand mal de la fin du siècle dernier, serait-elle en passe d’être au top des fléaux de ce nouveau siècle ? Elle n’est pourtant pas inéluctable. Ressentie comme insupportable, peut-être devrions-nous la remercier de nous protéger de plus grands maux ? Apprenons à écouter et comprendre ses messages et à changer efficacement notre vie, en prenant enfin les bonnes décisions ; respectons alors  la première personne qui doit l’être en priorité : nous-même ! Il y a fort à parier qu’alors nous saurons nous faire une réelle amie de cette fatigue tant redoutée ; ainsi,  nous apprendrons à l’écouter à l’avenir sans tarder pour qu’enfin elle nous quitte sans aucun regret !

Plus de détails.

 

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.

Des outils personnels vous sont présentés lors des séances pour mettre au jour de tels programmes de survie et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

 

 

 

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MA PEAU ME PARLE                              

 

                                                               

 

C’est notre peau qui se trouve d’abord en contact direct avec notre environnement extérieur et surtout affectif. Tout bébé, nous réagissons déjà très fort à ce niveau, car la parole nous manque alors. Ensuite, elle continue à nous transmettre des messages en relation avec ce dont nous sommes séparés réellement ou symboliquement. La peau se comporte alors comme une sorte d'interface du « mal à dire ». Comment décoder efficacement ce que notre subconscient nous envoie par son intermédiaire ? Comment arriver à guérir rapidement de ces problèmes de peau ? Comment faire pour en arrêter la répétition ?

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

En savoir plus.

 

Pour plus de détails, dans les livres et les sites spécialisés.

Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.

Ce qu'a écrit Audrey Hepburn, quand on lui a demandé de révéler ses «trucs» pour être belle...

Voir en quoi une psychothérapie permet par exemple, de venir à bout de maladies de la peau comme le psoriasis.

Des outils personnels vous sont présentés lors des séances pour mettre au jour ces programmes de survie et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

Voir l'importance du toucher.

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J’AI MAL A MON POIDS 

 

Que cache cet excès ou ce manque de poids mal vécu ? Comment se fait-il qu’aucun régime ni aucune technique n’en vienne à bout ? Que signifie cet aller-retour continuel entre prendre et ensuite perdre du poids ?
Les découvertes récentes de la psychobiologie (« le mal-à-dire ») ont démontré que les problèmes de poids avaient des causes analogues à celles des maladies. Comme ces dernières, tout problème de poids indésiré (trop pue ou en trop) est le transposé biologique d’une situations conflictuelle non résolue et la plupart du temps cachée. Il en constitue la solution parfaite (de survie) du cerveau, comme pour tout mal-à-dire. Pourtant, ce lourd fardeau est aussi un message positif de notre inconscient pour en sortir enfin. Des outils personnels efficaces peuvent être expérimentés. Il existe des moyens simples à appliquer pour s’en délivrer définitivement et sans devoir faire de régime particulier.

Plus de détails.

 

Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

Des outils personnels vous sont présentés lors des séances pour mettre au jour ces programmes de survie et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

 

 

 

Le Jugement de Paris. c.1639 de P.P. RUBENS

 

A cette époque, les canons de beauté étaient diamétralement opposés aux nôtres...

 

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CIGARETTE, CANCER-TUE ? 

 

 

Comment décoder efficacement ce qui est derrière cet écran de fumée, ce que cela a signifié et implique encore dans notre vie ? Pourquoi certains se mettent-ils à fumer et d’autres pas ? Passant par des périodes d’abstinence, pourquoi certains n’arrivent-ils pas à arrêter définitivement de fumer ? La cigarette est-elle vraiment responsable de cancers ? Pourquoi une race de hamsters enfumés en laboratoire, contracte le cancer des poumons et une autre race de hamsters enfumés de la même façon, pas ? Ne plus jamais (trop) fumer est-il possible ? Comment y arriver enfin ? Pour se libérer de cette dépendance, une série d'outils personnels peuvent être proposés ainsi que des thérapies adaptées si c’est nécessaire

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

 

Pour plus de détails, voir les livres et les sites spécialisés.

Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.

Des outils personnels vous sont présentés lors des séances pour mettre au jour les causes de ce type de dépendance et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

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CE QUE TROP BOIRE VEUT DIRE 

 

L’alcoolisme est d’abord une terrible souffrance. Comment en arrive-t-on là ? De quoi, de qui, veut-on ainsi "décoller" ? Doit-on jeter la pierre à ceux qui y succombent ? Ceux qui en sont victimes sont souvent incompris et rejetés. Méritent-ils un tel traitement ? Quelles sont vraiment les causes de cette dépendance ? Comment peut-on sortir de ce cercle vicieux ? Comment aider efficacement ceux qui en souffrent ? Pourquoi certains choisissent toujours comme compagnon de vie des alcooliques ? Des clés décisives existent pourtant. 

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

Plus de détails concernant dans le chapitre consacrés aux DEPENDANCES.

 

Voir aussi ce que la dissolution des mémoires énergétiques peut apporter complémentairement.

Des outils personnels vous émergent d'eux-mêms lors des séances pour mettre au jour les causes de ce type de dépendance et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

 

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LES  MEMOIRES  BIOENERGETIQUES   

 

Suite à un travail sur soi en vue de résoudre la situation conflictuelle primal lié à l’émergence d’un mal-à-dire, d’un mal-être etc., il n’est pas rare de ressentir des émotions, d’avoir des rêves bizarres, des comportements disharmonieux compulsifs inexpliqués. Toutes ces manifestations sont inconfortables et peuvent induire le fait que la guérison ne serait pas totale. Il est alors sans doute approprié de procéder à un travail de libération énergétique de ces mémoires résiduelles. Cela se réalise à l’aide de séances thérapeutiques par le truchement de  l’antenne de Lecher. Ensuite, moyennant un travail complémentaire, les symptômes indésirables sont amenés à disparaître, pour notre plus grand bien-être.

Pour les dates des ateliers proposés, consulter l'agenda.

 

Lors des séances individuelles ou collectives ou bien lors d'un travail en géobiothérapie, un certain nombres d'outils sont proposée et utilisés pour dissoudre ces mémoires énergétiques  et vous permettre de vous mettre sur le chemin pour vous en libérer définitivement. 

 

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Le travail d'autolibération que je propose peut se faire sous forme d’ateliers qui sont organisés sur ces thèmes comme aussi en séances individuelles.
Des outils personnels y seront expérimentés directement et optimisés dans le but de nous conduire à son autolibération.
Une plus grande joie de vivre naîtra et sera alors l’expression de s’être enfin “retrouvé” ; en effet, nous pourrons alors consacrer toute notre énergie à la personne qui est la plus importante pour nous, c’est à dire nous-mêmes !
 

De cette façon, nos descendants pourront aussi être libérés de ces lourdes chaînes invisibles, génératrices de maladies etc. En se donnant la priorité, c'est en fait la façon la plus appropriée d'aider les autres : en devenant plus authentiques, nous leur offrons un miroir de ce qu'ils ont a résoudre et nous sortons du tandem infernal bourreau-victime.

 

Il est aussi  important de s'occuper de soi pour devenir plus libre, plus heureux et en meilleure santé ;

car, comme le dit si bien Chantal Rialland :

 

            « Sans prise de conscience, sans travail sur soi, nous sommes condamnés à reproduire

                ultérieurement nos  identifications d’enfant. Parfois à notre insu.
                Certains ont choisi de faire tout le contraire de leur famille.
                Malheureusement, vivre le contre-scénario, c’est encore vivre en fonction du scénario.
                Prendre le contre-pied, ce n’est pas accéder à la liberté d’être soi-même,

                c’est agir à l’inverse en étant constamment dans la comparaison.
                L’aventure d’une vie humaine, c’est avant tout l’aventure de la conscience.
                Plus nous devenons conscients, plus nous devenons libres.
                Plus nous choisissons notre vie au lieu d’obéir à nos programmations,
                plus nous épanouissons notre être unique, indépendant, autonome.
                Plus nous sommes épanouis, plus nous épanouissons les autre
s ».

                CHANTAL RIALLAND  : «Cette famille qui vit en nous ».

                Ed. Lafont & Ed. Marabout (ouvrage très accessible et à la portée de tous)
                (cliquez ici pour obtenir le texte séparé pour en faire éventuellement un poster)

 

Apprendre à se relaxer : découvrez-en quelques trucs simples à mettre en pratique.

Diaporama pour vous inviter à vous déstresser avec humour. L'ouverture de cette page nécessite PowerPoint ; si votre ordinateur n'en est pas équipé, vous pouvez télécharger ici la version gratuite.

 

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vieillissement

"Être seul et malheureux accélère le vieillissement, selon une étude"

 

"Une récente étude menée sur des seniors chinois suggère qu’en matière de vieillissement, la santé mentale compte autant que la santé physique et que toute thérapie anti-âge devrait se focaliser sur ces deux aspects. En effet, des scientifiques ont observé que les sentiments de solitude et de tristesse, de même qu’un sommeil agité, avaient un impact significatif sur le rythme du vieillissement des individus." (Suite)

 

 

 

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La psychobiologie est un des outils psychothérapeutiques faisant partie des approches analytiques ; en effet, le vécu souffrant de chacun se transpose la plupart du temps en somatisation qu'il est nécessaire d'identifier par l'analyse. Cette approche est bien sûr intégrée dans le cadre des séances que nous vous proposons.

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre "Quand les thérapeutes dérapent"

y sont consacrés.

 

 

 

Ce qui expliquerait la survenance des maladies :

Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !

Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)

D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.

Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer

Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

Ne vous agrippez pas à la grippe !

 

Voir aussi les pages SANTE A LA UNE

et la page spéciale "Anticancer" commentant le dernier livre de DSS.

 

 

Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

       "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

 On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

         sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)

Contenu de cette page avec des liens directs vers les sujets :

Dernières mises à jour :¨

Toutes dernières mises à jour : ¨¨

Le triple prix Nobel de médecine et de physiologie 1977

 Psychobiologie et thérapie

Séparer le corps du psychisme ?

 « mal à dire » = maladies seulement ?

Psychosomatique ou somatopsychique

Preuves scientifiques de la prépondérance du psychisme sur la matière.

Quand un poussin influence un robot

¨"Le vrai médecin est le médecin intérieur" Dr Schweitzer

"Demain, la médecine sera quantique . . . et révolutionnera notre quotidien !"
Comprendre les vraies origines de la maladie, d'abord une question de bon sens.

Pour éviter tout malentendu par rapport à ce qui constitue notre pratique professionnelle.

Ce que les plus innovants en ont justement dit et démontré.

L'importance capitale de la qualité du "terrain"

Comment se somatisent les facteurs psychiques

A situation conflictuelle apparemment identique,  pourquoi se développe plutôt telle maladie nettement moins "grave"?

"Et si la maladie n'était pas un hasard..." dit un médecin preuves à l'appui

Comment le cerveau dirige-t-il tout le processus.

L'importance de se faire accompagner lorsqu'on n'y arrive pas.

Une fiche pratique pour se guérir plus rapidement.

L'importance souvent négligée des facteurs transgénérationnels.

"Restaurer l’unité corps / âme / esprit"

 Placebo : un allié pour guérir ?

¨ Nocebo, un allié santé injustement diabolisé...
 Les programmes archaïques de survie.

¨ Des outils pour s'auto-libérer, prophylactiques, présents  sur ce site.

Quelles les thérapies efficaces ?

En quoi la fatigue peut aussi constituer un programme de survie.

La peau est aussi un éloquent interface du « mal à dire ».

Que cache un excès ou un manque de poids mal vécu ?

Ce qui se cache en fait derrière l'écran de fumée de tabac.

L’alcoolisme, cette terrible souffrance, est aussi un « mal à dire ».

Que faire avec les "mémoires énergétiques" ?

¨¨ "Avoir des antécédents de détresse psychologique peut déclencher un long Covid" (étude scientifique)

¨¨ "Être seul et malheureux accélère le vieillissement, selon une étude"

 

Voir aussi les pages SANTE A LA UNE

et la page spéciale "Anticancer" commentant le dernier livre de DSS

 

                                                         

 

                                                                                              

 

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