Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés du Cerveau

 

 

Les CBCMC découverts par Marc Frechet

 

© Baudouin Labrique

 

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                            MISE AU JOUR DE SES PROPRES CYCLES A PARTIR DU PREMIER CYCLE

                                                    QUI SE TERMINE A LA DATE D'AUTONOMISATION)
 

 

 


1. Recherche de la date d’autonomisation
 

 


La première chose à faire avant de se lancer dans l’établissement et l’interprétation des cycles est de déterminer avec justesse la "Date d’Autonomisation". On peut toutefois s’en passer, mais alors on perd une partie intéressante de ce que les CBCMC peuvent apporter ; veuillez noter qu’en ce qui concerne les personnes qui sont encore dépendantes de leurs parents directs, comme les enfants et les adolescents et même à un âge avancé, cette autonomisation n’est pas encore survenue.

Lors de la naissance, nous quittons le milieu de maman (notre première habitation en somme) et nous quittons, au même moment, son alimentation via le cordon ombilical.
Il s’agit d’un des changements les plus importants, sinon le plus important, qui marquera notre vie. On se rend de plus ne plus compte à quel point toutes les circonstances de la naissance engramment des charges de ressentis divers qui, la plupart du temps, généreront des événements qui seront strictement en rapport avec eux ; ces circonstances ont donc ainsi des répercutions importantes ensuite chez l’enfant et l’adulte, durant toute la vie ; cela agit surtout au niveau de ses systèmes de croyance (limitantes et dynamisantes) qui y sont liés et qui touchent tous les domaines de la vie.

Par exemple, un enfant qui aura été assisté à la naissance par "forceps", pourra rencontrer dans sa vie des grandes difficultés à "naître" aisément à des situations cruciales ; il aura activé la croyance inconsciente qu’en l’occurrence, il devra par exemple se sentir "obligé" par le biais d’une intervention extérieure, d’une quelconque autorité, ...  pour pouvoir arriver à accomplir alors quelque chose d’important.

Quand situer la date d'autonomisation réelle ?

 

Ce qui suit sera immanquablement et biologiquement (pour le cerveau) interprété comme une nouvelle naissance, dont le moment précis constituera donc l’effective autonomisation :

    1° lorsque nous quitterons l’habitation de nos parents à l’image de la sortie du ventre de notre mère (son milieu) ;

    2° lorsque nous ne recevons plus de nos parents la nourriture quotidienne ou leur argent pour la payer (en grande partie),

        et que nous l’assumerons alors principalement avec nos propres moyens financiers (nous aurons alors quitté l'alimentation maternelle),

Ces deux facteurs réunis ferons écho alors à la coupure du cordon ombilical.

N.B. Le fait de dépendre d’un mari ou de la société (allocations diverses) pour pouvoir vivre n'interfère en rien par rapport à un tel critère.
Dans certains cas, lorsqu’on dépend encore un peu de l’assistance financière de ses parents, il faudra voir au niveau de son propre ressenti, si on se considère indépendant en fait d’eux ou pas. La réponse fera toute la différence et pourra donc déterminer si on se sent alors vraiment autonomisé et dès lors depuis quelle date (à identifier donc)..

Un enfant adopté, extrait de son milieu d’origine, pourra avoir un cycle donc limité à quelques mois, s’il a quitté ses parents au bout de ces quelques mois. Malheureusement, nous ne disposons pas encore d’exemples suffisants pour établir le fait, qu’alors, il recréerait un système de double cycle, provoquant depuis le moment de l’adoption une sorte de nouvelle naissance, à prendre comme un sens analogue à celui de la naissance effective, et ce pour l’établissement des ses propres cycles.

Quand ces deux conditions 1° et 2° sont enfin réunies, on considère alors qu’on naît à nouveau, qu’on renaît ;  cela constitue donc le moment, la date précise de l’autonomisation réelle qui sera alors perçue comme telle par le cerveau avec toutes les conséquences décrites ensuite...

N.B. Si on hésite entre plusieurs dates d’autonomisation, il serait utile d’établir autant de tableaux de cycles (voir point suivant) qu’il y a de dates d’autonomisation possibles... Ce faisant, on y aura noté dans chaque tableau un nombre représentatif d’événements datés ; il sautera aux yeux, à l’évidence, quel est le tableau le "plus parlant", le plus vraisemblable, concernant l’identification des "événements à ‘Contenu existentiel identique’ " (voir plus bas).


2. Mise à jour des périodes/cycles de vie.
 

    N°1

 N°2

 N°3

 N°4

 N°5

         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         


Dès le début de la date d’autonomisation, commence alors le second cycle de la vie (n°2) et qui a donc la durée exacte du premier et ainsi de suite... Personnellement, ayant un premier cycle de 22 ans et 8 mois chaque autre cycle s'étale donc sur 22 ans et 8 mois ; ayant 72 ans (2022),j'ai dons entamé mon quatrième cycle. On peut aussi reporter sur les neuf derniers mois, l'image de ce qui a été vécu dans le ventre maternel (sachant que le foetus ne faisant qu'un avec sa mère, tout ce qui arrive à la mère mais aussi au père sera mémorisé chez le foetus comme ayant été vécu par lui et faisant partie de sa vie). (Détails)


En début de cycle, on va donc comme repasser sur sa date de naissance et reproduire, susciter des événements dont le contenu émotionnel, ressenti, sera le même. S’il s’agit d’événements de circonstances... heureux, nous aurons tendance même à les amplifier, si nous avons alors pu prévoir sa survenance en se reportant sur le tableau que nous aurons réalisé comme suggéré..

Les événements malheureux auront généré donc des ressentis "souffrants" en écho qui seront susceptibles de provoquer en écho (cycles) d'autres événements aux contenus existentiels (ressentis) identiques ; ces événements malheureux ne produiront effets futurs actifs que, si au départ, ils exprimaient des conflits non résolus ; leurs échos successifs se traduisent alors en événements au ressentis analogues et se produiront tant que la situation conflictuelle de départ ne sera pas résolue  ; ces événements en rapport donc avec d’autres qui se sont passés durant le premier cycle de vie, seront vécus dans la même tonalité (ressenti) souffrante que les événements précis qu’ils rappellent, en résonnance (et qui sont trouvent donc sur la même ligne horizontale). Toutefois, nous aurons la possibilité de les annuler ou du moins fortement les atténuer, dans la mesure où, consciemment et préalablement, nous aurons eu ‘vent’ de leur possible survenance. (voir plus loin…) et qu'un travail sur soi aura permis d'en désactiver les effets indésirables présents et futurs.

On peut reproduire à la main ou via Excel par exemple, un tableau en colonnes, où chaque ligne horizontale correspond à la durée d’un mois, dune semaine ou d'un jour de vie, au choix.

La première colonne doit commencer (en haut) avec le mois, la semaine, le jour de naissance, selon ce qu’on aura choisi d’y figurer, (1ère ligne horizontale) pour s’achever (en bas) le dernier mois, semaine, jour, durant lequel l’autonomisation s’est réalisée. Le jour / semaine / mois suivant est alors le tout premier du second cycle etc.

Il est toutefois conseillé de le faire jour par jour ou du moins mois par mois.
Une autre procédure permettant de mettre à jour des cycles dont les mois seraient découpés en semaines ; de cette façon à chaque ligne correspondrait donc une semaine. L’avantage serait de limiter la longueur totale des cycles et donc celle du support utilisé, qui certes prendraient tout de même au moins quatre fois en espace, la longueur de la procédure proposée, une ligne correspondant alors à un mois.


L’autre avantage serait de pouvoir mettre les événements en meilleur vis à vis et donc de mieux identifier ce qui « va avec quoi » . En effet, il est rare de rencontrer par semaine plus d’un événement « négatif » avec une charge suffisamment lourde entraînant un "répercuté" signifiant dans la suite.
étant donné que pour des événements très précis s'accompagnant de ressenti(s) traduisant un conflit non résolu, le(s) ressenti(s) en question va(vont) se traduire de nouveau au travers d'un autre événement futur : celui-ci va survenir un jour précis, en concordance avec la symbolique des harmoniques musicaux par exemple. Ainsi l'exemple de cette personne qui avait beaucoup déménagé durant sa vie ; elle avait remarqué que ne se trouvaient sur la même ligne horizontale que les déménagements qui ayant été désirés par elle étaient donc perçus comme heureux, tandis que su rune autre ligne horizontale se situaient des déménagements contraints...

On comprendra alors qu’il y a aura durant toute sa vie des cascades de cycles  mais qui reproduiront exactement l’étendue exacte au jour près, la durée du tout premier cycle.

Si on est né par exemple, le 18 mars 1967, sur la première ligne sera indiqué, par exemple, "mars 1976 : 18/ Naissance " ou "18 mars 1976 Naissance", selon qu'on va faire ses tableaux mois par mois/semaine ou jour par jour. .On fera de même pour tous les autres événements importants dont on aura essayé de trouver aussi le jour du mois (de 1 à 31) pour autant que cela soit possible. Si on ne dispose pas du jour précis, on indiquer 15 (milieu du mois).
Si on a été autonomisé par exemple, le 10 juin 1988, on aura donc indiqué sur la dernière ligne "Juin 1988 : 10/ Autonomisation" (ou "19 juin 1988 :Autonomisation") et à côté, le libellé de ce qui l’a constitué (mariage, déménagement, perte des deux parents ou du survivant des deux etc. comme déjà expliqué). Un système d’abréviations est alors fort utile pour éviter d’occuper trop d’espace pour la description.

On pourra aussi faire une fiche individuelle pour chaque événement, reprenant en colonnes verticales :
    1ère colonne : la description détaillée de l’événement, un peu comme le ferait un journaliste
    2ème colonne : le ou les ressenti(s) qui y ont été associés
    3ème colonne : les émotions exprimées alors et celles qui n’ont pas pu l’être (refoulées, occultées…)
    4ème colonne : les émotions que cela génèrent en soi à la 're-connaissance' de cet événement avec toutes ses composantes.

Sur le tableau des dates, on inscrit alors sur les lignes correspondantes, les événements trouvés datés depuis la naissance jusqu’à la date d’autonomisation.

On commence alors à remplir la seconde colonne, tout ce qui s’est passé durant le second cycle de vie et qui va donc se trouver alors mis en parallèle à la première colonne correspondant donc au premier cycle.
Sur la première ligne de cette seconde colonne vient se placer en face de la ligne sur laquelle se trouve notre date de naissance, suivant l’exemple donné, l’événement : "Juin 1988 : 10 / Autonomisation" et ce qui y s’est réellement passé (mariage, départ à l’étranger etc.).

On peut aussi inscrire par exemple "renaissance" ou "ren." ; il y aura toujours un événement pour cette date puisqu’elle exprime les conditions précises de l’autonomisation.

On recommencera donc une troisième colonne qui correspondra donc à la troisième période de notre vie ; on procédera de la même façon, et ainsi de suite.


3. Importance de l’exactitude de la détermination de la date d’autonomie.

 


 

Je souligne l'importance de l'identification correcte de la date d'autonomisation pour pouvoir bien exploiter tout ce que les CBCM du Cerveau permettent de mettre à jour.

En effet, si on prend une date d’autonomisation incorrecte, on ne pourra pas faire de bonnes interprétations concernant des événements qui se trouvent sur la même ligne horizontale, et ce, quand on aura aligné parallèlement les cycles en vis à vis. (voir titre suivant).

Ainsi, on pourra préalablement, avec le programme Excel ou encore à la main, établir des colonnes verticales de dates, correspondant authentiquement à ses cycles de vie.

Par exemple, si on a été autonomisé à 20 ans et trois mois, on va donc avoir un second cycle de vie qui va commencer le lendemain de cette période pour alors pour se terminer à 40 ans et six mois, la veille du troisième cycle, et ainsi de suite.
 

existentiel
4. Mise à jour d’événements à « Contenu existentiel identique »
 


Ce qui se trouve alors sur la même ligne horizontale, au travers donc des cycles verticaux ainsi tracés, concernerait des événements qui renferment donc un même contenu existentiel. C'est à dire que les événements auront le même ressenti physique et/ou émotionnel voir symbolique ; exemple : une 'dégringolade par terre' physiquement vécue pourra avoir en écho, par exemple, une "faillite", une perte d'emploi subites, etc. pour autant que le ressenti soit : 'je tombe de haut', ou 'je fais une chute', voir alors l'apparition d’un mal-a-dire en rapport strict, comme par exemple, une sclérose en plaque...

Il y aura certes des cas où, durant un même mois, se seront produits plusieurs événements à puissants ressentis ; la difficulté sera alors de bien mettre en correspondance « ce qui va avec quoi ». En effet, à supposé qu’on se soit souvenu des tous les événements marquants produits durant un même mois, il faudra mettre en rapport celui qui est en correspondance avec tel autre. Ce sera chose plus facile si on a réalisé un tableau jour par jour

Idéalement il faudrait don établir des colonnes où à chaque ligne horizontale correspondrait un jour/calendrier (de 1 à 31 etc.).
On peut imaginer que la longueur du papier nécessaire à une telle procédure, est beaucoup plus importante.

 

Rappel : une autre procédure permettant de mettre à jour des cycles dont les mois seraient découpés en semaines ; de cette façon à chaque ligne correspondrait donc une semaine. L’avantage serait de limiter la longueur totale des cycles e donc celle du support utilisé, qui certes prendraient tout de même au moins quatre fois en espace, la longueur de la procédure proposée, une ligne correspondant alors à un mois.
L’autre avantage serait de pouvoir mettre les événements en meilleur vis à vis et donc de mieux identifier ce qui « va avec quoi » . En effet, il est rare de rencontrer par semaine plus d’un événement « négatif » avec une charge suffisamment lourde entraînant un "répercuté" signifiant dans la suite.


Pour chaque événement trouvé, l’idéal serait d’identifier, sinon les jours précis, au moins la période de quelques jours ou d’une semaine autour de cet événement.

Chez telle personne, en face de la ligne du décès brutal de son petit frère à la naissance, dont le deuil n'avait pas été fait, se trouve le décès brutal de son grand frère. Chez telle autre, le décès de son fils adoptif Denis était sur la même ligne horizontale que celui de sa belle-mère appelée Denise, grand-mère et par surcroît la marraine de ce même Denis, d’où la transmission du prénom !
L’inconscient communiquant au corps et vice versa par le langage des mots et de sons, traduit éventuellement en « maux », on ne s’étonnera pas de cela.

En effet, maintes fois j'ai pu constater que quand un conflit est résolu, il n'y avait plus d'événement traumatisant sur les cases en face (situées donc sur le même ligne dans les cycles suivants), renfermant le(s) même(s) ressenti(s). Un exemple personnel : une recherche psychogénéalogique et un travail en profondeur m'a permis de constater que je remplaçais mon grand-père paternel Fernand (n°1)(même numéro de fratrie n°4 donc = n°1, cf. plus bas) et quasi même parcours sentimental et professionnel, mais qui s'en étonnerait ?) ; il n'est pourtant mort que lorsque j'avais un peu plus de deux ans ; en fait, il a été considéré comme mort par la famille depuis longtemps, banni depuis l'abandon sa femme et ses enfants. Sur la pierre tombale, du grand caveau de famille, dans la longue liste de ses frères et soeurs, son prénom était absent ! Comme il y a lieu de remplacer un mort par un vivant, mais que personne ne correspondait au même 'profil' (dont notamment le n° de fratrie) dans les naissances précédentes à la mienne, c'est moi qui ai été l’ "heureux" élu ! Ceci malgré le fait que ma sœur née (décédée à ce jour) quelques mois après aurait pu le remplacer ; mais comme son numéro de fratrie ne le « permettant » pas (elle était n°3), cela n’a pas été psychogénéalogiquement possible. De plus, pour l'anecdote, en tant que n° 4, je remplace aussi une « fausse couche » (n°1 dans l’ordre de ma fratrie).

Pour mémoire, en référence à ce que nous apporte la psychogénéalogie, 1=4=7, 2=5=8, 3=6=9 (ordre de fratrie), cela est maintenant considéré comme une loi biologique ; pour la mémorisation de ce jeu de chiffres, reportez-vous au cadran de tout téléphone moderne  .

 


Sur quasiment la même ligne de ce décès (ma jumelle), il y a la mort de mon premier fils à la naissance ; sur la ligne suivante plus personne n'est décédé et je n'ai pas non plus subi de grave perte. Cependant, comme pour me le rappeler ou pour me manifester le reliquat d’une mémoire à résoudre (peut-être), une panne d'a-mort-isseur à l'avant gauche de ma voiture apparaît sur la même ligne ! (Cf. "La langue des oiseaux") Ce qui est étonnant, c’est la manière avec laquelle on recrée des événements dont le conflit ou dans un moindre mal, la mémoire, n’est donc pas toutefois annulée ! Pour moi et c'est important, un amortisseur cela amorti d'abord les chocs et donc il resterait une mémoire de «choc » à effacer : cet incident sur ma voiture m'a permis de finaliser en quelque sorte le travail su moi de deuil etc.. Il est donc toujours utile voire incontournable, de se référer au(x) strict(s) ressenti(s) liés à l’événement dans le but de ne pas dériver sur une interprétation incorrecte.

Il est alors capital de répercuter quand il s’agit de soi-même ou pour une tierce personne, d’écouter en le retranscrivant avec une très grande fidélité, les mots associés à l’expression d’un événement précis ; ce faisant, on pourra mieux cerner objectivement le type de ressenti et en parfaire l’analyse lorsque cela sera mis en parallèle avec d’autres événements en échos, par le jeu des harmoniques.
 

 

En savoir plus sur les Cycles Biologiques Mémorisés du Cerveau (CBCMC) et découvrir pour l'utiliser aisément un logiciel gratuit (sous Excel) qui permettra d'identifier d'autres types d'échos engrammés que ceux développés sur cette page...

 

 

 

 

Que peut bien apporter thérapeutiquement cette approche (empirique) ?

D'un point de vue thérapeutique, ce sont les événements souffrants qui sont à prendre en compte. Dans toute problématique de santé psychique ou mentale, dans tout conflit humain qui ne parvient pas à se résoudre rapidement, on observera toujours qu'un lien existe, sinon avec un événement antérieur, du moins avec les conditions de naissance au sens large.

Il existe aussi des événements conflictuels qui sont générateurs d'autres situations en écho et donc qui n'ont eu aucun écho par rapport à un événement du passé du moins de la personne. N.B. les événements ressentis comme positifs sont aussi susceptibles de produire des échos positifs dans le futur, Si le situations conflictuelles  qui ont provoqué des événements souffrants ne sont pas résolus en profondeur, ils produiront aussi des échos dans le futur : se traduisant alors au travers d'autres événements (pas toujours identiques) dont le ressenti ou les ressentis sont analogues conformément donc à ce que réalise le cerveau en les engrammant.

"Tout ce qui n'est pas porté à la conscience se transforme en destin" (Carl JUNG)

Il arrive souvent que ce type d'événement soit donc en lien avec ce qui est transgénérationnel. La démarche psychogénéalogique le montre précisément au travers, par exemple, des "syndromes d'anniversaires" : on peut alors "recopier" une partie des cycles mémorisés d'une personne avec laquelle on est en lien transgénérationnel, parce qu'on la remplace ou qu'on est lié d'une manière ou d'une autre : souvent les similitudes sont étonnantes et pour cause.

Dans notre approche thérapeutique, cet outil des CBCMC est précieux mais n'est abordé que "naturellement" : c'est soit, à la demande précise du patient, ou soit, parce qu'à un moment donné, le patient (et de lui-même) est interpellé par des répétitions d'événements. Il n'est pas rare qu'un patient en arrive spontanément à collecter les événements de sa vie en les datant (au moins mois + année) ; il en retire rapidement une compréhension profonde de ce qui le fait souffrir : il parvient ainsi à pouvoir discriminer les événements programmants des événements déclenchants et à les articuler suivant alors les "cascades" qui les sous-tendent ; il met alors à jour, avec notre aide, le fonctionnement particulier, sorte de mathématique cachée & dynamique de son propre cerveau ! C'est alors une manière efficace de pouvoir prévoir en partie ce que le futur  réserve (en "bon" ou en "mal") ; c'est alors à la portée de chacun de pouvoir désamorcer en les annulant des événements qui se produiraient dans son futur et leur faire perdre leur qualité de "bombes à retardement" en engageant un processus d'action ciblée : mieux vaut en effet prévenir que guérir.

Nous avons nous-mêmes réalisé nos propres cycles sur papier avec cette méthode et nous pouvons vous assurer que nous avons dès lors pu mettre au jour les principaux en les désamorçant autant que possible ; pour les autres, nous avons alors pu mieux comprendre ce qui était sous-jacent aux événements souffrants qui se sont produits et se produiront encore, mais en en réduisant d'autant leur caractère apparemment inéluctable (parce qu'inconscients qu'il étaient, ils ne le sont que de moins en moins) : voir comment par exemple, ce patient a pu résoudre un cycle répétitif de fracture de cheville.

Découvrir encore cet autre exemple remarquable d'un petit garçon diabétique et dont la guérison a pu d'une manière déterminante être facilitée par cette approche des CBCMC .

Cette "technique", faisant appel au ressenti, à la mémoire émotionnelle, ne peut pas être transmise d'une manière efficace uniquement par l'écrit ; aussi vous n'en avez pas trouvé ici de description aussi détaillée que ce que mérite chaque cas individuel. Il n'est donc pas possible de mettre en seuls mots d'une manière appropriée et donc la plus efficace, cette technique. En effet, pour que son application soit efficiente, il y a lieu de l'expérimenter concrètement et tout au long de son développement, elle devra se peaufiner et s'enrichir au gré des questions posées et des optimisations à faire au fil d'entretiens individuels sur ce thème (en séances ou en psychothérapie intensive).

        Si vous êtes intéressés par les CBCMC, nous vous invitons, après la lecture des pages

        qui les concernent, à utiliser le logiciel gratuit qui permet la mise au jour de ces cycles.

       

                                               Voir ce que nous proposons en séances.

       

 

 

Ce qui expliquerait la survenance des maladies :

Ce qui se passe lorsque la peur de... (exemple : attraper une maladie) ne se résout pas.

Un cas surprenant : un cytomégalovirus qui fait une volte-face étonnante !

Exemple de guérison avec l'aide de la psychobiologie (col de l'utérus)

D'autres cas de mal-à-dire qui se forgent dans le ventre maternel.

Les hamsters enfumés (tabac) attrapent-ils le cancer

Le cerf qui perd son territoire et l'infarctus ?

"Le langage de la guérison" (J.-J. Crèvecoeur)

Ce qui se passe lorsqu'une brebis s'égare.

Ne vous agrippez pas à la grippe !

 

 

 

Là où la psychobiologie moderne rentre en résonance avec les médecines primitives :

       "Que notre vie intérieure s’enlaidisse et nous risquons fort de tomber malades ? (...)

 On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…

         sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers" :

"Les Clés de la santé indigène" (Jean-Pierre Barou & Sylvie Crossman aux éd. Balland)

 

En savoir plus sur la psychobiologie.

 

 

AVERTISSEMENT IMPORTANT :

nous n'adhérons en aucun cas à la Biologie-Totale

que nous refusons vu les dérives qu'elle génère

par manque criant de précaution, d'éthique et de déontologie appliquées.

(Voir notre avis).

Tout autant, nous ne cautionnons en aucune manière

les comportements intégristes et outranciers du Dr Hamer.

Deux chapitres du livre écrit par Baudouin Labrique,

"Quand les thérapeutes dérapent" y sont consacrés.

 

 

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