Santé : autant savoir

  © Baudouin Labrique

 

AVERTISSEMENT

Qu'on ne s'y méprenne, les partenaires de ce site ne rejettent pas  les apports de la médecine conventionnelle dans ses nobles aspects et notamment par rapport aux prouesses qu'elle réalise dans les soins d'urgence (qui permettent de sauver beaucoup de personnes) et dans la chirurgie réparatrice (qui permet à beaucoup de gens de continuer à vivre plus dignement).  Les rubriques telles que celle-ci présentes sur ce site visent à informer le plus de gens possible sur les dérives et les comportements contre l'éthique et la déontologie de certains thérapeutes (qu'ils soient médecins conventionnels ou pas).

 

Baudouin Labrique a d'ailleurs écrit un livre en 2011 (Quand les thérapeutes dérapent) qui détaille les dérives les plus courantes aussi bien dans les approches conventionnelles que non conventionnelles de la santé.

 

CONTENU DE CETTE PAGE

Les dernières mises à jour se trouvent en tête

 

Accès direct aux chapitres :

 

* Les erreurs médicales équivalent à 10 à 25 crashs aériens chaque année en Belgique (Dr Jean Creplet)

* "Explosion de décès par cancers chez les femmes

*  "Cancer du sein : la Belgique est la plus touchée d'Europe"

*  Plus de cinq morts évitables par jour dans les hôpitaux belges 

* Un vaccin peut permettre au virus ciblé de devenir plus virulent !

*  Arrêt cardiaque : comment intervenir efficacement

*  Pour votre santé, évitez les savons antibactériens
 
* Les méfaits des ondes radioélectriques étaient reconnus par la NASA en 1981

 * Première chose à faire en cas de crise cardiaque

*  "L'Orthorexie", une nouvelle maladie ?

*  "La lutte contre le cholestérol est inefficace et dangereuse"

* Le façonnage des maladies :"Maladies inventées, juteux marché"

* "L'épigénétique, ou comment la santé de bébé est influencée in utero"

* Différentes études montrent le très peu d'efficacité des vaccins contre la grippe

* Le sénat français dévoile le dessous des cartes de la vaccination
* Quand la visualisation permet de réduire le stress et l'anxiété et booste le bien-être

* "Dépression : les psychothérapies peu prescrites", quel paradoxe !

* Les régimes amaigrissants : inefficaces et nocifs

 * "Notre poison quotidien"

*  Vaccination des bébés admis à la crèche (Belgique)

* 11.000 enfants sous antipsychotiques en Belgique !
* Le port d'écouteurs provoque trois fois plus d'accidents mortels

* Vers des consultations médicales par téléphone ou par des infirmiers ?

* Le Wifi affecte l'ADN (preuves scientifiques"

* "Maladie à vendre"

* "Pourquoi la plupart des conclusions des recherches scientifiques publiées sont fausses"
* Pratique sportive hautement dommageable de l'apnée
* Parmi les dangereuses dérives de l'application de la "Loi d'attraction" : guérir du cancer !
* Antennes relais (GSM-portables) : attention à la distance de sécurité !
* Accus rechargeables: attention aux enfants !


  

 

 

* Accus rechargeables: attention aux enfants ! 
 

 

                                                                                                               

 

                                                                                       L'oeuf à la "cloque" et les piles rechargeables.

 

Le site du magazine des consommateurs belges TEST-ACHATS fait cette importante  mise en garde :

"Les accus rechargeables sont avantageux pour le porte-monnaie et nous font économiser des dizaines de piles jetables. Il existe cependant un petit risque par rapport aux enfants.  L’asbl BEBAT est responsable du traitement des piles. Découvrez dans leurs vidéos comment cela se passe.  [...] De nombreux jouets fonctionnent sur piles. D’un point de vue financier et environnemental, mieux vaut utiliser des accus rechargeables. Sauf si vos petits enfants emmènent le jouet dans leur lit, car il existe un danger, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo. "


                                      

 

En revanche il existe maintenant des appareils qui permettent de recharger les piles jetables (jusqu'à 20 fois) et donc d'éviter ce désagrément (forum)

 

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* Antennes relais (GSM-portables) : attention à la distance de sécurité !

Un cadastre des antennes relais vient d'être mis en ligne (Belgique) : il vous permettra de voir à quelle distance se trouve votre habitat de la plus proche de ces antenne relais : c'est une question de santé ; en effet, l'OMS reconnaît l'impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé.

 

 

Une distance de plus de 100 mètres est conseillée ; dans certains cas, vu par exemple l'épaisseur et la nature des matériaux des murs, la pollution se réduit fortement. Une séance de Géobiothérapie vous permettra de vous informer plus amplement concernant les pollutions de cet ordre et des remèdes concrets à y apporter.

 

Conseils utiles pour une utilisation appropriée des GSM (portables)

 

Découvrir le vrai et le faux concernant la survenance des maladies et les ondes provenant de portables

 

En savoir plus sur les risques relatifs au DAS (débit d'absorption spécifique par le corps des champs électromagnétiques).

 

"Pourquoi je suis mal dans ma maison" : découvrir les principales sources de pollutions géobiologiques.

Plus de détails sur le travail en géobiologie : "Géobiologie ou Géobiothérapie ?".

 

Plus de détails sur les nocivités réelles des GSM (portables) ; livres existant sur le sujet.

Plus d'infos sur la pollution particulière des Téléphones sans fil (type Dect etc.).

Une pétition européenne pour limiter les pollutions dues aux antennes relais.

 

En savoir plus sur les causes, les précautions à prendre dans sa maison concernant l'électricité domestique avec la référence de livres sur le sujet.

Autre lien intéressant offert par "Nouvelles Clés " : ' la Fée Electricité' .

En savoir plus sur l'hypersensibilité à l'électricité et ses conséquences pour la santé.

 

Découvrir sous forme d'une fiche pratique, comment faire pour mieux dormir en optimisant soi-même les paramètres géobiologiques.

 

Lire aussi les dangers encourus quand on se trouve à la station d'essence, portable allumé

 

Découvrir pourquoi ne pas utiliser de "prothèses " dans le cadre de corrections géobiologiques.

Pour le travail de géobiologie sur place

 

Ateliers  et conférences proposés ; pour les dates consulter l'agenda.

 

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* Parmi les dangereuses dérives de l'application de la "Loi d'attraction" :

   guérir du cancer !

 

Un article sur ce site avait déjà été consacré à cette dérive newagiste : "Loi d'attraction, loi de distraction ?".

A l'occasion d'un article que j'ai posté sur le net, j'ai sursauté en apprenant qu'une femme prénommée Kim (qui avait vu le film Le Secret) annonce "qu’elle a décidé de soigner son cancer du sein en suivant les principes de la «loi d’attraction», au lieu de subir une mastectomie et des traitements de chimiothérapie.". Certes, ce n'est pas moi qui vais à présent  nier les déterminantes influences du psychisme sur la survenance comme sur la résolution des maladies ; toutefois, il est démontré que la seule pensée positive et autre effet  placebo ne suffisent pas : seul un travail en profondeur sur le sens qu'on peut donner à ses maux peut, sous certaines conditions, conduire à la guérison.

Voici le commentaire repris dans un article intitulé Le secret de Rhonda Byrne: quand le paranormal peut faire mal :

« S’il est possible que certaines personnes améliorent (du moins temporairement) leur sort grâce à leur croyance en la «loi d’attraction», par un simple effet psychologique, cela soulève des questions délicates pour les gens qui, comme Kim, ont été convaincus de leur toute puissance par les arguments de Rhonda Byrne. Je n’ai pas lu le livre mais, dans le film, on montre la guérison quasi miraculeuse d’un homme censé être paralysé à vie à cause d’un grave accident. Guérison qui s’opère, nous assure-t-on, grâce à l’application minutieuse du secret. De là au cancer, il n’y a qu’un pas qui sera franchi allègrement dans la mesure où l’on répète maintes fois dans le «documentaire» que tout est possible. »
 

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* Pratique sportive hautement dommageable de l'apnée

 

Apnee

 

 

La pratique sportive de l'apnée est fortement encouragée par la publicité qu'en font les médias e surtout en ces périodes de vacances, propices aux activités sportives aquatiques.

 

Dans les sports extrêmes, la prise de risques dépasse nettement ce que la vie réclame pour être maintenue…. en vie, si je puis dire ! Pire, ces prises de risques la mettent directement en danger et vont jusqu’à, comme pour le sport en apnée, entrainer à chaque plongée la destruction irrémédiable des cellules cardiaques et amplifier démesurément et surtout inutilement, les risques de mort (par définition, à l’opposé de la vie).

 

Voici les dommages immanquables et les risques encourus que ce « sport » fait prendre :

- notre corps n'est pas conçu pour l'apnée extrême alors que celle-ci est courante chez ceux qui s’y adonnent ;
- l'apnée n'a nullement "progressé"; la machine humaine est restée la même ;
- à chaque apnée de plus d'une minute, le coeur souffre et de nombreuses cellules actives qui le composent sont définitivement perdues le rendant plus apte à l'infarctus ; la recherche de record en la matière et qu’on a pris pour un dépassement de soi… conduit inévitablement à DEPASSER la minute d’apnée et donc à CHAQUE fois la perte de nombreuses cellules actives composant le cœur et les risques accrus d’infarctus ;
- cette activité s'apparente à la roulette russe ; ces "surhommes" ne font que réduire dangereusement la distance qui les sépare de la syncope généralement mortelle ;- la syncope est instantanée, sans aucun signe précurseur. Celui qui en est victime n'a aucun moyen d'actionner un quelconque dispositif de secours ;
- quand il est au fond, alors que l'oxygène qu'il a dans les poumons ne lui permettra pas de revenir vivant à l'air libre, le plongeur se sent très bien. Pour peu qu'il se prenne pour un surhomme, il ne prendra pas la décision de remonter à temps et payera son erreur fatale à la sortie ;
- au lieu de se tenir à une distance respectueuse de la catastrophe, par exemple à moins d’une minute, on s'en approche de façon inconsciente et morbide. Les adeptes de l'apnée de longue durée, de l'apnée profonde en solo, sont simplement des gens qui flirtent avec la mort en refaisant surface quelques secondes avant la syncope mortelle, en le sachant ou en ne le sachant pas. (Source).
 

Sur le plan de la santé mentale et confortant mes convictions en la matière, des recherches on pu montrer que la compulsion à prendre des risques élevés (comme c’est le cas dans le sport extrême) exprimait en fait une dépendance comparable à ce que produirait la prise de psychotropes, par exemple : « Cette recherche de sensations peut passer par la consommation abusive de substances psychotropes (drogues, alcool) ou par des comportements compulsifs ou de prise de risque qui provoquent secondairement des effets psychotropes » (Source).

Dans les deux cas, il n’y a donc pas réel bien-être, puisqu’il y a des codes psychiques pathologiques activant la dépendance ; dans de telles conditions, est erratique le fait de considérer que celui qui se drogue (physiquement ou psychiquement comme dans la compulsion à faire des records dans un contexte extrême), fume trop…, le fait dans une recherche authentique de bien-être (dans le sens visant l’épanouissement réel et durable).

Les compulsifs de la recherche de records dans un contexte extrême comme celui de l’apnée sportive, expriment donc un état pathologique propre à la dépendance : la recherche de telles sensations n’a donc rien à voir avec la recherche d’un bien-être sain ; elle est le signe d’un état psychique constamment souffrant, mais où l’accession à une certaine sérénité n’est que toute passagère (au coeur de l’activité compulsive).
De plus, mon observation professionnelle m’offre souvent le spectacle de divers patients piégés dans une assuétude déterminée et qui font alors souffrir tout leur entourage, lequel se sent la plupart du temps impuissant face à l’énergie que le dépendant déploie pour assouvir sa (déraisonnable) passion.

Enfin, autre question :  est-ce que celui qui recherche un (prétendu) bien-être par le truchement de ce genre de pratique cataloguée abusivement selon moi de sportive, peut en arriver à mettre sa vie en péril en passant outre le bien-être des siens, qui ne peuvent que s’angoisser face à de telles prises de risques (cf. apnée) et donc être atteint dans leur propre bien-être ?

 

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* "Pourquoi la plupart des conclusions des recherches scientifiques  publiées      sont fausses" ("Why Most Published Research Findings Are False")

 

 

« La plupart des études médicales sont-elles fausses ? »

 

 

Ce n'est pas moi qui le dis : je ne reprends ici que le titre d'un article scientifique dont le contenu est d'autant moins suspect, qu'il a non seulement été publié sur Plos Medecine qui jouît d'une la solide réputation de sérieux, mais en plus que cet article est avalisé par la bible de référence en matière de publications scientifiques médicales PubMed  (cette dernière offre la base de données bibliographiques scientifiques médicales les plus crédibles produite par la National Library of Medicine - USA).

Comme les grands médias se contentent, sans esprit critique suffisant, de relayer tels quels les résultats de diverses recherches scientifiques, nous sommes donc enclins à les prendre "pour argent comptant" et à leur donner un crédit souvent inconditionnel, mais comme on le verra à mettre désormais chaque fois en question... LIRE LA SUITE

 

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* "Maladies à vendre"

 

 

 

Après la diffusion sur RTBF (TV) de ce remarquable documentaire "Maladies à vendre" produit par ART TV, on a pu le retrouver sur ARTE, ce 8 novembre (2011) à 21h30 :

"Comment l'industrie pharmaceutique fabrique des malades à grand renfort de marketing avec la complicité des autorités et des médecins. Jusque dans les années 1980, l'industrie pharmaceutique orientait ses efforts vers la guérison des maladies existantes, même si les pathologies affectant les populations pauvres, comme la malaria, étaient négligées parce que peu rentables. Désormais, pour garantir leurs retours sur investissement et recycler leurs médicaments, les firmes inventent des pathologies, si possible chroniques. Une publicité déguisée en information médicale, doublée d'un intense lobbying, se charge de les "vendre" au grand public et aux praticiens. Ce film – auquel l'industrie a refusé de participer – démonte les mécanismes d'une médecine sous l'emprise du marché.

Le marketing du diagnostic
Comment augmenter la consommation de médicaments ? En abaissant par exemple la norme du taux de cholestérol afin de promouvoir des molécules, qui, prises sans nécessité, comportent des risques sanitaires. Ou en décelant dans la population féminine une nouvelle forme de dépression cyclique (le "syndrome dysphorique menstruel"), traitée avec une version recyclée du Prozac. Au Japon, la dépression constituait un état rare, mais d'astucieux stratèges ont popularisé le concept de "rhume de l'âme" et fait décoller le marché des antidépresseurs. Une analyse décapante qui permet de mesurer, de spot TV en site "d'information", le marketing du diagnostic et son pouvoir
" (Source). (VOIR LA VIDEO DE L'EMISSION : extrait n°1  - extrait n°2).

 

L’industrie pharmaceutique n’a donc de cesse de tenter de produire de plus en plus de médicaments et tant pis si c’est pour une part inutile, voire contraire finalement à la santé publique (effets secondaires parfois mortifères, comme on l’a vu avec les scandales sanitaires récents et qui seront abordés sur Arte juste avant le documentaire en question.


Pour y arriver "l'industrie de la maladie" (°) s'adonne à des campagnes publicitaires comme celle récente, qui induisait qu’un simple mal de dos chez un sujet jeune pouvait « révéler » une spondylarthrite ankylosante, et d'aller faire miroiter le spectre d’une invalidité future, si aucun « traitement » n’est précocement entrepris. Avec la compacité du corps médical, s'enclenche ainsi la pression pour que le jeune sujet se gave à vie de prétendus remèdes qui le prémunirait du mal redoute !
On assiste dès lors à une explosion de toutes sortes de "nouvelles" maladies ou de traitements qui voudraient préserver des effets futurs de ce qui n’est souvent que de simples symptômes passagers.

(°)  Le Dr Carlyle Guerra de Macedo, qui a été le directeur du Bureau sanitaire panaméricain de 1983 à 1995 (2), l’exprime en d’autres termes, pointant les causes du gaspillage consécutif :
‘’Dans le domaine de la santé, les ressources sont gaspillées, dévorées par un système de prestations dont l'objectif même est dénaturé, il est trop centralisé, trop sophistiqué, sans rapport avec les besoins des utilisateurs et essentiellement modelé par le choix des bailleurs de service, des producteurs d'équipement et d'autres "biens sanitaires". C'est ainsi qu'est née "une industrie de la maladie" qui absorbe la totalité des ressources disponibles et dont le pouvoir s'accroît avec son expansion. Cette industrie s'attache (pour plus de 90 % des ressources disponibles) à ce que la restauration de la santé s'effectue par des techniques les plus sophistiquées et les plus coûteuses possible, puisque c'est la maladie qui la fait vivre et non pas la santé’’
(Article paru dans le n° 453 de Technique et Hospitalisation’ – Analyse qui vaut aussi pour l’Europe vu l’apparentement des systèmes de santé).

 

En phase avec ce qui précède, extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent
 

«  Pour vendre des médicaments, inventons des maladies  »

 

C’est le titre d’un article paru dans Le Monde qui dénonce les nouvelles techniques publicitaires de l’industrie pharmaceutique, sur base des confessions de l’expert en publicité Vince Parry qui « se spécialise dorénavant dans la forme la plus sophistiquée de la vente de médicaments : il s’emploie, de concert avec les entreprises pharmaceutiques, à créer de nouvelles maladies ». Dans son article intitulé L’art de cataloguer un état de santé, il révèle « les ficelles utilisées par ces firmes pour favoriser la création de troubles médicaux » :

L’une des stratégies les plus performantes, d’après ce rapport, consiste à changer la façon dont les gens considèrent leurs affections sans gravité. Ils doivent être "convaincus" que "des problèmes acceptés tout au plus comme une gêne jusqu’à présent" sont, désormais, "dignes d’une intervention médicale"  [1]

 

« Vente des maladies »

 

L’article du Monde mentionné à la page précédente nous informe aussi de la manière dont Mme Lynn Payer, rédactrice médicale, qualifiait la « vente des maladies » comme « un processus » :

[…] c’est-à-dire la façon dont les médecins et les firmes pharmaceutiques élargissaient sans nécessité les définitions des affections de façon à recevoir plus de patients et à commercialiser plus de médicaments. Ces écrits sont devenus de plus en plus pertinents à mesure que s’amplifiait le rugissement du marketing et que se consolidait l’emprise des multinationales sur le système de santé.

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[1] Cet article est extrait de Selling Sickness How Drug Companies Are Turning Us All Into Patients, 2005, écrit par Allen & Unwin, Crows Nest (Australie).

 

 

Lire aussi le dossier plus qu'intéressant, paru dans la revue littéraire Books (avril 2009) : il  fait le point sur les connections entre le monde médical et l'industrie pharmaceutique aux USA mais aussi chez nous. L'article est écrit par le médecin américain  Marcia Angell, qui est une ancienne rédactrice en chef du réputé  New England Journal of Medecine.


Dans ce dossier, lire aussi le témoignage de Philippe Even, ancien doyen de la faculté de médecine de l’hôpital Necker (Paris) de 1988 à 2000. professeur émérite à l’université Paris-V et qui dirige l’Institut Necker. Aux côtés du Pr Bernard Debré, il est l'auteur de Savoirs et pouvoirs, pour une nouvelle politique de la recherche et du médicament (Le Cherche Midi, 2004). Il a aussi traduit le livre de Marcia Angell, La Vérité sur les compagnies pharmaceutiques (Le mieux-être, 2005) :

 

"Pour sauver l’industrie pharmaceutique, le Dr Angell propose un programme de réformes vitales dont le retour à la recherche clinique impartiale et la fin des liens étroits qui unissent pharmaceutiques et formation médicale. Marcia Angell, auteur passionné, y va d’une accusation virulente à l’endroit d’une industrie que rien ni personne ne maîtrise.

• Les grandes firmes pharmaceutiques se placent, année après année et de très loin au premier rang de toutes les autres entreprises industrielles ou bancaires mondiales.

• L’industrie pharmaceutique se présente comme très innovante. Faux : la plupart des produits qu’elle commercialise en cascade, ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, mais habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l’intéressent, ceux des maladies fréquentes, chroniques et en grande partie déjà maîtrisées, des pays riches, tandis que dans les grandes pathologies graves, comme les cancers, l’Alzheimer et beaucoup d’autres, les progrès restent négligeables, faute de recherches.

• L’industrie pharmaceutique a posé une main de fer sur le Congrès et la Maison Blanche. Elle y finance lourdement les campagnes électorales et entretient à Washington avec un budget de100 millions de dollars par an.

• L’industrie exerce un contrôle presque total sur l’organisation, la gestion, l’analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules. Ce livre choc a fait l’objet d’un important article paru dans les échos".
 

 

Voir aussi : "Le façonnage des maladies : "Maladies inventées, juteux marché"

 

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* Le Wi-Fi affecte l'ADN (preuves scientifiques)

 

 

 

Une étude très importante, spécifique au Wi-Fi, vient corroborer des résultats antérieurs obtenus avec des téléphones portables, sur les effets non thermiques de niveaux de radiation officiellement tenus pour "très faibles" (par les tenants du R.A.S.) sur la qualité du sperme humain.
En particulier sur sa mobilité (sa capacité à se mouvoir) et son intégrité (fragmentation de l'ADN).
Bref, que ce soit en début de vie (sperme) ou en fin de vie (Alzheimer), la pollution électromagnétique et la vie ne font pas bon ménage.

 

 

"Messieurs, jamais de portables sur les genoux"

 


"Pour l’expérience, le sperme de 29 donneurs a été séparé en deux séries de lots, les uns installés durant quatre heures sous un ordinateur portable téléchargeant des données via une liaison Wi-Fi et l’autre loin de toute émission et exposés aux mêmes conditions de température. Les chercheurs constatent une réduction significative de la mobilité de ces cellules flagellées, un bon indicateur de leur santé et de leurs performances pour la reproduction. Après quatre heures, 86 % des spermatozoïdes étaient encore en pleine forme dans les lots non exposés contre seulement 75 % pour les autres. À l’examen biochimique, ils comptabilisent trois fois plus de défauts dans l’ADN dans les cellules exposées. En revanche, ils ne notent aucune mortalité supplémentaire. "
 

Une telle étude n'a porté que sur le sperme, mais il serait déraisonnable de penser que cela n'affecte pas d'autre cellules au niveau de leur ADN En effet, le corps humain étant constitué de 70 % d'eau, l'émission d'ondes de fréquence agit directement sur notre santé. Pour sauvegarder votre capital-santé, je ne peux que vous inviter à prendre connaissance de tout ce qui a déjà été observé au sujet de telles nuisances.
 

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mefaits

 

* Les méfaits des ondes radioélectriques étaient reconnus par la NASA en 1981
 

 

 

"Dès 1981, l’essentiel des dangers liés à l’exposition des organismes humains aux radiofréquences micro-ondes étaient connus et recensés explicitement par l’agence spatiale américaine (NASA), dans son rapport (à télécharger en PDF en pièce jointe) Electromagnetic Field Interactions with the Human Body : Observed Effects and Theories (Interactions des Fréquences électromagnétiques avec le corps humain : Effets observés et théories). Ceci y compris les symptômes de l’électrohypersensibilité (EHS) qui ne sont toujours pas connus par l’essentiel des médecins, ni reconnus par nos autorités, 33 ans plus tard!


"Dès 1981, l’essentiel des dangers liés à l’exposition des organismes humains aux radiofréquences micro-ondes étaient connus et recensés explicitement par l’agence spatiale américaine (NASA), dans son rapport (à télécharger en PDF en pièce jointe) Electromagnetic Field Interactions with the Human Body : Observed Effects and Theories (Interactions des Fréquences électromagnétiques avec le corps humain : Effets observés et théories). Ceci y compris les symptômes de l’électrohypersensibilité (EHS) qui ne sont toujours pas connus par l’essentiel des médecins, ni reconnus par nos autorités, 33 ans plus tard!

Ce qui est remarquable dans ce rapport est qu’il recense les effets physiologiques des radiofréquences sur les humains – à l’exclusion des animaux -, dans des densités de puissances faibles et dites athermiques. Aujourd’hui encore, nos autorités et les acteurs de la téléphonie mobile réfutent qu’il puisse y avoir des effets physiologiques en dehors des densités de puissances dites thermiques.

D’autre part, ce document voulait contribuer à éliminer une confusion mondiale concernant les limites d’expositions à ces radiofréquences micro-ondes. Ce fut en vain car aujourd’hui encore, les limites d’expositions sont basées sur les effets thermiques d’une irradiation unique de 6 minutes qui ne devait pas compromettre la vie d’un sujet sain, alors que nous sommes irradiés en permanence 24 sur 24 et 7/7, y compris nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes malades et âgées. [...]"

 

"[...] les effets perçus par des personnes travaillant dans des champs électromagnétiques de fréquences radio, ce qui est le cas d’une très large majorité d’entre-nous aujourd’hui avec les téléphones portables, sans fils DECT, Wi-Fi, Bluetooth etc.
Céphalées, fatigue oculaire, vertiges, troubles du sommeil nocturne, somnolences diurnes, irritabilité, sentiments de peur, tension nerveuse, dépression, troubles de la mémoire, réactions hypocondriaques, insociabilité, douleurs musculaires et aux alentours du cœur, difficultés respiratoires, transpiration des extrémités augmentée, difficultés sexuelles.

En conclusion, les dangers sanitaires liés à l’utilisation du sans-fil-à-tout-prix et en toute occasion sont connus depuis des décennies par les scientifiques, mais parfaitement bien occultés et cachés par nos autorités et les industries auxquelles cette ignorance des consommateurs profite aux entreprises par milliers de milliards de dollars à l’échelle planétaire !

Quand donc ces industries se tourneront-elles vers des technologie biocompatibles, telle que la communication par la lumière sans fil (Li-Fi ou Light Fidelity) ou via la fibre optique? Lorsque nous serons assez nombreux à être dûment informés et à choisir de privilégier notre santé et notre longévité ainsi que celles de nos enfants plutôt que le confort immédiat d’une connexion sans fil.

C’est nous qui décidons de notre avenir et de celui de nos enfants !"  (Source)
 

 

* Consulter cette fiche pratique pour limiter les effets des champs électromagnétiques dans la chambre à coucher et accroître ainsi la qualité de son sommeil.

* Apprendre pourquoi le Wifi affecte l'ADN (preuves scientifiques.

° "Une étude scientifique réalisée sur des plants de tomates montre que les ondes des téléphones mobiles ont un effet néfaste."

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* Vers des consultations médicales par téléphone ?

 

"Le centre d'expertise des soins de santé (KCE) suggérait [fin 2012] d'envisager les consultations médicales par téléphone ainsi que les consultations par des infirmiers comme alternatives au manque de médecins de garde." (Le Vif l'Express)

 

La "solution" avancée des consultations par téléphone a des relents de dérive... et certes pas conforme au primum nil nocere de Hippocrate (d'abord ne nuire en RIEN) car les consultations de ce type comportent alors trop de risques de nuire même involontairement...
 

Extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent  (p.177) :

 

Thérapies par téléphone ou par Internet : il n’est pas concevable d’en réaliser avec efficacité. Un tas d’informations essentielles manquent alors au thérapeute : les signaux non verbaux, les subtilités dans la voix, la proximité empathique… De telles conditions génèrent des effets iatrogènes vu les inévitables discours ou commentaires décalés du thérapeute, qui pourraient être mal vécus par le patient, lequel peut ne pas s’être senti correctement reçu, écouté.

De plus, la thérapie par téléphone encourage la dépendance thérapeutique, notamment parce qu’elle est moins impliquante et qu’elle laisse généralement le patient insatisfait parce qu’elle ne saurait aller au fond des choses.

 

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* Le port d'écouteurs entraine trois fois plus d'accidents graves  

 

"Le nombre d'accidents graves chez des piétons qui se déplacent avec des écouteurs ou casques aux oreilles (iPod, MP3...) a triplé en six ans, selon une étude américaine", publiée dans la revue spécialisée Injury Prevention qui fait partie du groupe British Medical Journals.  (Source)
 

 

 

Qu'on soit piéton ou conducteur de voiture, il devient courant de croiser sur son chemin des personnes qui écoutent de la musique munies d'écouteurs, voire d'un casque à écouteurs."Ecouter de la musique réduirait l’acuité sonore mais aussi visuelle". Il faut savoir aussi que "plus de la moitié des victimes a été heurtée par un train" ."Ecouter de la musique réduirait également les ressources cérébrales dévolues aux stimuli extérieurs, réduisant leur attention visuelle au point en quelque sorte de les rendre aveugles à ce qui se passe autour d’eux, avance l’équipe du Dr Richard Lichenstein (Baltimore, Maryland) à titre d’hypothèse. "Les risques posés par l’usage de ces appareils chez les conducteurs est bien documenté", écrivent-ils Toutefois, d'autres comportements analogues sont également à prendre en compte :  "Téléphones portables et kits main libre n’ont pas été pris en compte dans cette étude" Selon des données américaines (National Highway Traffic Safety Administration), "4.000 à 5.000 morts de piétons résultent chaque année d’une collision avec un véhicule, représentant 10 à 12% du total des morts de la route aux Etats-Unis" (Source)..

 

Il ne faudrait pas oublier les dangers encourus par les cyclistes mélomanes : "Un cycliste sans écouteurs perçoit un véhicule approchant par derrière à 50 km/h à une distance de seize mètres, ce qui lui laisse un temps de réaction de deux secondes. Mais s’il écoute de la musique à 80 décibels - le volume habituel - avec des écouteurs, le cycliste ne perçoit le même véhicule qu’à une distance de trois mètres, ce qui ne lui laisse guère que 0,3 seconde pour réagir". (Source)

Malheureusement, renforcé par l'effet de mode et savamment entretenu par les lobbies concernés, l''engouement croissant pour les nouveaux gadgets high tech devrait voir de tels chiffres inexorablement grimper, si aucune mesure légale n'est adoptée entre-temps.

 

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* 11.000 enfants sous antipsychotiques en Belgique !

 

 

 

C'est ce que nous apprend fin février 2012, le Vif L'Express et qui fait froid dans le dos, surtout lorsqu'on constate alors que "485 consommateurs étaient âgés de moins de 6 ans" !...

 

On comprendra en lisant cet extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent (copyright Baudouin Labrique),dans quelles errances (diabolicum perseverare) le corps médical s'engouffre par facilité : faire croire qu'on va pouvoir régler des problématiques psychologiques via de la chimie ("médica-menteuse")! On fait alors l'impasse sur un accompagnement psychothérapeutique qui serait, non seulement plus efficace, mais aussi sans les effets iatrogènes des médicaments (effets secondaires, dépendances, voire suicides...) ; encore faut-il que les parents de tels enfants puissent aussi se remettre en question et considérer que c'est tout le système familial, l'éducation qu'ils donnent, leur attitudes, leurs problèmes de couple... sont en lien direct avec ce qu'exprime leur progéniture dans leurs comportements "dérangeants", lesquels se révèlent pourtant de véritables fusibles familiaux ; il est alors vain de vouloir "anesthésier"  les comportements de tels enfants par des psychotropes ; pire, agir ainsi, ne peut que mettre en place de véritables bombes à retardement : devenus adultes, ces enfants ne pourront alors que révéler au travers d'expériences souvent souffrantes voire traumatisantes ce qui n'a pas pu, plus heures, se libérer, notamment au travers de divers échecs (couple, travail, projets...), tels que nous les constatons notamment dans ce qui nous est révélé lors des séances de psychothérapie.

 


La prescription iatrogène de psychotropes

 

La prise d’antidépresseurs et autres psychotropes, prônée par les thérapeutes conventionnels, handicape pourtant le travail psychothérapeutique chez des personnes qui sont sous leur influence : en séance de psychothérapie, elles ont davantage de difficultés à exprimer leurs ressentis psychiques voire physiques, portes d’entrée obligées pour accéder à la mémoire émotionnelle et donc à la source des maux. Confronté à un nombre majoritaire de dépressifs et en concordance avec la relation qu’en font mes pairs, j’atteste que la prise d'antidépresseurs ne pourra jamais faire l’économie d'une vraie prise en charge psychothérapeutique qui offre la possibilité de libérer efficacement et durablement la racine des maux, qui se trouve généralement dans l'enfance (mais peu de gens le savent).

La médication risque à tout le moins de brouiller les causes des maux, en ne soulageant qu’éphémèrement, comme l’a souligné la psychothérapeute Alice Miller[1] :

Notre accès à notre histoire d’enfant nous donne la liberté d’être fidèles à nous-mêmes, cela veut dire de pouvoir ressentir nos émotions, de les connaître et d’agir selon nos besoins, ce qui nous garantit notre santé et nos relations honnêtes et vraies avec nos proches. Nous arrêtons de mépriser, négliger ou même maltraiter notre corps et notre âme de la même façon – impatiente, irritée, humiliante  que nos parents ont traité le petit enfant qui n’a pas pu encore parler et s’expliquer. Nous cherchons plutôt à comprendre les causes de nos malaises, ce que nous pouvons faire plus facilement après avoir pris la connaissance de notre histoire. Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES de nos malaises ou maladies. Un médicament peut seulement brouiller ces causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la maladie. Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne malade s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été.

C’est cet intérêt qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de les comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui suppriment les émotions et en même temps les souvenirs[2].

 

Pour appuyer ce qui précède, voici un aperçu des nombreuses études scientifiques récentes qui remettent en question l’utilité des antidépresseurs [ et analogiquement les autres psychotropes]  :

 

Les prescriptions d'antidépresseurs sont trop fréquentes, selon le site belge du magazine Test-Achats :

De 1996 à 2006, le nombre de patients qui ont bénéficié d'une telle prescription est passé de 390 000 à 860 000. Bref, en dix ans, le nombre d'utilisateurs a plus que doublé […].

Le magazine santé de Test-Achats entend mettre en garde contre les prescriptions trop fréquentes d'antidépresseurs.

L'association de consommateurs demande que des études indépendantes soient entamées d'urgence sur les antidépresseurs, leur mode d'action et leurs effets secondaires, mais aussi sur l'utilité des approches non médicamenteuses, comme les psychothérapies[3].

 

L’efficacité des antidépresseurs est mise en doute.

Selon une étude américaine, les publications scientifiques sur les nouveaux psychotropes exagèrent leur action. […] L'efficacité des nouveaux antidépresseurs mis sur le marché depuis le milieu des années 1980 […] est mise en doute par des experts américains de la FDA [nda : Food and Drug Administration], la toute-puissante agence américaine du médicament. Une étude du New England Journal of Medicine montre que des publications ont exagéré l'efficacité de ces médicaments parés de toutes les vertus par les laboratoires, les médecins et même les malades[4].

 

    Les antidépresseurs de la dernière génération ne montrent pas de différence par rapport aux placebos.

Voici le verdict "sans appel" de deux scientifiques réputés (Irving Kirsch de l’université de Hull au Royaume-Uni, et Blair Johnston de l’université du Connecticut aux USA), qui ont passé en revue la totalité des essais cliniques des six antidépresseurs de nouvelle génération les plus prescrits : « Ces médicaments […] ne sont pas plus efficaces qu'un placebo ! Autrement dit, un médicament ne contenant pas de principe actif… ». Extrait du même article, l’avis du Pr Jean-Michel Ougourlian, psychiatre :

Le drame de ces nouveaux antidépresseurs, c'est qu'ils sont mal prescrits. Les gens [nda : mal informés] y ont fait appel pour un amour déçu, une période de chômage, un coup de blues… C'est l'ignorance des médecins : une mélancolie grave ne répond pas à ces drogues. Le problème est en amont : les psychiatres ne sont pas formés et les diagnostics ne sont pas assurés[5].

La question se pose également pour les autres psychotropes. De telles impasses ne sont pas surprenantes : comment peut-on prétendre soigner des dépressions et les autres maladies psychiques, en ne recourant qu'à des effets chimiques sur le cerveau, tout en faisant l’impasse sur le traitement des causes réelles (psychologiques) en amont ?

 

Psychothérapie versus pharmacopée.

En revanche, on constate que des patients arrivent à se passer avec succès de psychotropes quand ils « soignent leur dépression sans médicaments », et notamment, pour les mieux informés d’entre eux, grâce à la psychothérapie[6].

Plusieurs études l’attestent :

[…] la psychothérapie permet de réduire de manière sensible la consommation de médicaments psychotropes (49 % des personnes en thérapie en consommaient au départ, contre 27 % après une année de thérapie […][7].


 


[1]  Elle est l’auteur de livres qui font autorité ; ayant beaucoup d’admiration pour elle et son travail remarquable, je lui ai dédicacé ce livre ; elle s’est éteinte le 14 avril 2010.

[2]  Extrait de l’article intitulé Les Raisons Trouvables  – La mise en lettres capitales du mot causes est le fait d’Alice Miller.

[6]  C’est l’accroche en page de couverture, d’un article de la revue Psychologies (n° 292) de janvier 2010, p. 69, intitulé : L’engagement de Psychologies contre l’abus d’antidépresseurs : Soigner sa dépression sans médicaments.

                           

                            Les enfants et adolescents ne sont pas de cocottes-minutes ;

                             mettre un couvercle qui a l'effet d'une camisole chimique,

                            c'est faire en sorte que la pression ne puisse se dégager à temps

                            et prendre le risque d'entraîner de graves brûlures psychologiques...

 

 

 

Lire aussi  : * "Dépression : les psychothérapies peu prescrites", quel paradoxe !

                      *  Comprendre la dépression pour mieux en sortir



Ce que  Retrouver Son Nord vous propose comme séances psychothérapeutiques
 

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"Rilatine : une nouvelle mise en garde" (29 mars 2006)

"En raison des risques qu’ils comporteraient pour la santé du coeur, les médicaments destinés aux enfants et aux adultes souffrant d’un trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) devront afficher une nouvelle mise en garde sur leur étiquette. Santé Canada a décidé de donner suite aux recommandations d’un comité chargé d’examiner les risques de troubles cardiovasculaires associés à la prise de ces médicaments. Les autorités canadiennes ont pris en compte le décès récent de 25 Américains atteints de TDA/H – 19 adultes et six enfants – attribuable à leur médication. Ils ont été victimes d’un infarctus du myocarde, d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d’une mort subite" (Suite).
 

 

 

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* Vaccination des bébés admis à la crèche (Belgique) (9/4/12)

 

 

Deux couples de parents qui ont confié leur bébé, l'un dans une crèche bruxelloise (francophone), l'autre namuroise (wallonne), se sont vu finalement en interdire l'accès, suite à leur refus de faire vacciner leur bébé (au delà du seul vaccin légalement obligatoire : contre la polio) et pourtant, c'est au mépris de la loi ; histoire encore bien belge mais qui ne fait pas rire du tout  : en Flandre (partie flamande de la Belgique) et dans les crèches flamandes de Bruxelles, une telle obligation n'existe pas !

 

Pour mémoire, la "7e Semaine de la Vaccination" débutera le 21 avril (2102) : voici de quoi ne pas trop céder aux pressions qui seront alors exercées et qui vanteront les bienfaits (toujours non prouvés, pourtant, voir °°) de la vaccination... "Un homme averti en vaut deux !" :  N.B. II appartient alors à chacun d'adopter ou pas la vaccination, mais alors en toute connaissance de cause....

 

Revue Eduquer Juin 2012

 

Alors qu'en Flandre un seul vaccin (polio) est exigé pour l'admission en crèche par son pendant KIND & GEZIN,  l'ONE (Organisation Nationale de l'Enfance, section francophone) impose pas moins de 8 autres vaccins aux bébés qui sont pris en charge par les crèches. Pourtant, la loi fédérale n'impose qu'une seule obligation vaccinale aux enfants : contre la poliomyélite, sachant, par ailleurs, que cette vaccination est pourtant elle-même très controversée (°°).

 

Voir aussi la vidéo extraite de l'émission Controverse sur le vaccin contre la polio, de février 1996 (RTL TVI)

D'autres liens (Google) et ils sont nombreux,  concernant la controverse sur la vaccination contre la polio.

 

Voir aussi l'analyse pertinente et complète d'Initiative Citoyenne et régulièrement mise à jour.

Lire aussi Obligation vaccinale en crèches: la fausse clarification de l'ONE  (16 avril 2012)

 

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° Sur l’abus de faiblesse et inséré dans le Code pénal belge depuis l’entrée en vigueur de la loi du 26 novembre 2011,. Initiative Citoyenne se pose la juste question de savoir s'il ne s'agit effectivement pas "d’un abus de la faiblesse socioprofessionnelle des parents de la part de l’ONE, qui recourt ainsi à un moyen de pression tout à fait déloyal et malhonnête (un chantage inadmissible en fait)". (Texte de la loi)

°° - "Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts." Dr. SALK (qui introduisit pourtant le vaccin original de la polio dans les années 50).

- L'inventeur du premier antibiotique le Pr René Dubos  écrivait dans son livre Mirage of Health (Mirage de la santé) : "Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d'infortunées victimes chaque année. Mais ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite  sans souffrir de la maladies [et on peut le dire analogiquement pour tous les autres virus ou bactéries].  Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s'agit d'autre chose."

- "Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose." British Medical Journal 1967

- "En fait, selon une déclaration du Dr Carl Eklund de l’Etat d’Idaho, l’une des autorités gouvernementales en matière de virologie, la polio n’a frappé que les enfants vaccinés dans des régions où il n’y avait eu aucun cas de polio l’automne précédent ; dans 9 cas sur 10 la paralysie apparaissait dans les bras où le vaccin avait été injecté.". (News chronicle, May 6, 1955). cerise

- Cerise sur la gâteau par rapport à la prétendue efficacité des vaccins en général : "Le député qui présidait une table ronde sur la vaccination en France, le 6 juin dernier [2007] au Sénat [français], estime « qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins". Ce député n'est autre que le président de la Commission sur la Santé du Sénat français, le Dr Jean-Michel Dubernard ; c'est un chirurgien réputé et membre du collège de la Haute Autorité de Santé, depuis 2008). Pendre aussi connaissance de l'analyse éloquente qui en est faite sur le site d'AGORA : "Vaccin : « Pas de preuve scientifique ! »".
.
 

MATIERE A REFLEXION

 

L'abus de faiblesse dénoncé fort justement plus haut par les parents et par Initiative Citoyenne,  compte malheureusement parmi la liste des diverses dérives qu'on rencontre notamment chez certains thérapeutes ; comme déjà mentionné, un loi a été récemment votée :"Des poursuites pénales pourront être engagées à l'encontre de la personne qui connaissait la situation de faiblesse (physique ou mentale) de la victime et qui en a frauduleusement abusé pour la conduire à un acte ou à une abstention portant gravement atteinte à son intégrité physique, mentale, ou à son patrimoine." (Loi du 26/11/2011 entrée en vigueur le 2/02/2012)
De plus  il faut fortement insister sur le fait que, vu l''absence de preuve scientifique de l'efficacité des vaccins, on peut en plus déplorer deux abus connexes (et donc des dérives avérées) dans le chef de tous ceux, médecins et autres, qui imposent la vaccination comme allant de soi : l'endoctrinement et le dogmatisme (rappel : vu l'absence de preuve d'efficacité des vaccins, prétendre qu'il sont bénéfiques relève du dogme et s'employer à l'imposer avec autant de force, c'est de l'endoctrinement). Il faut cependant y ajouter le  manque de respect des règles d'éthique et de déontologie en matière médicale notamment parce qu'en l'occurrence le principe de la liberté thérapeutique n'est pas respecté et le droit de refuser l'acte médical que constitue indéniablement la vaccination. 

Vu l'absence de preuve concernant l'efficacité des vaccins,  on peut en outre ranger la vaccination parmi les procédés illusoires (autre dérive thérapeutique), qui sont souvent pourtant dénoncés de la part des acteurs de la Science médicale à l'endroit des pratiques non conventionnelles ("charité bien ordonnée...").

Vu enfin les incontestables effets mortifères que produisent trop souvent les vaccins et qui sont dénoncés régulièrement par la presse, on peut se poser légitimement la question d'une enfreinte au principe Primum nil nocere (d'abord ne nuire en rien) du serment d'Hippocrate auquel se sont pourtant engagés les membres du corps médical.

 

Voici un extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent (pp. 13-14) :

Types des principales dérives rencontrées

 Les dérives se trouvent au premier chef dans certaines attitudes de base présentes dans toutes les couches de la société et de tout temps (il ne conviendra donc pas de diaboliser les pratiques thérapeutiques) : la manipulation, la déstabilisation, l’emprise mentale, les abus d’autorité, de pouvoir, de faiblesse et de crédulité…

Certains aspects du profil psychologique de la personne en cause les favorisent et ne sont donc pas forcément délibérées (ce qui n’enlève rien à leur caractère inapproprié) : le manque d’humilité, les insuffisances de remise en question, l’absence de travail préalable sur soi[1]

Sur le terrain thérapeutique, les comportements dérivants se traduisent comme suit : l’endoctrinement, le dogmatisme, le manque de respect des règles d’éthique, de déontologie et de relation d’aide appropriées[2], les enfreintes à l’esprit du serment d’Hippocrate, les violences physiques et psychiques, le cadre erratique des séances, les manques de distance thérapeutique, de supervision, de savoir-être, la thérapie sauvage, les promesses de guérison, la pratique illégale de la médecine, le détournement de la médecine, le charlatanisme, les procédés illusoires, les fraudes, l’appât du gain…

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[1]  Pour guérir ses propres blessures émotionnelles de sorte de ne pas laisser interférer son propre vécu sur l’autre, infra p. 182.

[2]  Qui font l’objet du chapitre 13, p. 175 et dont la lecture préalable est fortement recommandée pour faciliter la lecture du livre.

 

 

Lire aussi : quand "[...] le « Primum agere » [d'abord agir] a supplanté le « Primum nil nocere » [d'abord ne  nuire en rien, conformément au Serment d'Hippocrate] "

 

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Ubu

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* "Notre poison quotidien"

 

 

ARTE : "Le documentaire de Marie-Monique Robin revient sur trois scandales de l'industrie agroalimentaire : les pesticides, l'aspartame et le bisphénol A."

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En s'intéressant à l'histoire des produits chimiques, Marie-Monique Robin a "découvert que les "produits phytosanitaires", selon le terme euphémisant utilisé par l'industrie et les pouvoirs publics, sont des dérivés des gaz de combat mis au point par un chimiste allemand du nom de Fritz Haber pendant la première guerre mondiale.
Ses travaux sur les gaz chlorés ont ouvert la voie à la production industrielle d'insecticides de synthèse, dont le plus célèbre est le DTT, qui fait partie de la vaste famille des organochlorés. Suivront les organophosphorés, dont le développement dans l'entre-deux guerres est directement lié à la recherche sur de nouveaux gaz de combat, qui finalement ne seront jamais utilisés à des fins militaires., mais seront recyclés dans l'agriculture chimique.
Comme le souligne un film institutionnel du ministère de la santé américain du début des années 1960, que j'ai utilisé dans mon film, les pesticides sont bel et bien des « poisons », car ils ont été conçus pour tuer. La grande famille des pesticides est d'ailleurs identifiable par le suffixe commun « - cide », - du latin caedo, cadere , « tuer » - car d'après leur étymologie, les pesticides sont des tueurs de « pestes », du latin « pestis » qui désigne des fléaux ou calamités : les adventices, ou « mauvaises herbes » (herbicides), les insectes (insecticides), les champignons (fongicides), les escargots et autres limaces (mollusticides), les vers (nématicides), les rongeurs (rodenticides), ou les corbeaux (corvicides).
C'est précisément parce qu'ils sont hautement toxiques et nocifs pour la santé de ceux qui y sont exposés (les agriculteurs, mais aussi les consommateurs) que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Agriculture Organization (FAO) ont inventé un système qui permet d'évaluer la toxicité des pesticides (mais aussi des additifs et plastiques alimentaires-), dont le pilier s'appelle la « Dose Journalière Acceptable » (DJA). Certains emploient l'expression "Dose journalière admissible" mais je préfère utiliser celle qu'a proposée René Truhaut, un toxicologue français, considéré comme le "père de la DJA", dans les (rares) articles qu'il a consacrés à son "invention".
Ce concept, dont j'ai reconstitué l'origine grâce à mes recherches dans les archives de l'OMS , à Genève désigne "la quantité de substance chimique que l'on peut ingérer quotidiennement et pendant toute une vie sans qu'il n'y ait d'effet sur la santé".
En termes clairs : c'est la quantité de poison que nous sommes censés pouvoir ingérer quotidiennement, car si ladite substance n'était pas un poison, il n'y aurait pas besoin d'inventer une DJA !
Voilà pourquoi, avec ARTE et La Découverte, j'ai décidé d'appeler mon film et livre Notre poison quotidien, car je montre comment notre nourriture est quotidiennement contaminée par de petites quantités de poisons divers et variés.
Le titre est aussi un clin d'œil à la référence des Evangiles que tout le monde connaît : "Notre pain quotidien"."

Marie-Monique Robin

 

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* « Les régimes amaigrissants : inefficaces et nocifs »

 

« Pour la première fois, le rapport d'une agence publique met en avant les carences et les déséquilibres provoqués par quinze régimes qu'elle a passés au crible. »  (Source: Le figaro.fr).


« Une équipe de professeurs et de chercheurs hautement qualifiés a commencé par sélectionner les régimes les plus populaires en observant journaux et sites Internet sur le sujet. Puis ils ont calculé les apports nutritionnels de chacune de ces méthodes» explique, au Figaro.fr, le professeur Gérard Lasfargues, directeur scientifique à l'Anses. »

Déséquilibres

« Après un an d'observation, le constat des experts de l'Anses est en effet sans appel : tous ces régimes entraînent des déséquilibres en macronutriments (lipides, glucides, protéines), en vitamines et en minéraux. »

« Mais au-delà des manques ou des surplus provoqués par ces régimes, ces modes d'alimentation sont dangereux pour la santé. L'Anses cite la diminution de la masse minérale osseuse et les risques de fracture, ainsi que la réduction en acides gras polyinsaturés «indispensables», le risque de calculs biliaires avec les régimes très hypocaloriques, et de cancer colorectal avec les régimes pauvres en glucides complexes et en fibres. L'innocuité des régimes pauvres en glucides et riches en graisses et en protéines n'est pas établie sur le plan cardio-vasculaire.»

 

Reprise de poids dans 95% des cas

« Dans Le Parisien, le président du groupe de travail qui a planché sur ce rapport, Jean-Michel Lecerf, de l'institut Pasteur de Lille, affirme également que «dans 95% des cas, il y a reprise de poids après le régime.»

Pire : «Des personnes qui n'avaient pas de problème de poids avant leur régime peuvent se retrouver en surpoids et développer des troubles du comportement alimentaire.»

« L'expert avance également que, plus on fait de régimes, plus on gagne de gras : "Chaque régime est moins efficace que le précédent, et la reprise de poids plus importante". Jean-Michel Lecerf tient par ailleurs à avertir les jeunes filles des troubles possibles de l'ovulation. Et s'insurge contre les régimes préconisés aux enfants «au risque de les exposer à des troubles de la croissance ».
 

Quelle piste alors prendre ?

Qu'est-ce qui donc provoquerait la prise de poids, puisqu'agir sur l'alimentation n'est pas la réponse adéquate ?

Il y a pourtant encore des études rationalistes qui tentent de livrer les causes du surpoids sont exclusivement et dogmatiquement rivées sur l’aspect matériel au détriment du psychologique : elles ne prennent donc aucunement en compte les facteurs psychologiques qui entraînent les dépendances comme les compulsions alimentaires ou tabagiques, par exemple !
(En savoir plus sur les dépendances et leurs causes).

Croire qu’on pourra maigrir grâce à un régime alimentaire et quel qu’il soit est une impasse !
Le croire c’est adhérer à la mythologie matérialiste qui prétend que la cause des problèmes de poids (notamment) est à trouver dans ce qui est ingéré. Que cache en effet cet excès de poids mal vécu ? Comment se fait-il qu’aucun régime ni aucune technique n’en vienne à bout ? Que signifie cet aller-retour continuel entre prendre et ensuite perdre du poids et donc ce que « permet » aussi l’anorexie ?

Les découvertes de la psychobiologie moderne ont démontré que la boulimie comme les problèmes de poids avaient des causes analogues à celles des maladies. Comme ces dernières, on observe sur le terrain psychothérapeutique (au travers des cas rencontrés) que tout problème de poids et qui passe souvent par la boulimie est le transposé somatique (prise de poids) d’une situation conflictuelle non résolue et cachée dont l’origine est localisée dans la petite enfance voire dans le ventre materne ; attention, ici comme ailleurs, il appartient au sens patient de donner un tel sens qui ne peut en aucun cas être induit de la part de l'accompagnant (sinon on tombe dans le travers iatrogène du "décodage biologique" et qui est d'ailleurs depuis peu (justement) considéré comme pratique illégale de la médecine.
Un accompagnement psychothérapeutique adapté est sans doute le cadre thérapeutique le plus adéquat pour retrouver le poids désiré.

 

 

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* Le sénat français dévoile le vrai dessous des cartes de la vaccination

 

 

 

 

 

Dans son rapport n°476 du 28 septembre 2007, le sénat français avoue clairement « qu'un des buts au moins des politiques vaccinales (mais néanmoins JAMAIS révélé comme tel au public!) est de se servir des gens comme cobayes à leur insu et tout cela, en substance, parce qu'il faut aider le business des pharmas qui ont encore, les pauvres, tellement de vaccins à devoir introduire sur le marché, puis qui servent aussi si bien l'intérêt national via l'emploi, le PIB etc. !!!!! ». (Commentaire de Initiative Citoyenne).

 

En effet voici ce qu'on découvre dans ce rapport : « Au-delà de son objectif de court terme d'améliorer le taux de couverture de la population, la politique vaccinale doit, à plus long terme, être en mesure de répondre aux besoins en matière de recherche et de production nationales de vaccins et aussi de jouer un rôle moteur dans l'aide aux pays les plus pauvres. Pour relever ces défis, les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu'ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels »..
 

Paradoxalement, ce même sénat français actait quelques mois avant (juin 2007) en commission de la santé : « Le député qui présidait une table ronde sur la vaccination en France, le 6 juin dernier [2007] au Sénat, estime "qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins" ».. Ce seul constat aurait dû alors faire adopter (notamment) par la France une attitude plus cohérente, mais on est loin du compte !
Le député en question n'est autre que le Dr Jean-Michel Dubernard, chirurgien réputé et membre du collège de la « Haute Autorité de Santé » (depuis 2008).
(Lire aussi cette pertinente analyse faite par AGORAVOX qui en reprend l'info).

 

Dans un riche dossier de la revue Nexus (septembre-octobre 2009), reprenant sous le titre "Pas de preuve scientifique" cette constatation, on ajoute : "mais personne ne semble l'avoir entendu."  La désinformation qui sert aux intérêts des lobbies pharmaco-industriels a encore de très beaux jours devant elle et ce n'est pas la tonne de dérives sanitaires qui semble mettre quelque frein à ces collusions.

 

Vu l'absence de preuves scientifiques concernant les bénéfices de la vaccination, on ne peut donc que constater que le bien-fondé de la vaccination consiste uniquement donc des objectifs purement macro-économiques, du propre aveu du Sénat français. Dans de telles conditions, il apparaît que l'objectif de santé publique est manifestement bafoué. En revanche, vu les effets mortifères avérés de la vaccination sans qu'on puisse dont prouver sa quelconque utilité, il est affligeant de constater que les politiques (pourtant en plus parfaitement au courant de l'acte antiscientifique que constitue la vaccination), encouragent par omission la dégradation de la santé publique (et partout dans le monde) !
 


Pour ne pas mourir idiot, surfez sur le site de Initiative Citoyenne, où vous pourrez prendre connaissance d’autres informations pertinentes :

« L'article du Geneesmiddelenbulletin conclut qu'il n'y a pas de preuves valables issues d'études randomisées ou de méta-analyses attestant que la vaccination annuelle contre la grippe chez les personnes âgées et les patients à risque soit efficace. Les auteurs d'une méta-analyse publiée récemment dans The Lancet Infectious Diseases arrivent à la même conclusion." »
[…]
« Mais nos bons experts, enseignants universitaires ou autres membres d'instituts officiels, continuent encore en affirmant ensuite que "Chez certains patients (vaccinés donc), l'apparition de ces mutants se traduira sans doute par une grippe atténuée."
Oui, cela n'est pas un scoop, nombreux étant les patients qui ont définitivement cessé de se faire vacciner après avoir subi la première vaccination antigrippale de leur vie et être tombés malades comme jamais ils ne l'ont été au cours de leur existence.
La grosse omission coupable ici consiste en fait à faire passer ce genre de situation comme anecdotique et exceptionnelle au vu de cette mutation annuelle-ci alors qu'il est en fait très fréquent que le "vogelpiek" des grands experts de l'OMS pour la sélection annuelle des souches vaccinales échoue d'une part, et que d'autre part, il est très fréquent que les patients vaccinés, même avec les bonnes souches, contractent cependant une grippe en bonne et due forme.
Pourquoi : parce qu'une vaccination quelle qu'elle soit sape et affaiblit le système immunitaire ainsi court-circuité. Le sujet vacciné est donc bien plus susceptible en post-vaccination de contracter toutes sortes d'infections microbiennes diverses et variées, qu'il s'agisse d'infections virales ou bactériennes que s'il n'avait pas été vacciné. »

Plus d'infos encore sur notre page spéciale  NE VOUS Y AGRIPPEZ PAS !

 

 

 Dès lors, à chacun de forger son opinion, restant libre de ses choix vaccinaux, mais alors en TOUTE connaissance des choses !
 

 

 

inefficacite

 

Différentes études montrent le très peu d'efficacité des vaccins contre la grippe  (janvier 2013)

 

Sur base d'études chiffrées réalisées dans 24 Etats américains, les très officiels Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC °) ont rendu le verdict suivant : "le vaccin contre la grippe est en fait efficace à moins de 2 %". ("Flu vaccine is actually less than two percent effective"). Plus haut , nous avions d'ailleurs relevé qu'il n'existait aucune preuve d'efficacité réelle du vaccin : ces études des CDC n'apportent dès lors qu'une confirmation du réel crédit qu'il faut finalement donner à la vaccination antigrippale (sans parler des autres)...
Confirmant la solidité des telles études, il faut citer cette autre étude scientifique publiée par
The Lancet  (IX/2012 - °°) et qu'a réalisée le Center for Infectious Disease Research and Policy de l'Université de Minnesota (USA).

En voici l'analyse de Initiative Citoyenne :

":Le vaccin antigrippal n’empêche la grippe que chez 1,5% des adultes vaccinés !" "Le « groupe contrôle » se composait de 13.095 personnes non vaccinées qui étaient surveillées pour voir si elles ne faisaient pas la grippe. Plus de 97% d’entre elles ne firent pas de grippe. Seules 357 personnes ont fait une grippe, ce qui veut dire que seuls 2,7% de ces adultes contractèrent la grippe.  Le « groupe traité » était composé d’adultes qui furent vaccinés avec le vaccin trivalent inactivé contre la grippe. Parmi ce groupe, selon l’étude, seul 1,2% a fait une grippe.  La différence entre ces deux groupes est donc de : 2,7% - 1,2% = 1,5%".
Initiative Citoyenne fait aussi pertinemment remarquer que lorsque les acteurs de la santé belge, pharmaciens et autres médecins etc. avancent que "les vaccins contre la grippe sont  efficaces à 60%", c'est donc un pur mensonge !

__________

(°) "Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention, CDC), au quartier général situé dans le comté de DeKalb, près d'Atlanta, forment ensemble la principale agence gouvernementale américaine en matière de protection de la santé publique et de sécurité publique. Ils y parviennent en fournissant une information crédible pour améliorer les décisions en matière de santé, et en promouvant la santé par le truchement de partenariats solides avec les départements de la santé des différents États et d'autres organisations." (Source : Wikipedia)

(°°) The Lancet est une revue scientifique médicale britannique parmi les plus renommées, les plus respectées et les plus anciennes, à publication hebdomadaire. Elle doit son nom à l'instrument chirurgical "lancette", sorte de scalpel


 

Pire, "selon une étude de Cochrane Collaboration, aucun vaccin antigrippal n’a de valeur" (X/2012)  :

"Cette étude est accablante pour l'industrie pharmaceutique entière et ses sbires, l'industrie de test des médicaments et le système médical qui dépendent d’elle et font sa promotion. Les vaccins antigrippaux n’ont aucun intérêt et entraînent de graves préjudices. Publiée dans Cochrane Library (°), une étude remarquable n'a constaté aucune évidence de l’utilité des vaccins contre la grippe. Elle éreinte aussi la qualité des études sur ces vaccins, en disant que la grande majorité des essais sont lacunaires. D’après les auteurs, les seules études montrant des avantages sont financées par l'industrie. Ils ont aussi fait remarquer que ces études financées par l'industrie sont plus susceptibles d'être publiées dans les revues les plus prestigieuses... et une autre chose : Ils ont découvert des cas de graves dommages dus aux vaccins, malgré les carences en matière de couverture des effets indésirables." (Source).

En effet, les composants toxiques des vaccins sont la plupart du temps présents à des fortes doses...

__________

(°) La Cochrane Library (USA) est une importante collection de données médicales et provenant aussi d'autres domaines de soins de santé.

vu

Vu tout ce qui précède, Il serait intéressant de réexaminer le calcul du fameux rapport bénéfice-risque.
En effet, pour recevoir son autorisation de mise sur le marché (AMM), tout médicament doit avoir une balance bénéfice-risque qui doit être positive ; pourtant, ces misérables 2,2 % voire 1,5% d’efficacité (comme Initiative Citoyenne l’a fait pertinemment remarqué) et qui seraient constatés dans la population, sont bien en deçà de ce qui est admis généralement pour qu'un médicament soit mis en service
Pire, vu les divers et nombreux effets indésirables constatés et quelquefois mortifères, on peut légitimement suspecter qu’ils dépassent largement les 2 %
Donc ne devrait-on pas retirer de la circulation ces vaccins, comme on n’hésiterait pas de la faire en l'occurrence pour les autres médicaments ? N'y a-t-il donc pas lieu, sur base des chiffres précédents, de mettre en route une procédure conduisant au retrait de "l'autorisation de mise sur le marché" (AMM) des vaccins au cas par cas ?
En fait, tout a été tronqué dès le départ puisque le seul fait de l'absence de preuve scientifique de l'efficacité des vaccins doit alors dans tous les cas faire immanquablement pencher la balance bénéfice-risque défavorablement, puisque tous les vaccins ont des effets secondaires (risques) !
 

 

Au fait, qu'est ce en fait rend certaines personnes plus fragiles par rapport  (notamment) aux maladies infectieuses ?

Comme nous l'avons déjà développé sur ce site sur base d'études sérieuses, le "terrain" particulier à chaque personne est finalement déterminant quant à la survenance des maladies notamment infectieuses, mais aussi dans la manière dont ces dernières vont se développer, en ce y compris leur durée et l'étendue de la convalescence.

La qualité du  terrain de chaque individu est d'abord déterminée par celle de son alimentation. Celui qui est considéré comme le père de la médecine moderne, le grec Hippocrate, disait très justement et avec bon sens : Que ton alimentation soit ta principale médecine. En effet, "ce sont la malnutrition généralisée, le manque de vitamine D et des environnements toxiques, qui sont à blâmer par rapport l'épidémie actuelle de grippe, et non un manque de vaccins contre la grippe", dit encore l'article cité (CDC).

 

Influence de l'apport de vitamine D

 

Thierry Souccar, auteur entre autres de Prévenir et guérir la grippe, souligne que :« contre la grippe, il ne faut pas manquer de vitamine D » !

Il explique aussi pour quelles raisons la grippe serait saisonnière :

"C'est une hypothèse, mais nous sommes nombreux à penser qu'elle explique en grande partie la saisonnalité de la grippe. Selon ce modèle, il n’y a pas plus de virus en hiver, mais nous sommes plus vulnérables parce que nous n’avons plus assez de ces substances qui stimulent l’immunité comme la vitamine D. Nous avons aussi moins de composés protecteurs issus des végétaux comme la vitamine C et les polyphénols. Même si ce n’est qu’une hypothèse, je pense que cette information a une importance considérable pour la santé publique parce que la vitamine D apporte bien d’autres bénéfices : il ne faut pas en manquer en hiver, quand le soleil ne nous permet plus d'en synthétiser".

 

Renforçant ce qui a déjà été observé sur le plan scientifique et confirmant bien dans les faits "l'hypothèse" de Thierry Souccar, voici parmi les nombreux des témoignages de ce type et dignes de foi, une sélection d'avis qui montrent tous l'incidence d'un déficit de vitamine D par rapport à la survenance (notamment) de la grippe et inversement, tout le bénéfice qu'on peut tirer d'un apport suffisant en vitamine D : :

* "Le premier émane du Dr Norris Glick, du central Wisconsin Center (CWC), un établissement fédéral de soins pour handicapés de la ville de Madison. Le CWC, explique le Dr Glick emploie 800 personnes, qui s’occupent en permanence de 275 patients handicapés. Depuis des années ces patients bénéficient d’une surveillance de leur taux sanguin de vitamine D et reçoivent le cas échéant des suppléments de cette vitamine, ce qui signifie que les déficits sont très peu fréquents chez les patients. En juin 2009, le Wisconsin a été le théâtre d’une flambée de cas de grippe « porcine » ; 103 employés du CWC sont tombés malades, victimes de symptômes grippaux. Lorsque des tests ont été pratiqués, ils ont révélé une infection par le virus de la grippe A. En revanche, seul un patient résident du CWC est tombé malade.

* Un autre témoignage est fourni par le Dr Ellie Campbell, un généraliste de Suwanee, en Georgie. Le Dr Campbell écrit : "La Géorgie et l’une des 5 états américains ayant connu la plus forte incidence de cas de grippe A (H1N1). Je partage un cabinet médical avec un autre médecin. Je mesure systématiquement depuis des années le taux de vitamine D chez mes patients et je les supplémente le cas échéant. Il [mon collègue]  ne le fait pas. Il a parmi ses patients entre un cas et dix cas de grippe A par semaine. Je n’en ai pas eu un seul depuis le début de l’épidémie. Tous mes patients reçoivent 2000 à 5000 UI de vitamine D par jour pour maintenir des taux sériques entre 50 et 80 ng/mL"

* D'autres scientifiques "croient [aussi] que ce serait en renforçant le système immunitaire que la vitamine D réduirait les risques d’être infecté ou sérieusement atteint. « La preuve que la vitamine D semble aider le système immunitaire à mieux lutter contre les intrus est presque écrasante »", soutient le spécialiste de la vitamine D, Reinhold Vieth, professeur à l’Université de Toronto (Source)..

* Une étude japonaise, publiée en mars 2010 dans l’American Journal of Clinical Nutrition "a montré un important effet protecteur des compléments de vitamine D. Mitsuyoshi Urashima de l’Université Jikei (Tokyo) et ses collègues ont mené cette étude avec 334 enfants répartis au hasard en 2 groupes : l’un recevant un supplément de 1200 UI de vitamine D3 et l’autre, un placebo. Les enfants recevant un complément de vitamine D avaient un risque diminué de 42% d’attraper la grippe influenza A (ce qui se compare bien à l’efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière estimée entre 25 % et 60 %). Parmi les enfants ayant déjà eu un diagnostic d’asthme, la vitamine D réduisait le risque de crises de 83%. « Des études d’observation et épidémiologiques ont également lié la carence en vitamine D à un risque accru de grippe saisonnière et de nouvelle grippe A H1N1 »″, indiquaient les auteurs" (Source).

 

Autre preuve indirecte du rapport  positif vitamine D / protection contre la grippe : dans l’hémisphère nord, les épidémies de grippe se rencontrent  surtout d’octobre à mars, alors que dans l’hémisphère sud, elles apparaissent entre avril à septembre et donc durant des périodes respectives de moindre ensoleillement avec pour conséquence une production déficitaire de vitamine D (sous l'effet du soleil via la peau). Vu les constants échanges entre le nord et le sud et qui permettent aux virus de voyager en toute liberté, ceux qui soutiendraient encore l'absence d'incidence de la vitamine D comme protection contre (entre autres) la grippe, seraient incapables d'expliquer les raisons d'un tel décalage géographique.
 

En savoir plus : Vitamine D. 80% des occidentaux concernés (article de l'excellent site canadien PasseportSanté.net).


A chacun donc de faire son choix, mais alors en parfaite connaissance de cause !
 

Retour au début de cet article sur Le sénat français dévoile le vrai dessous des cartes de la vaccination.

 

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* Quand la visualisation permet de réduire le stress et l'anxiété

   et booste le bien-être

 

 

 

 

Visualisation et imagerie mentale :

 

"Deux synthèses d’études concluent que la visualisation, souvent en conjonction avec d’autres techniques similaires, peut réduire le stress et l’anxiété et contribuer au bien-être général des personnes bien portantes. Une autre conclut qu’elle peut également améliorer le bien-être des personnes souffrant de maladies graves, comme le cancer ou le sida. La visualisation peut aussi contribuer à soulager les manifestations de la plupart des problèmes de santé liés au stress ou susceptibles d'être aggravés par celui-ci, de l’hypertension à l’insomnie en passant par l’arthrite et l’infarctus du myocarde."

 

 

Une expérience de visualisation

Visualisation et imagerie mentale  "Imaginez-vous en train de couper un citron en quartiers, de humer un de ceux-ci, puis d'y mordre à pleines dents, le jus coulant dans votre bouche... Si vous savez ce qu'est un citron et que vous avez fait l'exercice consciencieusement, il est probable que vous ayez salivé en réaction à la forte acidité du fruit – même si cette acidité n'était qu'imaginaire".

 

(Détails sur  PasseportSante.net)

 

Ce principe est a mettre en rapport avec le puissant effet placebo. : "Le meilleur médecin est le médecin intérieur. C'est une science qui marche très bien : malheureusement, peu de médecins [et de thérapeutes]  le savent" (Albert Schweitzer)

La visualisation est aussi bien présente dans l'application de L'acte et la lettre symboliques.

 

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"Dépression : les psychothérapies peu prescrites", quel paradoxe !

 

 

 

"Le nombre de Belges sous anti-dépresseurs

progresse de 1% par an" (avril 2013)

 

"Le nombre de Belges prenant des anti-dépresseurs a progressé ces dernières années de un pour cent par an. Le nombre de patients sous traitement de longue durée progresse encore plus rapidement, ressort-il jeudi d'une réponse de la ministre fédérale de la Santé Laurette Onkelinx à une série de questions du sénateur Bert Anciaux (sp.a)" (source Le Vif).

 

"Le nombre de personnes sous anti-dépresseurs est ainsi passé de 1,05 million en 2007 à 1,14 million en 2010. La consommation de ces médicaments, exprimée en nombre de doses quotidiennes par patient, a progressé sur cette même période de 225,1 à 270,8 millions.  La part de consommateurs de longue durée -plus de 180 doses quotidiennes par patient et par an- est elle passée de 81,1 à 83,5% de 2007 à 2010." [...]
 

Cet inquiétant constat révèle d'abord la responsabilité du corps médical qui fait généralement l'impasse sur le fait que, hors cas d'urgence, l'accompagnement psychothérapeutique devrait rester la voie de prédilection. D'ailleurs de nombreuses études en attestent. Il faut savoir que les psychotropes sont des inhibiteurs des émotions et empêchent alors l'accès et donc la libération de la mémoire émotionnelle...
 

 


 

Dans un autre article (français) paru récemment, à propos de la prise en charge médicale de la dépression, on déplore à juste titre le manque de recours au psychothérapies :

Face à une dépression légère, 61 % des médecins généralistes prescrivent avant tout des antidépresseurs, alors que ces médicaments devraient être réservés aux cas les plus sévères. La moitié d’entre eux donne en même temps un anxiolytique ou un somnifère. Seuls 4 % choisissent de recommander une psychothérapie seule, c’est-à-dire le traitement recommandé en cas de dépression légère. (Source).

 

Pourtant, l'efficacité des antidépresseurs a été maintes fois mise en doute

 

      Extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent (pp. 39-40)
 

L’efficacité des antidépresseurs est mise en doute.

Selon une étude américaine, les publications scientifiques sur les nouveaux psychotropes exagèrent leur action. […] L'efficacité des nouveaux antidépresseurs mis sur le marché depuis le milieu des années 1980 […] est mise en doute par des experts américains de la FDA [nda : Food and Drug Administration], la toute-puissante agence américaine du médicament. Une étude du New England Journal of Medicine montre que des publications ont exagéré l'efficacité de ces médicaments parés de toutes les vertus par les laboratoires, les médecins et même les malades[1].

Les antidépresseurs de la dernière génération ne montrent pas de différence par rapport aux placebos.

Voici le verdict "sans appel" de deux scientifiques réputés (Irving Kirsch de l’université de Hull au Royaume-Uni, et Blair Johnston de l’université du Connecticut aux USA), qui ont passé en revue la totalité des essais cliniques des six antidépresseurs de nouvelle génération les plus prescrits : « Ces médicaments […] ne sont pas plus efficaces qu'un placebo ! Autrement dit, un médicament ne contenant pas de principe actif… ». Extrait du même article, l’avis du Pr Jean-Michel Ougourlian, psychiatre :

Le drame de ces nouveaux antidépresseurs, c'est qu'ils sont mal prescrits. Les gens [nda : mal informés] y ont fait appel pour un amour déçu, une période de chômage, un coup de blues… C'est l'ignorance des médecins : une mélancolie grave ne répond pas à ces drogues. Le problème est en amont : les psychiatres ne sont pas formés et les diagnostics ne sont pas assurés[2].

La question se pose également pour les autres psychotropes. De telles impasses ne sont pas surprenantes : comment peut-on prétendre soigner des dépressions et les autres maladies psychiques, en ne recourant qu'à des effets chimiques sur le cerveau, tout en faisant l’impasse sur le traitement des causes réelles (psychologiques) en amont ?


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En revanche, la pertinence et l'efficacité des psychothérapies ne font pas pourtant aucun doute.

        Extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent  :(p. 40

 

Psychothérapie versus pharmacopée.

En revanche, on constate que des patients arrivent à se passer avec succès de psychotropes quand ils « soignent leur dépression sans médicaments », et notamment, pour les mieux informés d’entre eux, grâce à la psychothérapie[3].

Plusieurs études l’attestent :

[…] la psychothérapie permet de réduire de manière sensible la consommation de médicaments psychotropes (49 % des personnes en thérapie en consommaient au départ, contre 27 % après une année de thérapie […][4].

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[3]  C’est l’accroche en page de couverture, d’un article de la revue Psychologies (n° 292) de janvier 2010, p. 69, intitulé : L’engagement de Psychologies

       contre l’abus d’antidépresseurs : Soigner sa dépression sans médicaments  (Sante_le_Figaro.htm#medicaments).

[4]  Enquête nationale BVA-FF2P-Psychologies 2001 ( http://www.ff2p.fr/fichiers_site/accueil/actualite/psy_peril/lettre_mattei/lettre.html..

 

Lire aussi : * 11.000 enfants sous antipsychotiques en Belgique !

                      *  Comprendre la dépression pour mieux en sortir

 

Ce que Retrouver Son Nord vous propose comme séances psychothérapeutiques


 

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epigenetique

 

* "L'épigénétique, ou comment la santé de bébé est influencée in utero"

 

Ignorer les événements qui se sont passés avant votre naissance, c'est rester toujours enfant.
Cicéron (106-43 av. J.C.)

 

 

Dans une page spéciale, nous avions déjà et très largement développé les interférences entre autres des vécus maternel et paternel sur la destinée de l'enfant à naître : Comment se forgent les croyances limitantes dans le ventre maternel et ensuite....  Comme il fallait s'y attendre, voici que cette nouvelle science l'épigénétique vient confirmer à ce propos en ajoutant, comme attendu, les effets sur la santé physique... Il était temps qu'on fasse barrage au scientisme rampant, réductionniste qui préside à la croyance toute dogmatique d'un déterminisme génétique et qui infecte encore trop ceux qui sont ancrés au scientifiquement correct : reportez-vous à notre article Les limites du tout-génétique.

 

"L’environnement, l’alimentation ou encore le stress de la mère ont un effet sur le développement du fœtus et la santé de l’adulte qu’il deviendra. La clé est dans l’épigénétique, une discipline scientifique en plein essor" (Le Vif L'express)

 

Rémy Slama épidémiologiste de l’Inserm et coordinateur de travaux en Epigénétique souligne que "des centaines de chercheurs à travers le monde tentent aujourd’hui de répondre à cette question essentielle : d’où viennent nos « maladies de civilisation » – obésité, diabète, affections cardio-vasculaires, cancers, dépression… ? Et, comme lui, ils sont de plus en plus nombreux à suivre la même piste, celle de la vie du fœtus dans le ventre de sa mère. « La génétique a échoué à apporter une réponse satisfaisante. L’alcool, le tabac, un environnement pollué ou une mauvaise alimentation à l’âge adulte n’expliquent pas tout non plus. Cela veut bien dire que jusqu’ici nous sommes passés à côté de quelque chose ».

 

Tout ce que nous avons développé dans notre important chapitre consacré à la Psychobiologie, montre en effet à suffisance les immanquables interférences entre le psychisme - et donc ici celui des parents - sur l'individu, et en l'occurrence, l'enfant à naître. Certes, de telles influences ne sont pas scellées à vie : un accompagnement psychothérapeutique adapté peut accélérer leur libération.

 

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faconnage

 

* Le façonnage des maladies  : "Maladies inventées, juteux marché"

 

 

 

"Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent", avançait le Dr Knock

dans cette comédie de Jules Renard (Knock ou le Triomphe de la médecine) (1923)

avec une mise en scène et décors de Louis Jouvet, qui tenait aussi le premier rôle ;

elle a été ensuite transposée en film.

Le façonnage des maladies est de ce fait aussi appelé la Stratégie de Knock
 

 

L'information à propos de l'invention de fausses maladies ou du moins, l'exagération du sens médical à donner à certains symptômes est de moins ne moins tabou : après la diffusion de reportages sur ce thème sur TV5 monde ou encore sur ARTE, mais dont la diffusion à des heures tardives n'avait pu recueillir qu'une faible audience, c'est la première chaîne officielle de TV belge francophone (RTBF - La Une) qui a diffusé en février 2012 un long reportage sur ce sujet, mais cette fois, à une heure de grande écoute (Maladies inventées, juteux marché, magazine Opinions à la Une).

 

Nous sommes tous concernés directement et sans doute beaucoup d'entre nous en ont déjà subi les effets nocifs. De telles pratiques qui sont d'authentiques dérives médicales peuvent nuire gravement à la sante ; de telles aberrations ont même réussi et continuent à berner les organismes de contrôle de santé)  ; un comble pour ceux qui ont prêté le serment d'Hippocrate et se sont donc notamment engagés à respecter ce fameux précepte primum nil nocere  (d'abord ne nuire en rien), mais dont le texte exact est : "je ne me rendrai coupable d'aucun mal, ni d'aucune injustice" -  on croit rêver !

Ce qui suit est un complément de ce qui se trouve plus haut sur cette page et qui a déjà été abordé en partie : "Maladie à vendre" ; vu l'importance du sujet, il fallait ici encore attirer l'attention pour éviter de tels pièges.

 

 

Un nombre de plus en plus important de gens sont victimes du phénomène du disease mongering (façonnage de maladies, invention de maladies,…) : n'avez-vous pas remarqué qu'il y a de plus en plus de gens autour de vous qui sont diagnostiqués malades ?  Souffrez-vous de fatigue chronique ? Comme tous les lundis matins, si vous avez du mal à vous lever, si vous n'avez plus l'énergie suffisante pour aller travailler..., vous pourriez donc être atteint par le TDLM (Trouble dysphorique du lundi matin) ! On vous prescrira alors par exemple, ce nouveau médicament au nom très évocateur et ce n'est pas une blague: l'Antiflemmix !!!!

 

 

Avez-vous une peu d'embonpoint ? Vous risquez fort de souffrir du syndrome de la bidoche (appelé en fait syndrome métabolique, libellé qui fait très savant, mais fait pour impressionner). En fait; ce qui se cache en filigrane est  la compulsion à vendre un maximum de médicaments pour gonfler les bénéfices de Big Pharma au détriment de la santé publique et de l'équilibre financier de la sécurité sociale.

 

Comment expliquer un telle évolution contreproductive pour la santé publique En voici des éléments qui l'expliquent, tirés de Quand les thérapeutes dérapent (pp.43-45) :

 

« Système de soins de moins en moins efficace » 

 « Notre système de santé s’avère de moins en moins efficace, mais il coûte aussi de plus en plus cher », comme le constate le journaliste Ludovic Delory, dans son livre Silence les agneauxL’Etat décide pour vous[1].

Le Pr Raphaël Cannenpasse Riffard[2] écrit à ce sujet :

De nombreux chercheurs constatent la disproportion frappante entre le coût exorbitant et croissant qu'entraîne le système médical, sans que soit apportée une amélioration significative de la santé des populations[3].

 

 « Une véritable industrie de la maladie » 

 N’est-ce pas illusoire de proclamer que l’état de santé actuel est le meilleur qui ait régné au cours de l’histoire, lorsqu’un nombre toujours croissant d’individus doit avoir recours aux drogues et au médecin pour affronter les problèmes de la vie quotidienne ?

(René Dubos) [4].

 

Le Dr Carlyle Guerra de Macedo, qui a été le directeur du Bureau sanitaire panaméricain de 1983 à 1995[5], l’exprime en d’autres termes, pointant les causes du gaspillage consécutif :

Dans le domaine de la santé, les ressources sont gaspillées, dévorées par un système de prestations dont l'objectif même est dénaturé, il est trop centralisé, trop sophistiqué, sans rapport avec les besoins des utilisateurs et essentiellement modelé par le choix des bailleurs de service, des producteurs d'équipement et d'autres "biens sanitaires". C'est ainsi qu'est née "une industrie de la maladie" qui absorbe la totalité des ressources disponibles et dont le pouvoir s'accroît avec son expansion. Cette industrie s'attache (pour plus de 90 % des ressources disponibles) à ce que la restauration de la santé s'effectue par des techniques les plus sophistiquées et les plus coûteuses possible, puisque c'est la maladie qui la fait vivre et non pas la santé[6].

 


[1]  Paru en 2009, aux éditions Luc Pire, (renommées en 2010 La Renaissance du livre), collection Espace vital, Bruxelles, 2010, p. 170, même éditeur et même collection que le présent livre.

[2]  Il est professeur au CEHMN (Collège Européen d'Hygiène et de Médecine Naturelle) à Melun (France).

[3]  Biologie, Médecine et Physique Quantique, Éd. Marco Pietteur, Embourg, 2002, p. 54.

[4]  Dr René Dubos, Mirage de la santé, De. Denoël, Paris, 1961 p. 21.

[5]  Pan American Health Organization (PAHO).

[6]  Article paru dans le n° 453 de Technique et Hospitalisation –Analyse qui vaut aussi pour l’Europe vu l’apparentement des systèmes de santé.

 

 

"Au cours de ces quinze dernières années, les seuils retenus comme normaux pour la pression artérielle, la glycémie (le taux de sucre dans le sang) ou encore le cholestérol (taux de graisse) n’ont cessé de baisser. Du coup, le nombre d’hypertendus, de diabétiques et de patients traités pour une hypercholestérolémie a mécaniquement augmenté. Ainsi, depuis 2000, une personne est considérée comme diabétique à partir d’un taux de glycémie de 1,26 gramme par litre, contre 1,4 auparavant. Sur la base d’arguments scientifiques, certes, mais néanmoins discutés. Juste au-dessous, pour les valeurs comprises entre 1,1 et 1,26, on est maintenant… prédiabétique ! Sans symptôme, mais susceptible d’en déclarer. De la même façon, on peut se retrouver catalogué préhypertendu. Ou en préostéoporose, c’est-à-dire avec des os fragilisés par l’âge. Prémalade, en somme. Il suffit pour cela de résultats d’analyse flirtant avec les seuils de référence. Au nom de la prévention, il faudrait alors se surveiller et, au besoin, prendre des médicaments afin d’éviter de se retrouver, plus tard, dans la zone rouge. Le Dr Boukris explique à quel point ce discours, encouragé par les laboratoires pharmaceutiques, fait mouche chez nos contemporains. Dans l’esprit de nombreux patients, « un chiffre imprimé en gras sur la feuille d’examens biologiques impose une prescription », écrit le généraliste. « Docteur, vous ne me donnez rien pour le cholestérol ? J’ai peur pour mes artères. » " (Source Le Vif L'express).

 

De plus, de telles dérives créent des stress qui peuvent se transformer eux-mêmes en maladies sous certaines conditions : en effet,  il faut considérer "Ce que finit par entraîner la peur de ... à moins que..."

 

Les traitements prescrits dans de telles conditions ne sont pas sans risques pour la santé, vu les effets secondaires dommageables qu'ils peuvent produire : par exemple, dans le cas des statines qui sont  prescrites pour faire baisser le taux de cholestérol, le taux d'Ubiquinol présente dans le corps humain baisse fortement : appelé aussi la coenzyme Q10, c'est une molécule vitale pour notre corps. a une fonction primordiale dans la production de la totalité l’énergie cellulaire ! Elle tend à diminuer au fil du temps pour chuter brutalement vers la cinquantaine. Prendre des statines engendre une véritable pénurie de ce carburant principal et accélère le vieillissement et sans doute aggraver d'autres symptômes, cette fois réels !

 

Avec la complicité des médecins, sans lesquels pareilles dérives n'auraient jamais pu voir le jour, on en est arrivé à considérer la vieillesse comme une maladie et, par exemple, à prendre en charge la ménopause comme s'il s'agissait d'une affection à soigner ! Trop de médecins mettent l'accent sur les prétendus  facteurs de risque d'attraper telle ou telle maladie, mais la frontière est trop vite passée grâce à la pression de l'industrie pharmaceutique qui a réussi à convaincre beaucoup de médecins et les organismes de mise sur le marché des médicaments qu'ils s'agissait de maladies !  Lire aussi cette autre dérive médicale sous-jacente qu'est la Dommageable confusion entre corrélation  ("facteur de risque"...) et "lien de cause à effet".
 

TOP

"Est-ce que l'anticonformisme et le franc-parler sont une maladie mentale ? Selon la dernière édition du DSM-IV(Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) oui.

Ce manuel identifie une nouvelle maladie mentale appelée « trouble oppositionnel avec provocation » ou TOP. Cette maladie est définie comme un « schéma continu de désobéissance, d’hostilité et de provocation » et les symptômes incluent la remise en question de l’autorité, la négativité, la défiance, la contradiction, et le fait d’être facilement agacé."

Vous êtes prévenus : vous ne  serez réputés être en bonne santé mentale que si vous vous conformez au 'politiquement correct' et à 'la pensée dominante' et lobbyisée ! Zemmour, Houellebecq et Onfray vont être ravis ! (Suite)

 

Retour au début de "Le façonnage des maladies : "Maladies inventées, juteux marché"


Lire aussi :" 'L'Orthorexie', une nouvelle maladie ? "  et   "50% des médicaments seraient inutiles".

 

 

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Lorgeril

 

* Pour le Dr Michel de Lorgeril,

cardiologue et chercheur de réputation internationale (CNRS),
« la lutte contre le cholestérol est inefficace et dangereuse »
 

 

M. de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS, montre que les médicaments anticholestérol,

pris par 30 millions de personnes à travers le monde, sont sans effet sur l'infarctus,

mais en revanche, rapportent gros à l'industrie pharmaceutique.

Il complète son précédent ouvrage :

Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent, il vous soignera sans médicament.
 

 

Courageusement, face à un scandale sanitaire permanent, ce brillant cardiologue chercheur au CNRS, le Dr Michel De Lorgeril,  ne pouvait plus se taire : entre autres parce que faire réduire artificiellement son cholestérol avec des médicaments, peut entraîner des dommages sévères pour la santé. Dans un retentissant ouvrage documenté et truffé d'arguments implacables, il démontre qu'à l'instar de la révision régulière et incongrue des différents seuils retenus comme normaux pour la pression artérielle, la glycémie, celui relatif au taux de graisse dans le sang (cholestérol), a été également arbitrairement et fallacieusement abaissé.  Tout profit pour Big Pharma : autant de médicaments inutiles et surtout nocifs dont la vente massive est assurée d'une manière continue !

 

 

Le cholestérol vient-il vraiment seulement de l'alimentation ?

 

Les médias et sans doute votre médecin vous enjoignent de limiter l'apport de cholestérol alors que le premier producteur de cholestérol est l’organisme lui-même (3/4 de la quantité relevée) et donc, même si on le supprimait de l’alimentation, il en resterait la plus grande part . Mieux, le cholestérol est utile   c'est le constituant indispensable de nos cellules et membranes cellulaires ; il est entre autres utilisé par notre organisme pour la fabrication de substances comme la vitamine D et il forme notamment l'essentiel de la bile. ; entre autres avantages :  avoir un cholestérol élevé est associé à une diminution du risque de FA (et donc d’AVC). L’abaisser avec des médicaments inutiles et toxiques comme les statines exposent en plus au risque de FA. Ce n’est pas une certitude, mais la probabilité est forte et, principe de précaution oblige, d’abord ne pas se nuire, surtout pas de statine !, précise le Dr Lorgeril dans son blog.

J'ai accompagné une patiente que je connaissais de très longue date et qui souffrait des conséquences d'un effarant taux de cholestérol ; elle avait dû, en urgence, bénéficier à ses 65 ans d'un pontage coronarien, alors qu'elle est pure végétalienne (pas de consommation d'oeufs ni de fromages...), ce qui est mieux encore que d'être végétarienne, puisque cela ne lui a permis en rien de prendre de la nourriture sensée responsable d'apporter du "mauvais" cholestérol à l'organisme et, ce, depuis son entrée dans la vie adulte (elle avait près de 70 ans lors de sa première venue en consultation de psychothérapie) ; en fait, son problème cardiaque étai survenu après une séparation amoureuse très douloureuse.

On voit donc bien que, si un programme psychobiologique lié au cholestérol en "excès" a été actif, ce n'est pas un régime même draconien du genre "assiette anticancer" de feu David Servan-Schreiber, aux vertus tant exagérément vantées par lui, qui permettra d'y échapper ; certes, au mieux, on peut en déduire qu' un tel régime permettrait de jouer sur l'effet quantitatif, mais certes donc pas qualitatif, qui peut ou pourrait s'avérer alors utile pour limiter l'accumulation de cholestérol dans les artères et par voie de conséquence, réduire les risques somatiques ; mais rien encore de certain à ce propos.
Dès lors, il serait peut-être utile de comprendre pourquoi psychobiologiquement certains en fabriquent plus que d’autres ; découvrir sous quelles conditions entre autres, un cerf dominant contracte un infarctus et vous commencerez à comprendre pourquoi…

 

 

 

Cholestérol mensonges et propagande, livre de Michel de Lorgeril

 

« Le cholestérol est une molécule précieuse dans notre organisme, tellement précieuse que nous ne savons pas le détruire,

seulement le transformer, par exemple en hormones stéroïdiennes ou en vitamine D » . (Michel de Lorgeril)

 

Le Docteur Michel de Lorgeril montre que « Tous les traitements anticholestérol favorisent le cancer ».; « [...] la lutte contre le cholestérol est inefficace et dangereuse » ; commentaires des dernières données scientifiques.et solides preuves dans son  livre Cholestérol, mensonges et propagande

Extrait : Le 14 janvier 2007, Merck et Schering-Plough ont révélé les résultats d’une étude dans laquelle une statine très vendue, le Zocor, était associée à un autre médicament appelé Zetia. L’association s’est révélée très efficace pour faire baisser le cholestérol, bien plus que ne le fait une simple statine. Mais après deux années de ce traitement de cheval, aucun bénéfice n’a pu être démontré. Ce traitement aurait dû diminuer la plaque d’athérome chez 720 patients. Non seulement la plaque n’a pas diminué, mais elle a même augmenté par rapport aux patients qui prenaient la statine seule.
Un an plus tôt, Pfizer avait dû arrêter avant sa commercialisation un prometteur candidat-médicament, le torcetrapib. Motif : un nombre élevé de décès et d’accidents cardio-vasculaires chez les patients qui prenaient ce nouveau médicament (avec une statine), par rapport à ceux qui prenaient un placebo. Tous les patients qui participaient à cet essai portant sur 15 000 volontaires et baptisé « Illuminate » se sont vus ordonner de cesser immédiatement de prendre le torcetrapib. Sur le papier, pourtant l’hypothèse testée dans Illuminate était lumineuse : faire baisser le « mauvais » cholestérol avec la statine, augmenter le « bon » avec le torcetrapib.
Devant ces revers, la communauté médicale ouvre enfin les yeux : « Penser qu’en faisant baisser le cholestérol LDL vous allez améliorer la santé des gens, c’est vraiment simpliste, bien trop simpliste, » commente aujourd’hui le Dr Eric Topol (Scripps Science Institute, La Jolla, Californie).

Dans ce combat qui s’engage entre chercheurs indépendants d’un côté et industrie soutenu par les pouvoirs publics d’autre part, les enjeux sont énormes : les médicaments anticholestérol sont les plus prescrits au monde : 30 millions de patients en prennent, pour un chiffre d’affaires qui donne le tournis : 28 milliards de dollars en 2006. La moitié engrangée par Pfizer, avec son Lipitor. Si ces médicaments sont inefficaces, comme semble maintenant le montrer l’ensemble des données, faut-il seulement s’apitoyer sur un gigantesque gâchis financier, épongé par les cotisants des assurances-maladies de la planète ? Pas sûr. Les effets secondaires des statines concerneraient 15 % des patients, avec des symptômes qui vont des douleurs musculaires aux pertes de mémoire.
L’ex-astronaute Duane Graveline raconte qu’il « est tombé dans le trou noir de l’amnésie » les deux fois qu’on lui a prescrit du Lipitor. Du coup, il a écrit un livre et ouvert un site sur les effets secondaires des statines. Autre mauvaise nouvelle : une étude a trouvé un risque accru de cancers avec les statines.

 

En octobre 2006, Rodney A. Hayward, chercheur à l’université du Michigan, publie avec deux de ses collègues dans Annals of Internal Medicine une analyse de toutes les études ayant utilisé des doses « agressives » de statines pour faire baisser le cholestérol chez des patients à risque. Conclusion des auteurs : les preuves cliniques actuelles ne soutiennent pas l’idée selon laquelle un tel traitement chez les personnes à risque est bénéfique et sans danger.. Si les statines ne servent à rien en prévention primaire, comme le dit l’article du Lancet, si leur intérêt est douteux chez les patients les plus à risque, comme le suggèrent Rodney Hayward et Michel de Lorgeril, il y a de quoi s’inquiéter du côté du lobby du cholestérol.

 

D'un dogmatisme à l'autre

Il y a un parallélisme intéressant à faire entre, d'une part, le dogme scientifique qui, comme on a pu le constater plus haut, consiste à prétendre (fallacieusement) que l'abaissement du taux de cholestérol prémunit contre les risques d'infarctus et, d'autre part, celui qui prévaut dans le domaine de la prétendue protection qu'offriraient les vaccins contre les maladies infectieuses ; en effet, les prétendus effets bénéfiques de la vaccination (sans d'ailleurs aucune preuve scientifique à ce jour) reposent sur l'observation d'une réaction qui est la production d'anticorps tels qu'on en trouve à profusion dans les organismes atteints par les maladies infectieuses.. Cependant, la science médicale franchit alors et de nouveau, le pas trop loin (dogmatique) qui est de soutenir d'autorité que, "grâce" à cette réaction, l'organisme va ipso facto (comme par enchantement) être protégé de la maladie que ce virus était censé produire, si la personne l'avait "chopé" dans l'environnement ; cette dernière (fausse) assertion repose aussi et encore sur un autre dogme : en effet, le Pr Antoine Béchamp, entre autres, a démontré qu'en fait, tout organisme produit à profusion des virus et des bactéries et qu'il est donc dogmatique de prétendre que les microbes sont des méchants envahisseurs (venus de l'extérieur)  ; d'ailleurs, la plupart du temps, la présence de ces myriades de microbes n'affecte en rien l'organisme  (détails)..

 

"La science [dans sa partie matérialiste et rationaliste] est la plus récente,

la plus agressive et la plus dogmatique des institutions religieuses."

Paul Feyerabend, Pr de Philosophie des sciences à Berkeley

Dans de telles conditions,, pourquoi de tels dogmes infestent-ils la science notamment médicale ?

Voici l’avis très autorisé et malheureusement toujours d’actualité du Dr John Eccles (1903-1997), prix Nobel de physiologie et de médecine en 1963 pour la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de l’influx nerveux (synapse) :
"Ils [la majorité des scientifiques] ont été formés à l'école du matérialisme. C'est un moule extrêmement rigide composé d'un ensemble de dogmes qui ne sont pas forcément expliqués scientifiquement ! Par exemple, affirmer que notre existence n'est qu'un assemblage biologique sans essayer de comprendre tout ce qui n'entre pas dans ce cadre - sous prétexte que ce n'est pas "scientifique" - est un dogme, pis, une superstition ! La science est pleine de superstitions, de croyances de toutes sortes... Le plus navrant, c'est que le public est persuadé que la science a réponse à tout."

(Revue française Psychologies n° 100, juillet-août 1992, pp. 54-55)
 

 

« Chaque jour, plus de 500 personnes en France meurent d'un accident cardiovasculaire. Mais que l’on ait un coeur et des vaisseaux en bonne santé ou pas, on peut se prémunir de l’infarctus par de simples changements de mode de vie. Dans de nombreux cas, le régime alimentaire est plus puissant que les médicaments. » (Thierry Souccar, La vérité sur le cholestérol, p. 1, SNI éditions).
 

 

Accélération du vieillissement

 

Pierre Boutron, chercheur au CNRS et auteur du livre Arrêtons de vieillir explique les bénéfices de la coenzyme Q10 pour lutter contre le vieillissement (voir la vidéo)

 

Or, Les médicaments qui font baisser le taux de cholestérol bloquent la synthèse de coenzyme Q10  [et donc accélèrent le vieillissement]
Le cholestérol et la coenzyme Q10 sont tous les deux produits naturellement dans le foie et partagent les même processus biochimiques. Par conséquent, en réduisant la synthèse du cholestérol (HMG-CoA inhibition de la réductase) on bloque aussi la production de coenzyme Q10.
Lors d’une étude en double aveugle, contrôlée par placebo 1 et mesurant l’effet de deux médicaments (pravastatine et simvastatine) sur la réduction de la coenzyme Q10 , des chercheurs italiens ont observé que ces médicaments faisaient baisser le taux de cholestérol total et de coenzyme Q10 chez des volontaires normaux et des patients atteints d’hypercholestérolémie.
[…]
La coenzyme Q10 est indispensable pour produire de l’énergie et elle a également des propriétés antioxydantes. Une diminution de la disponibilité de la coenzyme Q10 peut entraîner une altération de la membrane avec des dommages conséquents pour la cellule.
Une étude similaire² réalisée par autre un groupe de chercheurs italiens, a également montré que la baisse du taux de cholestérol avec les statines réduisait les niveaux de la coenzyme Q10. Cependant, cette étude a montré qu’en administrant un complément de coenzyme Q10 avec les médicaments, on pouvait, non seulement prévenir la baisse mais également induire une augmentation des niveaux de coenzyme Q10.
Par ailleurs, selon une étude effectuée sur un panel de 650 patients sous statines, 87% des patients ont consulté leur médecin suite à des effets secondaires, tels que des douleurs musculaires (Golomb 2007).
De plus, une étude contre placebo sur 32 patients a démontré que lorsque les patients étaient supplémentés en coenzyme Q10 (100 mg / jour) en même temps que la prise de statines, il y avait une diminution de l’ordre de 40% des douleurs musculaires (caso 2007)
. (Source)
 

 

Manipulations de Big Pharma

 

Donc, le mieux serait alors de "limiter les dégâts" (futurs) en privilégiant une hygiène de vie complète qui permettra de faire en sorte que de réduire la présence de cholestérol et de triglycérides qui s'ajoute aux plaques de d'athéromes, sachant qu'ils ne constituent en fait que 10% de leur composition ! Les plaques d'athéromes contiennent des cellules musculaires lisses, du calcium, des tissus conjonctifs, des globules blancs, du cholestérol (rappel : seulement 10%) et des acides gras.

 

"Il n'y a aucun lien entre le niveau de cholestérol sanguin et le taux de la mortalité causée par infarctus.

Bien sûr, les médias ont été très discrets quant aux résultats qui ont découlé de cette étude

et, par conséquent, peu de gens ont pu en prendre connaissance." (Source)

En effet, le cholestérol ne constitue en fait que 10% de la plaque d'athérome qui a terme peut obstruer
complètement les artères, provoquant alors une crise cardiaque....
 

Signe inflammatoires, la prolifération des plaques peut se produire, non pas parce qu'il existe une élévation simple dans le sang du taux de cholestérol, mais en raison de mauvaises conditions physiologiques qui endommagent ou affaiblissent la structure de la paroi artérielle. Ces plaques vont conduire à rétrécir le diamètre des artères : lorsque le sujet sera en phase de réparation suite à une situation (symbolique ou réelle) analogue à celle du cerf (après creusement des artères pour laissez passer plus de sang vu l'effort à fournir - voir plus haut), l'apport massif du cholestérol pourrait alors conduire à l'obstruer les artères qu'il tente de réparer tout aussi rapidement que logiquement. En revanche, la prise de médicaments pour faire diminuer le cholestérol n'est pas efficace par rapport au risque d'atteintes cardiaques, contrairement à une idée trop répandue : ce type de médicaments est même nuisible pour la santé et accélère le vieillissement (détails).

 

Voici les facteurs qui engendrent les plaques d'athéromes sont aujourd'hui identifiés :

1. Une déficience en certains nutriments essentiels (1)
2. Un mauvais contrôle de la glycémie (2)
3. La fumée de la cigarette (3)
4. L'homocystéine (4)
5. Le stress psychologique (5) [Cf. ce qui peut arriver au cerf vieillissant après la bataille perdue - voir plus haut]
6. L'épuisement de l'oxyde nitrique (6)
7. Un niveau de fer sanguin élevé (7)
8. Des infections microbiennes chroniques (8)
9. Les acides gras-trans (9)
10. Une consommation excessive d'hydrates de carbone raffinés (10)
11. Un déséquilibre du rapport oméga-3/oméga-6 (11)
 

Source : Ceriello A. et al. - 1998. Antioxidant defenses are reduced during oral glucose tolerance test in normal non-insulin-dependent subjects. European Journal of Clinical Investigation. 28,  pp. 329-333. (Pour lire ce à quoi se rapportent les renvois des chiffres mis entre parenthèses).

 

 « Il y a plus faux que le faux, c’est le mélange du vrai et du faux. » Paul Valéry

 

 

Courbe établie par le scientifique américain Ancel Keys

à qui on avait confié cette enquête sur le cholestérol en 1960 :

elle "montre" une corrélation entre taux de cholestérol et décès par maladies cardiaques,

mais comme on le comprendra ensuite, 60 ans de mensonge,

car un vrai mélange de vrai et de faux !

 

 

Ancel Keys ne méritait pas le qualificatif de scientifique. En effet, "Ancel Keys a ignoré certains pays car les données ne sont pas applicables à certaines populations. Les Massaïs en Afrique, les Eskimos, les Suisses ou encore les Français qui consomment beaucoup de graisses ne sont pas plus affectés par les maladies cardio-vasculaires. En fait Ancel Keys a choisi les pays qui suivaient sa théorie et lorsque l'on prend les données complètes des 22 pays qu'il a étudiés la corrélation est beaucoup moins évidente. (voir graphique ci-dessous)" :

 

"Lorsque l'on prend les données pour les 22 pays analysés la corrélation est moins évidente,

notamment pour les pays dans le cercle rouge" (Source et détails)

De plus, comme on le verra ici, corrélation n'est pas assimilable à un lien de cause à effet.

 

 

Cas exemplatif d'une végétalienne qui dénonce par lui-même le mauvais procès fait à l'apport de cholestérol via l'alimentation...

 

A la faveur de cet exemple vécu en patientèle, il faut éviter l'intégrisme mythique du "tout-à-l'alimentation" (hygiène physique) : j'insiste beaucoup sur ce site sur la prise en charge de l'aspect psychique : une personne âgée de 65 ans m'a fait part au début de la première séance de ce qu'elle avait dû en toute urgence bénéficier d'un pontage coronarien ; on lui avait diagnostiqué un taux important de cholestérol ; elle a été d'autant plus étonnée qu'elle était végétalienne (°)  depuis ses 18 ans  !

 

Pour  expliquer pour quelles raisons depuis quelques décennies, votre médecin, les pubs à la télévision, les pharmacies...  focalisent régulièrement sur le taux de cholestérol, il faut savoir que Big Pharma  était préalablement arrivée à convaincre les pouvoirs publics et les acteurs de la santé conventionnelle, de l'importance de "traiter" le taux de cholestérol, en ayant pris soin de faire fallacieusement baisser par paliers le taux admis de cholestérol dans le sang (Source - VIDEO : extrait n°1  - extrait n°2).

 

Dans ses entreprises aussi inavouables que juteuses, Big Pharma ne s'était certes pas limitée à manipuler de taux de cholestérol prétendument admissible, business is business ! : "Au cours de ces quinze dernières années, les seuils retenus comme normaux pour la pression artérielle, la glycémie (le taux de sucre dans le sang) ou encore le cholestérol (taux de graisse) n’ont cessé de baisser. Du coup, le nombre d’hypertendus, de diabétiques et de patients traités pour une hypercholestérolémie a mécaniquement augmenté. [...] Au nom de la prévention, il faudrait alors se surveiller et, au besoin, prendre des médicaments afin d’éviter de se retrouver, plus tard, dans la zone rouge. Le Dr Boukris explique à quel point ce discours, encouragé par les laboratoires pharmaceutiques, fait mouche chez nos contemporains. Dans l’esprit de nombreux patients, « un chiffre imprimé en gras sur la feuille d’examens biologiques impose une prescription », écrit le généraliste. « Docteur, vous ne me donnez rien pour le cholestérol ? J’ai peur pour mes artères. » "

(Source Le Vif L'express).

 

 

 

experts

"On ne doit pas trop s'inquiéter des aliments riches en cholestérol "

 

"Un comité d'experts aux États-Unis ne fixe plus de limite au cholestérol que l'on peut selon eux absorber sans risque pour la santé en consommant des aliments qui en sont riches, comme les oeufs ou le beurre".
Il n'est jamais trop tard pour bien faire : c'est heureux que les grands médias diffusent cette nouvelle, mais... qui date déjà !

 

"Dans ses dernières recommandations soumises jeudi aux autorités sanitaires fédérales en vue du nouveau guide diététique de 2015 et qui doivent encore être finalisées, ces experts font valoir que les recherches scientifiques existantes "ne montrent pas de corrélation mesurable entre la consommation de cholestérol et le taux de cette substance dans le sang". De ce fait, ils concluent que "le cholestérol n'est pas un nutriment dont on doit s'inquiéter si on en consomme trop".

Le guide diététique officiel américain actuel limite à 300 milligrammes par jour la quantité de cholestérol pouvant être absorbé sans risque pour la santé, ce qui correspond à un steak de 300 grammes ou à deux oeufs.

Nombre de cardiologues estiment encore que manger trop d'aliments riches en cholestérol pourrait accroître le risque de maladies cardiovasculaires en contribuant à l'athérosclérose, la formation de plaques à l'intérieur des artères.

Les nouvelles recommandations proposées par les experts américains continuent toutefois à bannir les graisses saturées, dont la consommation dans la population américaine excède selon eux la limite souhaitable. Ainsi, ils préconisent que "la consommation de ces graisses ne dépasse pas 8% du total des 2.000 calories absorbées en moyenne quotidiennement", contre 10% recommandés par le guide diététique actuel qui remonte à 2010. "La surconsommation de graisses saturées est un sujet d'inquiétude surtout chez les plus de 50 ans", souligne le rapport. Ces graisses saturées se trouvent principalement dans les viandes grasses, les produits laitiers, la noix de coco, l'huile de palme et les pâtisseries. Ces recommandations soulignent surtout l'importance de consommer davantage de légumes et de fruits pour la santé. "Un régime riche en légumes, fruits, céréales entières, fruits à coque et graines, et pauvre en calories provenant de viande, est plus sain et à un moindre impact environnemental que le régime alimentaire actuel aux États-Unis", écrivent les auteurs de ce rapport".(Source : Le Vif du 20 février 2015)
 

Retour à l'article "Pour le Dr Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur de réputation internationale (CNRS), « la lutte contre le cholestérol est inefficace et dangereuse »"

 

 

 

En savoir plus à propos des causes psychobiologiques des crises cardiaques : LE CERF ET L'INFARCTUS.

 

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* "L'Orthorexie", une nouvelle maladie ?

 

Comme on le le constatera ici encore, l'industrie de la maladie a encore frappé !  Si on en croit cet article et ce qu'on peut lire sur ce sujet sur le Net, l'orthorexie est un trouble alimentaire d'origine psychique de type névrotique : "Voila maintenant qu'on a trouvé une maladie aux personnes qui ne veulent absolument plus d'alimentation industrielle trafiquée, qui veulent manger Bio, qui refusent le chimique, l'industriel, les dégâts à la nature.... etc. ! Aberrant, commente avec beaucoup de bon sens un lecteur.

 

 

A quand le médicament pour traiter cette nouvelle pathologie ? Et que fait donc la police ?!
 

Plus sérieusement, il faudrait s’interroger sur les motivations de ceux qui ont inventé cette prétendue pathologie et se poser les questions de leur adhésion masquée aux lobbies agroalimentaires non bios, voire à l’industrie pharmaceutique !

 

« Choisir de manger de la nourriture saine est maintenant considéré comme un trouble psychique »

 

Extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent qui donne une série de faits qui expliquent le détournement attendu des gens de la médecine allopathique (trop asservie aux lobbies pharmaco-industriels) et qui pointe cette nouvelle dérive médicale qu'est la prétendue orthorexie : :

« Orthorexie nerveuse » : la réalité dépasse la fiction.
[…] « l’industrie psychiatrique vient de rendre publique la maladie la plus ridicule qu’elle ait jamais inventée : le désordre alimentaire de manger sainement. Ce n’est pas une blague. Si vous vous appliquez à manger de la nourriture saine, vous êtes "mentalement malade" et vous avez très probablement besoin d’une sorte de traitement chimique composé de drogues psychotropiques puissantes » […] « "la volonté persistante de vouloir manger sainement peut être le signe d’un désordre psychologique sérieux" [...] « cette "maladie" s’appelle une orthorexie nerveuse » […]) « Choisir de manger de la nourriture saine est maintenant considéré comme un trouble psychique » (« Healthy food obsession sparks rise in new eating disorde », extraits de article écrit par Mike Adams dans The Observer (16/08/2009) (texte traduit)

Lire aussi " Le façonnage des maladies  :'Maladies inventées, juteux marché' "
 

 

 

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* Première chose à faire en cas de crise cardiaque 

    (format WORD pour la diffusion ou l'impression)

 

 

 

Merci à Jean-Marc Dupuis de m'avoir transmis ces précieux conseils donnés par son ami le Docteur Michel de Lorgeril (célèbre cardiologue et chercheur au CNRS). Il a notamment écrit un retentissant livre Cholestérol, mensonge et propagande.

 

Scénario d'une crise cardiaque

 

La crise cardiaque commence par un malaise, généralement dans la poitrine.

La personne éprouve soudain une forte douleur. Dans la moitié des cas, elle décède moins d'une heure après, sans que de quelconques secours (famille, pompiers, SAMU), aient pu intervenir. Le risque de mourir immédiatement est donc de 50 %, mais il peut monter à 80 % chez les personnes fragilisées par un mode de vie déraisonnable : mauvaise alimentation, vie déréglée, tabagisme, manque d'exercice physique.

Quand le malaise est dans la poitrine, dans 95 % des cas, c'est le cœur. Mais il y a des équivalents de ces crises qui concernent d'autres organes. La plus fréquente est l'attaque cérébrale, ou AVC, pour « Accident Vasculaire Cérébral ». La différence est qu'il n'y a pas d'arrêt cérébral comme il y a des arrêts cardiaques. Le risque de décès est donc moins grand. Par contre, le risque de rester handicapé quand on survit, et en particulier d'être paralysé, est plus élevé.

Si la personne frappée par la crise cardiaque ne meurt pas immédiatement, voici le scénario habituel, dans un pays comme la France :
 

Comment déboucher une artère en urgence ?

On dispose de deux techniques :
 

Dans les deux cas, il faut compléter le débouchage par des traitements. Mais on ne travaille plus dans la même urgence, puisqu'un minimum d'oxygène arrive désormais au tissu menacé, pour assurer la survie des cellules.

Si les conditions techniques sont réunies – un cardiologue présent aux urgences avec un plateau technique à sa disposition – la deuxième option, avec le fil mécanique, est probablement la plus efficace. L'autre technique (dissolution du bouchon) peut néanmoins rendre de grands services quand on est éloigné de l'hôpital.

 

Le cas de l'Accident Vasculaire Cérébral (AVC)

Dans le cas d'une attaque cérébrale (AVC), c'est plus compliqué.

En effet, seuls 20 % des AVC sont provoqués par l'occlusion d'une artère irriguant le cerveau. Si c'est le cas, on agit comme dans l'infarctus : on débouche le plus vite possible avec des médicaments par intraveineuse pour dissoudre le bouchon, ou par cathéter. Très souvent cependant, l'AVC est en fait causé par une hémorragie cérébrale (40 % des cas) : une artère s'est rompue dans le cerveau et le sang s'écoule...

Une fois déclenché, l'AVC hémorragique est très difficile à traiter. On ne peut que se cantonner à l'arrêt de toute médication anticoagulante et au traitement de l'hypertension artérielle. L'approche préventive est donc cruciale !

 

L'envers du décor

Le traitement de l'infarctus a énormément progressé. Tous les jours, dans le plus modeste hôpital comme dans les plus prestigieux centres universitaires, des cardiologues accomplissent des prouesses. La mortalité cardiovasculaire a donc diminué significativement.

Il y a malheureusement un envers de ce beau décor dont il faut aussi parler.

Si la mortalité diminue, la fréquence des maladies cardiovasculaires augmente : le nombre d'hospitalisations pour infarctus, le nombre d'échocardiographies, de coronarographies, le nombre d'angioplasties, de pontages augmentent.

Cela ne tient pas au vieillissement de la population car le phénomène est observé dans chaque tranche d'âge. Les femmes d'âge moyen, en particulier, sont de plus en plus touchées, alors qu'elles étaient autrefois relativement préservées. Jamais autant de femmes n'ont été traitées avec des médicaments anticholestérol, et jamais il n'y a eu autant de crises cardiaques et d'AVC chez les femmes, y compris les jeunes...

On observe aussi une très inquiétante évolution des AVC hémorragiques : cette tendance est probablement en relation – au moins en partie – avec la prescription massive de médicaments anticaillot et de médicaments anticholestérol aux personnes considérées comme menacée par l'infarctus.

La surmédicalisation est donc responsable d'une dangereuse évolution.

De même, si vous espérez améliorer votre espérance de vie en prenant un médicament contre le cholestérol, un autre contre l'hypertension, un autre contre le diabète, en débouchant vos artères avec des stents, vous vous trompez.

Ces traitements ne sont pas efficaces pour prévenir les problèmes cardiovasculaires.

 

Obtenir une réduction MASSIVE des risques de façon naturelle

Cependant, il existe un moyen de réduire considérablement votre risque : adopter une nutrition et un mode de vie protecteur.

Cette nutrition et ce mode de vie sont fondés sur les centaines d'études scientifiques dont de nombreuses que j'ai personnellement conduites avec mes équipes. Nos résultats ont été publiés dans les plus grandes revues scientifiques médicales.

Plus vous vous rapprocherez de cette nutrition et de ce mode de vie, plus les bénéfices en terme de santé seront importants. Et pas seulement en termes de santé cardiovasculaire ! Vous ferez moins d'infarctus, et aussi moins d'AVC, mais aussi moins de cancers, moins de démences, moins de maladies inflammatoires, vous prendrez moins de poids, vous aurez moins de cholestérol et de pression artérielle, et enfin un meilleur moral et plus d'énergie.

Il n'y a pas de miracle en médecine parce qu'en prenant de l'âge, tout se dérègle et s'abîme. A long terme, le risque zéro n'existe donc pas. Ce que je propose ici, ce n'est évidemment pas une assurance sur la vie pour plus d'un siècle ; c'est seulement — mais c'est déjà beaucoup — une réduction massive des risques.

Dans la Lyon Heart Study (Etude de Lyon), que j'ai dirigée dans les années 90, nous avons obtenu une diminution de 70 % du risque, grâce à la diète méditerranéenne. On a parlé de miracle dans les médias. Mais aujourd'hui, nous savons qu'il est possible de faire beaucoup mieux et cela pour deux raisons principales :
 

Vous devez pour cela modifier votre terrain pathologique : modifier l'air que vous respirez, améliorer vos habitudes alimentaires, réapprendre à utiliser vos muscles et à entraîner votre cœur et vos artères, et enfin reconsidérer le sens de votre vie : où voulez-vous aller ?

 

La qualité de l'air

Quand on parle de l'air que l'on respire, il ne s'agit pas seulement d'arrêter de fumer. C'est aussi avertir chaque personne de la possibilité qu'il respire un air nocif pour sa santé ; et l'aider à user de son droit à respirer un air propre. Nous avons suffisamment de données scientifiques concernant la toxicité cardiovasculaire de la pollution atmosphérique sous des formes variées : gaz des voitures, pollution due au chauffage urbain, aux industries et autres – pour encourager nos patients fragiles (et aussi tous ceux qui sont encore en bonne santé) à s'en protéger.

Si vous habitez un joli appartement donnant sur une voie très fréquentée d'une grande ville polluée, posez-vous la question de savoir s'il ne vaut pas mieux vous installer ailleurs, pour respirer le grand air du large ou des montagnes.

 

L'exercice physique

Ce qu'il est important de faire aussi, c'est réapprendre à utiliser ses muscles et à entraîner son cœur et ses artères. Il faut le faire prudemment évidemment, en tenant compte de son âge et de l'état de ses artères. Mais il faut le faire. Sans attendre de miracle, bien sûr, car comme pour les habitudes alimentaires et l'air qu'on respire, c'est la totalité du mode de vie qui est importante.

 

Les habitudes alimentaires

Nos habitudes alimentaires constituent le terrain sur lequel une complication cardiovasculaire peut se développer.

Notre organisme est fait des matériaux que nous lui apportons. Si nous construisons un édifice avec des matériaux fragiles, ou de mauvaise qualité, comment va-t-il résister à un tremblement de terre, une inondation, ou même au temps qui passe ?

Changer ses habitudes alimentaires n'est pas facile et il est important d'avoir une référence. Parmi les références, il y a peu de choix : si on a une culture de type asiatique, la référence doit être le modèle japonais avec une préférence pour le modèle Okinawa.

Si on n'a pas une sensibilité asiatique, on risque de commettre des erreurs et de ne pas profiter au maximum des bienfaits de ce modèle alimentaire. C'est pour cette raison que notre préférence va au modèle nutritionnel méditerranéen : c'est une cuisine riche en céréales (pain, coucous, pâtes...) mais aussi en fruits et légumes, en haricots, en produits laitiers fermentés, et en huile d'olive. Le vin fait également partie de l'alimentation des Méditerranéens et ils le consomment généralement pendant le repas.

Cette diète méditerranéenne contient beaucoup de polyphénols et d'acides gras oméga-3. C'est LE modèle à suivre pour se protéger de nombreuses pathologies et pour s'assurer la meilleure espérance de vie.
 

Docteur Michel de Lorgeril
 

En savoir plus à propos des causes psychobiologiques des crises cardiaques : LE CERF ET L'INFARCTUS.

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antibacterien

*  "Pour votre santé, évitez les savons antibactériens"
 

Chez Maya

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous sommes tous régulièrement manipulés par des publicités qui vantent tel ou tel produit désinfectant, savon etc.

De tels produits se retrouvent ainsi à profusion dans les supermarchés. Désinformés, la plupart d'entre nous croient bien faire en consacrant un budget pour de tels produits, mais que déconseille Stéphane Gayet, médecin infectiologue-hygiéniste à Strasbourg, guidé par l'exercice de sa profession (interrogé par Atlantico.fr) sans oublier l'avis autorisé de la FDA (Food and Drug Administration).

 

"Souvent utilisés, les gels et savons antibactériens seraient en fait nocifs pour la santé. En cause, Le Triclosan, un antibactérien qui, à une certaine dose, favoriserait le développement de bactéries comme le staphylocoque. Un conseil : pour se laver les mains, il vaut mieux s'en remettre au savon classique.

 

"Une étude a montré que 64% des personnes qui utilisent souvent des produits antibactériens présentaient des niveaux de Triclosan élevés dans leur sécrétions nasales. Les savons antibactériens présentent-ils davantage de risques de contenir du Triclosan que les savons classiques ?"

Le docteur Gayet conseille le recours à des savons doux : "Une bonne hygiène corporelle ne consiste pas à chercher à éliminer les bactéries ; ce qu'il faut c'est éliminer les secrétions, la sueur et les squames, c'est-à-dire les cellules mortes".

Question qui lui a été posée : "A long terme, l'utilisation des savons antibactériens demeure-t-elle efficace ?"

Sa réponse : "Non, on sait que l’utilisation très large et surtout mal faite, avec des taux de concentration insuffisante fait que les bactéries deviennent résistantes à ces produits. On trouble une faible concentration dans les cosmétiques, cela favorise l’émergence de souches qui ont tendance à se généraliser et à se développer ; Lorsqu’il y a des concentrations plus importantes, cela ralentit l’apparition de bactéries, mais tôt ou tard, elles seront là et résistantes. La forte dose retardera cependant cette apparition."

On sait déjà scientifiquement que tuer inconsidérément des microbes créent une niche pour d'autres plus résistants (détails).

 

 La FDA (Food and Drug Administration, USA), la toute-puissante agence américaine du médicament, stigmatise aussi ce type de savons : "Les gels antibactériens peuvent donner aux utilisateurs un faux sentiment de protection. La Food and Drug Administration (FDA) les soupçonne également de provoquer des résistances bactériennes et d’être des perturbateurs endocriniens. Elle vient donc d’imposer aux fabricants de démontrer leur efficacité et leur absence d’effets nocifs" (Détails).

                                                                                                       
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arret

*  Arrêt cardiaque : comment agir efficacement ?
 

 

La Ligue Cardiologique Belge veut attirer l'attention de la population sur un constat: 1 Belge sur 2 [et sans doute aussi dans les autres pays] n'oserait pas agir s'il était témoin d'un arrêt cardio-respiratoire. En Belgique, 100.000 personnes par an sont victimes d'un arrêt cardio-respiratoire en rue, au travail, dans des lieux publics ou à la maison. Autant de lieux où n'importe qui peut être amené à secourir une personne via un appel au 112, un massage cardiaque ou l'utilisation d'un défibrillateur. Mais 47% des gens ne se sentent pas capables d'intervenir en cas d'arrêt cardiaque, et un quart de la population ne se sentirait pas à l'aise de se servir d'un "défibrillateur externe automatique". Voilà pourquoi la LCB veut sensibiliser, encourager les belges à oser réagir dans de telles situations d'urgence. On estime en effet que chaque minute qui passe après un arrêt cardiaque, fait perdre environ 10 % de chances de survie"


Plus que de 15 %

Après 5 minutes sans manœuvres de réanimation, les chances de survie ne sont ainsi plus que de l'ordre de 50 %. Après 10 minutes, soit la moyenne du temps nécessaire à la plupart des services d'urgence pour débuter la réanimation du patient, elles ne sont plus que de 15 %.

"Oser-sauver.be"

La Ligue Cardiologique Belge a créé un site "osez-sauver.be", un site pour mettre à l'honneur ceux qu'elle appelle les Chevaliers du Cœur. Des duos "sauveurs-sauvés". Des gens qui ont osé intervenir lors d'une situation d'urgence, d'un malaise et qui pourront témoigner pour sensibiliser.

"Nous n'enseignons pas assez les gestes qui sauvent"

"Cette statistique ne m'étonne pas. Il y a 2 facteurs: un facteur humain qui est la peur d'agir vis-à-vis de quelqu'un qui est en train de mourir et un facteur de connaissance car nous n'enseignons pas assez les gestes qui sauvent dans l'enseignement secondaire, à nos jeunes. Cela occasionne une perte de chances lors d'un arrêt cardio-respiratoire. Le fait d'être réanimé efficacement en attendant et avant l'arrivée du SMUR lui majore extrêmement ses chances de survie", a expliqué le Pr Alain Friart, chef de l'unité de cardiologie à l'hôpital Tivoli de La Louvière au micro de Gaëtan Sgualdino pour Bel RTL.

Les gestes qui sauvent

"La première chose est de vérifier qu'il y a bien un arrêt cardio-respiratoire. C'est-à-dire que le patient est inconscient. Il n'a aucun signe de vie et il ne bouge pas et surtout, il ne respire pas. Cela se voit car la cage thoracique ne bouge pas. Il n'y a pas de souffle d'air à la bouche. A ce moment-là, il faut dégager la tête et la relever vers l'arrière. Il faut vérifier qu'il n'y a pas d'obstruction au niveau de la bouche (un vêtement ou de la terre si c'est à l'extérieur). Il faut commencer la réanimation par massage cardiaque", a précisé le spécialiste.

Le massage cardiaque

"Le massage se fait par 100 compressions à la minute. Donc un rythme rapide en se plaçant bien les épaules au-dessus de la victime et les 2 mains sur le sternum et en comprimant son sternum pour l'enfoncer de 5cm", a ajouté le Pr Alain Friart.
  (Source).
 

 

* Comment Reconnaître à temps les symptômes d'un AVC  (Accident Vasculaire Cérébral)

                                                                                                       
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virulent

*  Un vaccin peut permettre au virus ciblé de devenir plus virulent !
 

 

 

Des vaccins permettraient aux virus contre lesquels ils sont pourtant censés protéger, de survivre et d'évoluer pour devenir plus virulents ! Par dessus le marché, d'autres personnes que celles qui ont été vaccinées pourraient en être infectées. Les langues se délient progressivement : des complications, des maladies aux effets souvent irréversibles, voire des décès, suite à l'administration de vaccins interpellent le public qui, dès lors, commence à devenir très critique sur la vaccination... (Source : revue américaine PLOS Biology).

 

 « Les tests effectués avec le vaccin imparfait contre le virus de la maladie de Marek chez des poulets vaccinés et non-vaccinés, ont révélé que ces derniers sont morts en dix jours tandis que ceux avec le vaccin ont survécu mais en continuant à transmettre un virus plus dangereux aux autres volailles avec lesquelles ils étaient en contact", a déclaré l'un des principaux co-auteurs de ces travaux, le Pr Venugopal NAIR, directeur du programme des maladies virales aviaires à l'Institut Pirbright au Royaume-Uni  .
 

Dans l'étude en question on mentionne que cela peut arriver avec un "vaccin imparfait". Qu'est-ce qu'un vaccin imparfait sachant qu'il n'existe aucune preuve scientifique de son utilité, suivant la conclusion d'une Commission sur la santé à propos des vaccins (Sénat français juin 2007) : 

« Le député [Dr Jean-Michel DUBENARD chirurgien réputé et membre du collège de la "Haute Autorité de Santé" [(depuis 2008)] qui présidait une table ronde sur la vaccination en France, le 6 juin dernier [2007] au Sénat, estime "qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins" »,.

Ce seul constat aurait dû alors faire adopter une attitude plus cohérente, mais on est loin du compte !
Dans un riche dossier de la revue Nexus (septembre-octobre 2009) et qui reprenait sous le titre Pas de preuve scientifique, cette constatation, on ajoute : « mais personne ne semble l'avoir entendu ». […] « D’ailleurs, le député n’a pas été démenti par ses interlocuteurs présents lors de cette réunion qui comptait les plus grands experts dans ce domaine. » [...] « En tout cas, s’il n’existe pas de « preuve scientifique sur l’utilité des vaccins », il est urgent de revoir le « contrat social » autour de notre politique de vaccination... Et encore plus à propos de l’obligation vaccinale.» (Lire cette pertinente analyse faite par AGORAVOX qui en reprend l'info).
 

En fait, comme l’observait feu le Pr Jacqueline BOUSQUET, « Les ‘épidémies’ ne frappent que des gens ou des animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention médicale. D’autant mieux, d’ailleurs, qu’il n’y a pas d’intervention médicale. Les autorités, conseillées par des ‘experts’ (ces savants de l’ignorance selon la revue Marianne) continuent à nous imposer les vaccinations — acte anti-scientifique s’il en est — faisant preuve de l’inculture et de l’irresponsabilité du corps médical qui, depuis Pasteur, répète sans jamais les remettre en question des dogmes éculés, depuis longtemps rejetés par nos voisins européens par le danger qu’ils représentent ! ».

 

En savoir plus sur la grippe et sa vaccination.
 

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indesirable

 

  * Plus de cinq morts évitables par jour dans les hôpitaux belges
 

 

"La santé financière des hôpitaux nous concerne tous. De leur pérennité dépend en grande partie la bonne santé de la population belge", lit-on dans un article du Vif (septembre 2015) et qui s'intitule "Le secteur des soins de santé se range derrière Maggie De Block et son plan de réforme". Ce qu'on omet c'est que ce n'est pas la mauvaise gestion financière qui entraîne journellement plus de quatre (!)  décès dans les hôpitaux belges, mais des "événements indésirables" comme le stigmatisait déjà un article du Soir (janvier 2009).
 

Malheureusement, cette réforme est presqu'exclusivement à visée financière. Il est plus que regrettable que le secteur des soins de santé se focalise sur cet aspect strictement matériel. Peu de gens savent que des "événements indésirables" survenant dans les hôpitaux sont la cause de 1500 décès par an (rien que pour la Belgique) et que c'est plus du quintuple des accidents mortels sur la route (300 tués sur place chaque année sur les routes belge). Cela fait tout de même en moyenne 4 morts par jour ! Ce que la ministre fédérale de la santé  devrait comprendre c’est que, puisqu’il existe un IBSR (Institut Belge pour la Sécurité Routière), pourquoi donc ne pas créer une sorte de ISBM (Institut Belge pour la Sécurité Médicale), étant donné donc une  mortalité de cinq  fois plus importante causée par la médecine hospitalière (1500 par an) que sur les routes ? En bonne logique, cet organisme devrait être doté donc d’un budget cinq fois plus important que celui de l’ISBN.

 

Il faudrait enfin raisonner et contrôler efficacement et jusqu’au bout la gent médicale : cette dernière, surprotégée, bénéficie, primo, de l’effet « blouse blanche » qui la place sur un artificiel et injustifié piédestal et, secundo, d’une puissante omerta par rapport aux dérives qu’elle génère constamment (sans compter les suites irréversibles d’actes médicaux erronés et les effets mortifères de certaines médicaments prescrits).

 

Prendriez-vous encore l’avion (en Belgique) sachant qu’il causerait, cinq  morts par jour et  rien qu’en Belgique (sans compter les autres pays où la situation est au mieux comparable) ?

 

Voici un extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent (p. 46 & 47) qui en détaille les incontestables faits mais encore trop occultés  :

 

« La Mort par la médecine »

 Voici un alignement de conclusions de quelques études dignes de foi, à propos des effets mortifères de la médecine.

« Les médicaments tuent plus que les accidents de la route », constate la revue scientifique Science et Avenir [1] ; en Belgique, « les hôpitaux sont plus meurtriers que la route » [2], ce qui ne devrait pas être différent ailleurs dans le monde.

Outre-Atlantique, le réputé Journal of the American Medical Association avait établi que la troisième cause de mortalité aux États-Unis était « les médecins et la pharmacie » (effets mortels des traitements et médicaments), ce qui provoquerait « 250 000 morts par an » [3] ;

Le rapport américain La Mort par la médecine (2004) a rassemblé toute la littérature médicale des États-Unis dans une étude rigoureuse et détaillée : la médecine est devenue « la première cause de mortalité hospitalière aux USA » :

Patients souffrant d’effets secondaires des prescriptions de l’hôpital : 2,2 millions par an – Antibiotiques inutiles prescrits pour infections virales : 20 millions par an – Procédures médicales et chirurgicales inutiles : 7,5 millions par an – Hospitalisations inutiles : 8,9 millions par an – Morts causées par la médecine conventionnelle : 783 936 en 2003 [4].

C’est d’ailleurs ce qui avait dissuadé Jacqueline Starck [5] de se faire soigner pour son cancer du sein en milieu hospitalier, confrontée à l’échec cuisant de sa prise en charge médicale, aggravé par des mauvaises expériences au contact avec une cinquantaine de médecins (durant trente ans).


[1]  D’après la revue scientifique Sciences et Avenir de décembre 2006 dans un dossier de cinq pages ; elle relate qu’en France « le système de pharmacovigilance, chargé de détecter et prévenir les effets secondaires des traitements, n’en décèlerait que 5 % ».

[2]  « En Belgique, plus de 1 500 personnes décéderaient chaque année suite à une hospitalisation » ; un « événement indésirable » survient « dans un cas sur dix », source Le Soir du 16 janvier 2009.

[3]  JAMA, n° 284 de juillet 2000 ; édité en anglais et en français.

[4]  Publié dans Life Extension Magazine, établi par les Drs Gary Null, Carolyn Dean, Martin Feldman, Debora Rasio et Dorothy Smith. Vu la ressemblance des systèmes ­de santé en Europe, les chiffres des statistiques qui lui seraient propres ne devraient pas fortement différer.

[5]  S’adressant à sa fille : « [un thérapeute] ne comprend pas pourquoi tu insistes à vouloir me faire hospitaliser. Moi non plus ! […] si je rentre là-dedans, je n’en sortirai pas vivante ! C’est ma mort que tu veux ? » – Nathalie De Reuck, On a tué ma mère ! Face aux charlatans de la santé, Éd. Buchet-Chastel, 2010, p. 140.

 

Derrière cet effrayant état de fait, se trouve une triste et effarante réalité, comme on le lira ci-après : « Notre système de santé s’avère de moins en moins efficace », mais avec un coût exorbitant qui trahit un objectif prioritaire inavouable mais bien ancré, qui est celui du profit de ce qu'il convient d'appeler l'industrie de la maladie, comme on le lira ci-après !

 

Extrait du livre Quand les thérapeutes dérapent (pp. 43-46) :

 

« Système de soins de moins en moins efficace » 

 « Notre système de santé s’avère de moins en moins efficace, mais il coûte aussi de plus en plus cher », comme le constate le journaliste Ludovic Delory, dans son livre Silence les agneauxL’Etat décide pour vous [1].

Le Pr Raphaël Cannenpasse Riffard [2] écrit à ce sujet :

De nombreux chercheurs constatent la disproportion frappante entre le coût exorbitant et croissant qu'entraîne le système médical, sans que soit apportée une amélioration significative de la santé des populations [3].

 

  « Une véritable industrie de la maladie » 

 N’est-ce pas illusoire de proclamer que l’état de santé actuel est le meilleur qui ait régné au cours de l’histoire, lorsqu’un nombre toujours croissant d’individus doit avoir recours aux drogues et au médecin pour affronter les problèmes de la vie quotidienne ? (René Dubos) [4].

 Le Dr Carlyle Guerra de Macedo, qui a été le directeur du Bureau sanitaire panaméricain de 1983 à 1995 [5], l’exprime en d’autres termes, pointant les causes du gaspillage consécutif :

Dans le domaine de la santé, les ressources sont gaspillées, dévorées par un système de prestations dont l'objectif même est dénaturé, il est trop centralisé, trop sophistiqué, sans rapport avec les besoins des utilisateurs et essentiellement modelé par le choix des bailleurs de service, des producteurs d'équipement et d'autres "biens sanitaires". C'est ainsi qu'est née "une industrie de la maladie" qui absorbe la totalité des ressources disponibles et dont le pouvoir s'accroît avec son expansion. Cette industrie s'attache (pour plus de 90 % des ressources disponibles) à ce que la restauration de la santé s'effectue par des techniques les plus sophistiquées et les plus coûteuses possible, puisque c'est la maladie qui la fait vivre et non pas la santé  [6].

 

C’est le constat du Dr Thierry Janssen, qui souhaite le passage de l’industrie de la maladie à l’industrie de la santé :

Basé sur l’invention de nouveaux traitements et la production de nouveaux remèdes, notre système de santé est devenu une véritable industrie de la maladie soumise aux impératifs de la croissance. Plus il y a de maladies, plus cette industrie est florissante. Le paradoxe est de taille ; le conflit d’intérêts est manifeste ; l’incohérence est réelle. Or […], si la cohérence est un gage de réussite, l’incohérence finit par créer l’échec. Il serait judicieux de développer un vrai "système de santé" dont la prospérité ne dépendrait plus de la quantité de malades qu’il prend en charge, mais au contraire, du nombre de personnes qu’il maintient en bonne santé. Cette "industrie de la santé" se fonderait moins sur la production de remèdes que sur la mise en place de mesures permettant de prévenir la maladie  [7].

 

« Vivre en partie de la maladie des autres ».

La mauvaise santé des citoyens profite au bien-être économique de la société. Nous vivons en partie de la maladie des autres. Le système de santé est construit sur l'industrie pharmaceutique, sur l'industrie de la maladie et sur cette société pour qui l'important est de progresser, produire et consommer [8].

C’est aussi ce que suggèrent le titre et les propos de l’un des chapitres du livre du journaliste Ludovic Delory précité : « La santé est (aussi) une marchandise », ce qui s’inscrit dans une « logique purement budgétaire » [9]].


[1]  Paru en 2009, aux éditions Luc Pire, (renommées en 2010 La Renaissance du livre), collection Espace vital, Bruxelles, 2010, p. 170, même éditeur et même collection que le présent livre.

[2]  Il est professeur au CEHMN (Collège Européen d'Hygiène et de Médecine Naturelle) à Melun (France).

[3]  Biologie, Médecine et Physique Quantique, Éd. Marco Pietteur, 2002, p. 54.

[4]  Dr René Dubos, Mirage de la santé, Ed. Denoël, 1961, p. 21.

[5]  Pan American Health Organization (PAHO).

[6]  Article paru dans le n° 453 de Technique et Hospitalisation – Analyse qui vaut aussi pour l’Europe vu l’apparentement des systèmes de santé.

[7]  Thierry Janssen, La maladie a-t-elle un sens ? Enquête au delà des croyances, Éd. Fayard, 2008, pp. 281–282.

[8]  La quête de sens face à la maladie, diffusée le 22 février 2009 par Radio Canada, ().

[9]  Ludovic Delory, Silence les agneaux. L’Etat décide pour vous, Éd. Luc Pire,, 2010, p. 169 et p. 174.

 

 

evitable

            Les erreurs médicales équivalent à 10 à 25 crashs aériens chaque année en Belgique (Dr Jean Creplet)

"Entre 2.500 et 5.000 morts par an sont liées à des évènements indésirables*, soit l’équivalent de 10 à 25 crashs aériens chaque année en Belgique, constate le Dr Jean Creplet.
Pourquoi présenter les morts par erreur médicale en victimes de crashs aériens? Parce que dans l’aviation, la «culture de la fiabilité», fondée sur les facteurs humains, a diminué drastiquement le nombre d’accidents. La peur de signaler une anomalie, l’inaccessibilité des supérieurs, les craintes de sanctions ou de pénalités financières, le manque de clarté dans la communication et d’autres crispations relationnelles nuisent autant au traitement d’un malade fragile qu’au pilotage par gros temps."
(Suite)

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sein

belgique

    * "Cancer du sein : la Belgique est la plus touchée d'Europe"

 

C'est la presse belge de vendredi 23 janvier 2009 qui répercute cette information alarmante.

Elle devrait être une source de recherche supplémentaire pour tenter de l'expliquer et d'en tirer un enseignement utile, mais la grande presse est bien trop avide de sensationnalisme que pour se livrer à un début  d'investigation ! Une piste éclairante serait déjà de se poser la question pour laquelle ce sont dans les pays où l'on consomme le moins de produits laitiers qu'on a observé un taux très réduit de cancers du sein. Début de réponse : il faut savoir (tout de même) que le lait de vache n'est en fait destiné qu'à alimenter des veaux en pleine CROISSANCE, mais il n'est pas destiné à la consommation humaine. Il ne faut alors pas s'étonner que des études scientifiques montrent très pertinemment et très logiquement que ce qui est présent dans les produits laitiers favorise immanquablement le développement cellulaire et par voie de conséquence, celui de nombreux cancers (ceux qui font de la masse) et, donc notamment,  chez la femme les cancer sur sein (ceux qui font de la masse) et chez l'homme, le cancer de la prostate.  suedoise

Il serait intéressant de faire état de statistiques de consommation des produits laitiers par pays et de faire la comparaison par rapport aux pays où on en consomme moins. Ensuite, il serait approprié de faire le parallèle avec le nombre recensé de cancers (notamment) du sein ; je n'ai malheureusement encore rien trouvé de tel sur le Net jusqu'à la parution de cette étude suédoise (British Journal of Cancer du14 octobre 2014) :qui montre que les personnes consommant moins de produits laitiers avaient moins de risque de contracter un cancer du poumon (-45 %), du sein (-21 %) et des ovaires (-39 %)". De tels cancers font partie de ceux qui font de la masse (voir paragraphe précédent). SI des études analogues étaient faites pour d'autres cancers qui font de la masse comme celui de la prostate, on aboutirait à des conclusions analogues. Une source qui en parle avec des statistiques concordantes est le livre du Dr Raphaël Nogier : Ce lait qui menace les femmes (Ed. Du Rocher). (Explications complémentaires plus bas).
 stress

Toutefois, il ne faudrait pas se confiner à l'aspect matériel et en l'occurrence, l'alimentation : ce serait du révisionnisme scientifique que de faire encore l'impasse sur l'inévitable cause psychique SINE QUA NON  comme l'ont montré des scientifiques réputés et incontestés que sont le Dr Hans Selye (études incontestées sur l'impact du stress sur les maladies) et le Pr Henri Laborit, sans parler de la cohorte de scientifiques actuels et parmi il faut compter le prix Nobel Luc Montagnier, qui  reconnaît le rôle oxydatif (et donc se somatisant en maladies) du stress :

 

Prix Nobel de médecine 2008 pour sa codécouverte du VIH (SIDA),

le célèbre Pr Jean-Luc Montagnier, rejoignant une cohorte grandissante de scientifiques éclairés,

 en est « arrivé à la notion de "champ oxydant"» (1) concernant l''origine des cancers..

Dans « l’addition des phénomènes créateurs de stress oxydant », il inclut des « facteurs psychologiques »

et précise que « le système immunitaire lui-même est affaibli par les problèmes de stress psychologique » (2).
 (1) Luc Montagnier, Les Combats de la vie, Ed. Jean-Claude Lattès, Paris, 2008, pp. 190-191.
(2) Interview du Pr Montagnier, propos recueillis par Céline Andrillon pour la revue Bio-énergie n°27.
 

Le spectacle de la nature offre ici encore une indubitable source de connaissance : les bergers vous confirmeront tous que les brebis développent généralement des cancers aux mamelles lorsqu'on les sépare brutalement de leurs petits : c'est cette situation conflictuelle qui se somatise alors ainsi. Comment le comprendre ? Le cerveau, centrale de commande du corps, n’interprète concrètement donc les messages, le vécu existentiel ou les ordres du psychisme que par le truchement de la physiologie et donc par rapport au territoire (limites) du corps. Lorsqu'une brebis ne trouve plus ses petits (sevrage trop brutal), elle ressent quelque chose comme : « je ne peux plus nourrir les petits ». en charge de faire fonctionner les organes, le cerveau interprète cela comme s'il n'était plus capable (pouvoir) produire du lait et va ainsi générer des mamelles plus performantes, d'où leur gonflement. De telles brebis en guérissent spontanément et sans aucun traitement, lorsqu'après avoir vainement tenté de vainement retrouver leurs petits, elles en font alors le deuil. Je peux témoigner que beau nombre de femmes atteintes d’un cancer du sein ont pu aussi se guérir lorsqu’elles sont arrivées à faire le deuil ou à résoudre en profondeur la situation conflictuelle reliée à ce qui représentait pour elle l’objet, la personne ou la symbolique en lien avec cet organe. Dans le genre humain, c'est tâche bien plus difficile vu la perception et la mémoire du passé qui interfère directement sur le présent (et tous les stress et souffrances psychiques associées), ainsi qu'une vision de ce qui va advenir dans un futur même lointain. Quant aux animaux, ils vivent ici et maintenant et lorsqu'ils sont confrontés à une situation déjà vécue, c'est le reflexe pavlovien qui agit directement les détournant dans l'instant de la situation indésirable, par une mouvement de fuite ou d'attaque; ce n'est que lorsque cela s'avère impossible (cf. la découverte du Pr Laborit : "Inhibition de l'action") que cela entraîne alors des somatisations, comme pour ces brebis séparées trop brutalement de leurs petits.

Analogiquement, il faut savoir que le sein qui a gonflé (diagnostiqué comme cancer) d'une maman qui allaite un enfant, donne un lait beaucoup plus abondant et riche que le lait de l'autre sein qui n'est pas atteint d'un cancer. C'est ce qui explique que lorsque la brebis constate qu'elle ne pourra plus retrouver ses petits, l'ordre d'activer une plus grand production de lait est annulé (la nature qui, pour sa survie est toujours en économie d'énergie, ne fait en effet rien d'inutile) ; conséquence : disparition du cancer des mamelles.

Confirmant les observations statistiques faites en psychobiologie notamment par rapport à ce qui crée psychiquement les cancers du sein, j'ai observé empiriquement aussi  (et je ne suis pas le seul) que lorsqu'une femme (atteinte d'un cancer du sein) fait le deuil de ce qui représente pour elle ce que le sein (réellement ou virtuellement) ne peut plus nourrir, elle en guérit généralement spontanément ! La science médicale reconnaître d'ailleurs de telles guérisons qu'elles interprète comme spontanées, sans pouvoir donc les expliquer physiologiquement

Les relations entre structures nerveuses et lymphocytes, de même que les relations entre comportement animal et réponses immunes ne sont plus à démontrer, comme en témoignent les constatations suivantes faites à l’hôpital du Mont-Sinaï à New York : au moment du décès de leurs épouses atteintes d’un cancer du sein, les maris présentaient une réduction brusque et significative de leurs défenses lymphocytaires. Les modifications, observées au moment du deuil, avaient ensuite tendance à disparaître au cours des mois, suggérant un rapport entre l’état émotionnel induit par la mort du conjoint et les modifications des paramètres biologiques. Cette observation a été largement confirmée par la suite. Il existe ainsi un rapport entre situation de stress et réponse immunitaire (si on reprend ici ce concept dépassé et crée par la science médicale dans sa partie matérialiste et rationaliste), tant chez l’animal que chez l'homme.
 

divorcees

Si vous en doutez encore, voici l'observation empirique qu'a faite le Dr THOMAS-LAMOTTE, qu'il a consignée dans son livre Et si la maladie n'était pas un hasard ; il se base sur les cas de 20.000 patients et il pose notamment comme question : "Pourquoi les femmes séparées ou divorcées représentent-elles la majorité des cancers du sein ?"

"Depuis mes premières années de médecine, je me suis intéressé aux causes de la maladie. Mais après avoir examiné et parlé avec plus de 20.000 patients au cours de ma vie professionnelle, j'en suis arrivé à la conclusion que la maladie n'est pas toujours l'effet d'une cause extérieure mais bien celui d'une cause intérieure. A en croire les médias, je n'ai pas tort. Dans le cas d'un attentat ou d'une catastrophe aérienne, les autorités mettent des psychologues à disposition des survivants et de ceux qui ont perdu un être cher, pour les aider à ne pas se rendre malades eux-mêmes... Quant à la littérature, elle nous conte depuis l'aube des temps des histoires d'amour dans lesquelles l'être délaissé meurt de chagrin."

Voici deux exemples vécus qu’il donne par rapport au cancer du sein :

« ~ Perte des enfants et petits enfants...

Madame B., a vécu un véritable séisme d'ordre familial : sa maison s'est brutalement vidée de tous ses enfants. Elle n'a pas supportée cette séparation, même si elle était contente de les avoir tous mariés. Quelques semaines après que la maison se soit vidée, elle a déclenché un cancer de l'ovaire, et tout de suite après, un cancer du sein !

Après un traitement chirurgical des lésions expansives puis une chimiothérapie et des rayons, elle retrouva la santé et sa joie de vivre. Mais quelques années plus tard, alors que sa santé était parfaite, l'un de ses petits enfants mourut brutalement d'une leucémie. Et quelques semaines après, son cancer du sein s'était redéclenché à nouveau. Cette fois, il fut fatal. »

« ~ Un suicide qui déclenche un cancer du sein

M. était un étudiant sérieux qui devait entrer en « math-spé ». Alors imaginez le drame de son père lorsqu'il le découvrit à la fin des vacances du mois d'août pendu dans la cave de la maison, et celui de sa mère qui s'en voulait « à mort » de n'avoir rien pu faire pour protéger son fils.

Quelques mois après ce drame, la maman déclencha un cancer du sein gauche qui se généralisa rapidement, au-delà de toute ressource thérapeutique. Quant au père, il se traîne et se soigne sans grand succès pour une dépression sévère. »

lait

Explications détaillées et qui montrent les incidences avec l'alimentation (produits laitiers) :

On sait à la lumière de scientifiques innovants que la plupart des maladies ne se développent qu'en présence d'un programme psychobiologique. Seules les maladies causées par un contact physique immanquablement destructeur tel que la présence massive de radioactivité, de toxiques, d'un contact avec le feu... ne sont pas du ressort d'un programme (direct) psychique ; elles ne sont pas seulement tributaires d'une situation conflictuelle souvent complexe, mais leurs qualités comme leurs intensités seront affaire de la particularité du "terrain" propre à chaque individu ; ainsi on observe généralement que plus le terrain est encombré (stress biologique d'autant plus important) plus la gravité de la somatisation est importante. Il faudrait aussi se garder du « tout-à-l’alimentation » tout aussi dogmatique et propre à beau nombre de naturopathes, ce qui constitue un autre intégrisme en réponse à un autre du même type !
chine
Le développement des cancers du sein est est un éloquent exemple.
En Chine, le cancer du sein était appelé la "maladie de la femme riche" ou la "maladie de la femme de HONG KONG", car seules les chinoises qui avaient adopté le mode d'alimentation occidental qui comporte en particulier le lait de vache et ses dérivés, en sont atteintes, du moins à un point inquiétant : le nodule se développe alors d'une manière importante et donc alarmante, alors que chez celles qui souffrent d'un conflit psychobiologique
se somatisant en nodule mais qui ne consomment pas de lait, la grosseur ne s'y développe pas trop, ce qui a pour conséquence qu'on ne la remarque pas et qu'elle finit par disparaître suite à la résolution de la situation conflictuelle à l'origine de cette somatisation. Le facteur amplificateur est en effet la présence d'hormones de croissance IGF 1 et IGF 2, dans le lait, avec un tropisme sur des récepteurs mammaires : ces hormones accélèrent la mitose cellulaire (division des cellules) ; dans le cas des bovins, ces hormones sont  très utiles puisqu'elles permettent au tout jeunes veaux  de prendre de 200 à 300 kilos en 6 mois !

¨¨ Il est aussi à noter la présence de telles hormones de croissance dans les produits laitiers de chèvre, de brebis, jument, etc.) ; quelle hérésie donc d'aller conseiller la prise de lait de jument dans le traitement du cancer surtout pour ceux qui dont de la masse !

Plusieurs naturopathes préconisent à tort la prise de colostrum : "Le colostrum est le nom donné au lait sécrété par les mammifères femelles en fin de gestation et dans les premiers jours (3 à 4) suivant la parturition", nous apprend l'encyclopédie Wikipedia ; dans les composants les plus importants du colostrum, se trouvent les facteurs de croissance que sont précisément ces hormones IGF 1 et IGF 2 dénoncées. A en croire leurs promoteurs, le colostrum est doté de vertus quasi magiques, mais ils font superbement l'impasse sur les dangers réels liés à la présence de ces hormones qui boostent les cellules cancéreuses, comme démontré. Que cela concerne le colostrum ou  quelque autre apport alimentaire pris isolément, il faut éviter de jouer à l'apprenti sorcier : ingérer tel ou tel complément alimentaire au petit bonheur la chance, c'est aussi s'exposer à provoquer des déséquilibres et des risques pour la santé. En effet, l'alchimie de notre corps est complexe et peut être mise en danger par un tel apport inconsidéré, parce que notamment il ne tient pas compte des interactions possibles. Un exemple connu est celui de la prise de calcium sans l'apport approprié et conjoint de magnésium : le calcium ne pourra alors pas se fixer. A cet égard, c'est une légende qui a bien été démasquée notamment par Thierry Souccar dans son livre : Lait, mensonge et propagande) (voir plus bas).

 

Il vaut beaucoup mieux faire appel à un médecin nutritionniste qui, fort d'une prise de sang complète et incluant l'analyse pointue des incompatibilités alimentaires (°), prônera le recours sinon exclusif, du moins préférentiel, à des corrections alimentaires avec l'apport de nutriments (bios) pointus, et comme j'en atteste moi-même (et sur plusieurs autres cas), cela corrigera le terrain relativement rapidement ; c'est un soutien indéniable et crucial à la minimisation des facteurs de risques des maladies en baissant notamment le niveau de stress oxydatif (ou oxydant) et qui est mesurable via une prise de sang complète. La plupart des scientifiques s'accordent d'ailleurs maintenant à reconnaître que la quasi-totalité des maladies trouvent leur origine dans le stress oxydant ou oxydatif, c'est un grand pas en avant pour la reconnaissance du rôle incontournable du psychisme sur le corps, comme on le verra plus longuement ci-après.

(°) L'analyse donne des résultats pointus concernant les réactions des composants de l'alimentation, (légumes, viandes ...) : durant un certain laps de temps il ne faut alors plus manger tel ou tel aliment qui constitue une incompatibilité alimentaire, ce qui permet au terrain de se rétablir et de voir les symptômes des maladies ou des désordres organiques s'atténuer fortement, voire disparaître, à la condition que la résolution des situations conflictuelles (psychologiques) sous-jacentes soit parfaite (voir plus bas).
 

En logique avec ce qui précède et bien attendu, les générations suivantes de ces chinoises qui viennent vivre en occident et qui ne consommaient donc pas de produits laitiers dans leur pays, finissent aussi par développer de tels cancers du sein, vu le changement de terrain dû à l'alimentation incluant la consommation de  produits laitiers ; mais il faut encore souligner que le cancer du sein ne survient que (SINE QUA NON) suite à une grave situation conflictuelle non résolue ; dans cette situation précise, les Chinoises, vivant dans leur pays et qui ne consomment pas de produits laitiers, ne développeront alors que des nodules qui ne seront pas nécessairement perceptibles et de ce fait on pourra éviter les traumatisantes opérations chirurgicales...

A contrario, mais uniquement dans des conditions de situations conflictuelles similaires, c'est donc chez des femmes qui consomment des produits laitiers que se trouveront celles qui développeront des cancers du sein.
(Sources : Ce lait qui menace les femmes, Dr Raphaël Nogier (Ed. du Rocher) et le livre de Thierry Souccar en phase avec lui  Lait, Mensonges et Propagande,, Thierry Souccar Editions ; Thierry Souccar donne aussi d’autres enseignements par rapport aux effets pervers des produits laitiers).


 

                                                                  

 

N.B. Le lait est destiné et donc naturellement réservé à aider les veaux à prendre un poids considérable en très peu de temps ! L'homme est le seul animal à se nourrir du lait des autres ! On pourrait tout au plus le tolérer pour de très jeunes enfants, mais en vérifiant s’ils sont atteints d’un cancer qui fait de la masse, on aura encore moins de temps pour pouvoir les aider à échapper à la mort, vu un développement cellulaire qui est d’autant plus rapide que le sujet est jeune ! Chez les hommes, c'est le cancer de la prostate qui s'en trouvera accéléré, analogiquement à ce qui se passe pour le cancer du sein (ceux qui font de la masse) et comme pour le sein, on ira alors recourir à de traumatisantes et ensuite invalidantes opérations chirurgicales (risques d'impuissance et d'incontinence) qui auraient pu être évitées dans beaucoup de cas, si la personne avait pu résoudre les situations conflictuelles causales et pour y arriver dans les temps se faire alors accompagner psychothérapeutiquement.

 


Empiriquement, on observe empiriquement que chez les droitières et strictement suivant leurs ressentis particuliers  :

 

(De grâce, pas de décodage sauvage ni induit ! : ce qui suit n'est qu'une indication et il se peut que dans les faits concrets observés s'écartent de la statistique suivante et de toutes façon, le sens de la maladie appartient à celui qui en souffre et qui seul en détient la vérité)

§                         la perte souffrante et sans que le deuil ne soit apparu rapidement de ce qui constitue selon le ressenti de la personne sa création (enfant, boulot, … « qu’on nourrit »), le cancer du sein va se situer au sein gauche : sein qui sert prioritairement à nourrir "l’enfant", parce que celui-ci est porté sur le bras gauche, pour laisser la main droite œuvrer (ce qui laisse la tête de l’enfant davantage en contact physique avec le sein gauche)

§                         la perte de ce qui n’est pas la création directe mais ce qui est nourri symboliquement en second lieu (époux, père, frère …) se traduit alors au sein droit. 

Pour les femmes gauchères, il faut donc inverser (rappel : il se peut que dans certaines situations, ce distinguo ne s'applique pas en fonction de la latéralité du sein) : ici encore tout dépendra du vécu particulier de la personne et il fut rappeler qu'il sera toujours dommageable de livrer de telles informations à une personne qui est atteinte d'un cancer du sein (mieux vaut en effet, qu'elle puisse le découvrir par elle-même le sens qu'elle pourra donner à de tels maux, en se faisant donc accompagner pour y arriver plus rapidement).

N.B. Sur la quinzaine de tels cas que j'ai accompagnés en psychothérapie, je peux confirmer que c'est conforme à 100 % (relevés a postériori) : suivant des Lois naturelles communément admises et qui ne sont pas issues de quelque théorie et encore moins de postulats qu'ils soient scientifiques ou pas ! Ici encore, sans parler de la mythologie du "tout-au-psychologique" comme celle à l'opposé du "tout-à-l'hygiène",  il faut se garder de pratiquer le décodage sauvage qui prive en l'hypothéquant avec certitude, le patient du bénéfice de tout ce que peut lui apporter le chemin qui le mène vers la guérison, sachant que sa propre découverte des causes psychobiologiques de son mal n'est que la première des deux étapes (la seconde étant ce qu'il va mettre en oeuvre pour résoudre les situations conflictuelles sous-jacentes à ses maux). Le (psycho)thérapeute doit, en tous points, se limiter à son rôle strict de maïeute (accoucheur) : c'est le chemin le plus respectueux et finalement le plus rapide vers l'autoguérison (exemples de conduites en séances). Baudouin Labrique a écrit un livre Quand les thérapeute dérapent qui identifie les causes des dérives thérapeutiques conduisant à de telles attitudes dogmatique du "tout-au-psychologique" comme celle à l'opposé du "tout-à-l'hygiène", voie du "tout-au-physiologique" et encore du "tout-au-spirituel".
 

 

  Quatre ans après (2009-2013), le constat est le même : l'OMS annonce qu'en matière de cancers du sein,

             c'est la Belgique qui serait la plus touchée au monde

             (information diffusée sur de nombreux médias fin décembre 2013).

On aura pu lire plus haut que la consommation de produits laitiers conduit des nodules à fortement se développer et ainsi se transformer en cancers du sein (sachant qu'il y a en amont des facteurs psychiques incontournables, voir plus haut) : en Chine ancienne, seules les riches femmes de Hong Kong avaient accès aux produits laitiers ; elles seules contractaient des cancers du sein appelés comme de juste, "la maladie de la femme de Hong Kong". En conséquence, vu le record belge en la matière, on pourrait se poser une première question : est-ce que c'est en Belgique qu'on consomme le plus de produits laitiers ? En fait, la Belgique, fort consommateur de produits laitiers n'y est pas en tête de liste (en Europe) ; cette place revient au Danemark, mais où il y aurait nettement moins de cancers du sein :

En Europe, les habitants consomment en moyenne 309 kg d'équivalent lait (lait liquide et produits laitiers) par an et par personne. Les pays du Nord ont une alimentation plus lactée que les pays du Sud. En tête on trouve : le Danemark avec 465 kg, puis la France avec 403 kg et l'Allemagne, la Belgique et le Luxembourg à 367 kg environ. (Source)

On  ne peut donc pas tout mettre sur le compte de la consommation de produits laitiers : il y a donc manifestement au moins un autre contexte qui interfère parallèlement sur le développement du cancer du sein ou du moins, par rapport à ce qui est comptabilisé comme tel : les effets nocebo (indésirables voire toxiques) du surdiagnostic constitué par les dépistages à grande échelle des cancers du sein. En effet, on a souvent pointé de tels dépistages, en ce qu'ils mettaient au jour la présence de cellules dont le caractère cancéreux n'était pourtant pas certain, mais en présence desquelles, tout médecin ne pourra que prescrire leur "traitement", voire leur ablation vu le questionnement au nom d'un certain principe de précaution : est-ce que au cas par cas, ce sont ou pas des cellules cancéreuses qui vont en développer ? On a alors pu se rendre compte qu'on comptabilisait de telles observations comme signes d'un cancer du sein, alors que la certitude n'y était pas, et loin de là : en effet, tout corps produit quantité de cellules qui ne sont pas forcément à ranger du côté des cellules qui conduiront à un cancer  et souvent même, lorsqu'ils s'agit de cellules cancéreuses avérées, elles disparaissent généralement d'elles-mêmes, sans se transformer d'office en cancers...

En plus de générer du stress par nature pathogène (générateur potentiel de maladies quand il se transforme un surstress), un diagnostic précoce entraîne alors des interventions dont on aurait pu s'abstenir : c'est alors typiquement un effet iatrogène (°) et donc nocebo, typique des dérives d'une médecine alors qualifiée justement d'invasive :

Le surdiagnostic est le diagnostic histologique d’une “maladie” qui, si elle était restée inconnue, n’aurait jamais entraîné d’inconvénients durant la vie de la patiente. Dans le contexte de nos connaissances actuelles, ce n’est pas une erreur de diagnostic, c’est un diagnostic correct, mais sans utilité pour la patiente.[...]

Le surdiagnostic des cancers du sein est encore largement minimisé, mais ne peut plus aujourd’hui être contesté. C’est un phénomène massif, catalysé par le dépistage systématique organisé. Certains disent, malgré tout : peu importe le surdiagnostic, puisque l’on observe actuellement une baisse de mortalité par cancer du sein. Ils lient cette baisse au dépistage. Rien n’est plus faux, car cette baisse est retrouvée de façon identique chez les femmes dépistées et non dépistées. (Source)

 

(°) Généré par l'attitude du médecin, par la nature de son intervention ; le Pr G. Mathé faisait observer dans L’Express du 4/10/1985 : Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce.

Voici ce qui corroborait le fait qu'indirectement plus on procède à des dépistages plus on a tendance à abusivement diagnostiquer des (débuts ou présomptions de) cancers du sein, ce qui fait gonfler artificiellement leurs statistiques ; en effet, dans l'exemple suivant de la France, les effets d'un dépistage quatre fois plus élevé qu'en Angleterre sont en effet contreproductifs :

La France, où l’on fait proportionnellement 4 fois plus de mammographies qu’en Angleterre, obtient un résultat sur la baisse de mortalité par cancer du sein bien moins bon et l’un des plus mauvais avec la Suède en Europe occidentale. Source)


Lire aussi :

« Mastectomie préventive »  ou la toute-puissance d’un dogme scientifique et l’expression d’une dérive médicale, qui n’a pas l’air de choquer grand monde…
Découvrir les vrais rapports entre l'alimentation et la santé.
 

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explosion

    * "Deux rapports mettent en garde

        contre l'explosion de décès par cancers chez les femmes"

 

 

 

« Deux rapports alertent sur l'explosion des décès par cancers chez les femmes, liée en particulier au cancer du sein : les cancers pourraient ainsi tuer 5,5 millions de femmes chaque année dans le monde en 2030 contre 3,5 millions en 2012 ».

Démêlons le vrai du faux sur les causes avancées et les stratégies officiellement proposées.

 

L’article pointe d’abord le fait que cette explosion est en lien avec l’augmentation et le vieillissement de la population (« une hausse de près de 60% en moins de deux décennies » , car plus de personnes et donc plus de cancers) ; on ne peut être évidemment qu'être d’accord avec une telle constatation, mais pour le reste...

 

Autres explications données :

 

1° « Le développement des cancers s'explique aussi par l'augmentation de la fréquence de "facteurs de risque de cancer connus liés à la transition économique rapide comme l'inactivité physique, une mauvaise alimentation, l'obésité, et des facteurs reproductifs, comme par exemple le fait de procréer à un âge tardif, relève Sally Cowal de l'ACS qui a compilé ce rapport sur les cancers des femmes ».

Voilà encore une étude qui tombe dans le piège écule et ascientifique : confondre corrélation (« facteur de risque ») et lien de cause à effet (par exemple, comme si on voyait un lien de cause à effet entre le port de lunettes solaires et le bronzage, sur la plage en plein soleil !). Il faut encore constater que cette énième étude pèche par un manque évident de rigueur scientifique : rappelons pour qu'il y ait un vrai lien de cause à effet, il faut que la cause entraîne à 100% l'effet et ici encore, on est très loin du compte ! (Explications)

  

A cet égard, le Dr Pierre-Jean THOMAS-LAMOTTE faisait remarquer qu' « un scientifique qui confond facteur de risque et la cause d'une maladie est un imposteur ou un ignorant de la logique, la base du raisonnement scientifique ». « Les scientifiques en sont venus à amalgamer facteur de risque de la maladie et cause de la maladie et la cause d'une maladie est un imposteur ou un ignorant de la logique, la base du raisonnement scientifique. Leur recherche échoue puisqu’ils n’ont plus une démarche scientifique ».

 

 

Preuves complémentaires qu’il faut écarter comme réelles causes des cancers : « l'inactivité physique, une mauvaise alimentation, l'obésité, et des facteurs reproductifs", comme par exemple le fait de procréer à un âge tardif ». En fait, Les causées réelles du cancer sont à trouver en amont (cf. la psychobiologie) et donc dans le psychisme, sinon :

 

1° « Pourquoi les femmes divorcées représentent-elles la majorité des cancers du sein ? » se pose comme question le Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte dans son livre (Et si la maladie n'était pas un hasard...), or il serait déraisonnable de penser que de telles femmes ont une hygiène de vie moins bonne que les autres (c’est pourtant ce que l’article induit au travers de deux études) (Détails)

 

Pourquoi chez les religieuses, « le cancer du sein atteint l'énorme pourcentage de 33,33 % alors que ce pourcentage se limite chez l'ensemble de la population féminine à 13,5 % seulement » ? (Suivant les 4000 cas étudiés de religieux & religieuses par le Dr Michel Moirot, relatés dans son livre Origine des cancers, Ed. Andrillon, p. 18). 1  En effet, vu l'hygiène de vie sévère des religieuses qui leur font mener des activités physiques quotidiennes (ménage, entretien, culture maraîchère...) et à ne recourir qu'à une alimentation saine, on ne peut donc que constater l'absence totale et donc de pertinence de (prétendus) 'facteurs de risque' (mauvaise hygiène de vie...)  avancés comme conduisant à des cancers !

     1. Ancien chef de clinique à l'Hôtel-Dieu de Paris, membre du collège des chirurgiens français et membre de la Société française de médecine psychosomatique)

        ce médecin     français découvrit l'importance des traumatismes psychologiques dans la genèse du cancer. Il se livra à de longues études sur des patients en milieu protégé,

        en l'occurrence au sein des confréries religieuses.

 

 

 

Que penser alors de la congruence des études scientifiques ? Pour un nombre important de raisons objectives, on doit acter que « la plupart des conclusions des recherches scientifiques publiées sont fausses », suivant ce que PubMed (a pu acter (cette dernière produite par la National Library of Medicine - USA, offre la base de données bibliographiques scientifiques de référence mondiale).

 

N.B. IL faut toutefois souligner qu'il existe un facteur alimentaire qui intervient, non pas comme cause directe, mais comme amplificateur du volume de nodules conduisant alors à l'apparition de cancers du sein : les produits laitiers (comprendre pourquoi, comme le pointent dans leurs livres  le Dr Raphaël Nogier (Ce lait qui menace les femmes) et le journaliste scientifique Thierry Souccar (Lait, Mensonges et Propagande) en phase avec lui. Cependant, dans ce cas précis encore, les grands médias se sont privés de faire autre chose que de relayer servilement des études “scientifiques”… (Détails)

 

Solutions proposées : le dépistage

 

« Dans un second rapport publié mercredi par la revue médicale The Lancet, également à l'occasion du congrès de Paris, des spécialistes avertissent qu'en 2030 le nombre de femmes diagnostiquées avec le cancer du sein pourrait presque doubler pour atteindre 3,2 millions par an (contre 1,7 million/an ces dernières années). »

 

Se pose en fait la pertinence du dépistage. L’article avance en effet que l’intensification du dépistage du cancer permettrait de diminuer à terme le nombre de cancers (tous types confondus). Voici de quoi revoir sérieusement ce qu'il faut encore pointer comme un dogme médical :

a)     « Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n'en sont pas. Le fait que la mortalité soit inchangée alors que le nombre de nouveaux cas diagnostiqués augmente considérablement prouve indirectement l'inutilité de ce dépistage dans le cas du cancer de la prostate et du cancer du sein. » (Source : Rapport sur les causes du cancer (2007) : "Un rapport intéressant et complet sur les principales causes du cancer").

Le surdiagnostic touche aussi tous les autres cancers et dans le cas du cancer du sein, on prétend que la fréquence du dépistage permet de mieux le soigner et de diminuer la mortalité. En fait, belle manipulation : lors d'un tel dépistage, on détecte souvent des cellules dont on n'est pas du tout sûr qu'elles soient cancéreuses. Par "précaution", on les retire par chirurgie (source). Cette manière de faire augmente (fallacieusement)  les vertus attribuées au dépistage, car on range dogmatiquement de telles opérations parmi les cas de cancers opérés !

b)     Comme en témoigne ce rapport,  « La surprise n'est pas forcément là où on l'attend : la médecine est une des principales causes de l'augmentation des cancers. Explications sur un paradoxe apparent. »  «  Il n'y a aucune diminution démontrée de la mortalité totale, ni dans les essais, ni dans les études épidémiologiques » , lit-on dans cet article et pire, « le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n'auraient jamais fait parler d'eux, et encore moins provoqué la mort du patient ». En fait, ayant souvent opéré pour rien, on a fait prendre des risques au patient, mais l'opération est surtout lucrative pour les hôpitaux et les médecins ! Pire, le dépistage ne sert en fait strictement à rien puisqu'il n'entraîne aucune réduction des décès, toutes causes confondues, suivant cette étude approfondie réalisée à l'École de Médecine de l'Université de Stanford, en Californie (source en anglais).

c)   « [...] nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants» :  

      « Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage fœtal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons.

      L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés.

      En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants. »
Mettant à contribution des vignettes tirées de l’histoire de ses patients, de ses collègues et des médias grand public, le Dr Welch montre comment surviennent le surdiagnostic et les pièges liés aux examens de routine faits sur des bien portants.

       (Le surdiagnostic. Rendre les gens malades par la poursuite de la santé).
 

 

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